Les plateaux TV ont la nécessité de se démarquer pour attirer l’œil et retenir le spectateur. lls le font grâce à l’affichage numérique omniprésent, point central de l’attention. Celui-ci se trouve derrière le présentateur, sur le pupitre et dans les zones de présentation annexes sur les côtés de plus en plus courantes. Pour un résultat optimal, il faut les bons outils tels que les processeurs vidéo tvONE et les serveurs vidéo Green Hippo.
Gestion des écrans : processeurs vidéo tvONE CORIOmaster
Cet article va vous permettre de bien faire la différence entre les produits stars de tvONE dédiés à l’affichage dynamique, partout et en particulier sur les plateaux TV. Il y a tout d’abord les processeurs vidéo CORIOmaster. Leur rôle est de rassembler les sources et de les rediriger vers les afficheurs.
Mais le CORImaster va bien plus loin. Il est capable de gérer simultanément différents types d’afficheurs, soit isolés, soit sous forme de murs d’images. Pour chaque zone d’affichage, il gère les définitions sur mesure, que ce soit du 16/9e ou n’importe quoi d’autre. Il assure la mise à l’échelle sans perte ni latence, jusqu’à la 8K si besoin. C’est donc le chef d’orchestre incontournable.
Avec CORIOmaster, captivez votre public. Créez l’expérience vidéo ultime pour vos petits, moyens et grands murs vidéo et installations LED sans compromis.
Gestion et contrôle des contenus : serveurs vidéo Green Hippo
Les serveurs Green Hippo s’occupent quant à eux des contenus. Ils stockent des images et de la vidéo et peuvent aussi recevoir des flux live. Tout cela est organisé, animé, mis en page et programmé sur une ligne de temps. Les sorties des serveurs sont redirigées vers les entrées du processeur CORIOmaster.
Green Hippo gère aussi le contrôle de tous les éléments liés au déroulé de la diffusion live. Il va synchroniser les contenus entre les différentes sorties. Il sait aussi s’interfacer avec l’éclairage pour que celui-ci change de teinte selon la diffusion en cours. Adapté au live, toute modification sur le déroulé peut être faite en directe.
Une interface intuitive, facile à utiliser et flexible fait des serveurs Green Hippo le choix idéal pour la lecture vidéo sur mesure et le contrôle de la diffusion.
CORIOmaster et Green Hippo : le duo gagnant
En résumé, vous connaissez maintenant les différences et la complémentarité qu’il existe entre les machines de tvONE et celles de Green Hippo. Chacune ses tâches pour une gestion de l’affichage numérique moderne. Cette solution est utilisée dans de nombreux studios TV dans le monde, notamment ceux de Britain’s Got Talent, des Studios ABC à New York ou des Academy Awards.
Malgré nos articles réguliers pour vous expliquer en détail tout ce que savent faire les moniteurs IdeaHub de Huawei, peut-être n’êtes-vous pas encore convaincu ? Alors, allons encore plus loin avec des exemples d’usages concrets grâce à ces trois nouvelles vidéos.
Le tableau blanc interactif plus que complet
L’écran collaboratif sert à travailler sur une surface numérique afin de remplacer le classique tableau blanc et ses feutres. Evidemment, le IdeaHub sait faire bien d’autres choses que seulement afficher ce que l’on écrit ou dessine avec le doigt ou un stylet. Il dispose d’une palette d’outils pour modifier le type de trait ou sa couleur. Il reconnaît automatiquement l’écriture et les dessins pour les transformer en polices et en formes parfaites. Toutes les manipulations sont possibles, le déplacement et le redimensionnement, l’ajout d’image, la création de multiples pages… En fin de réunion, le résultat peut être enregistré, stocké ou distribué via un QR code.
Le partage d’écran sans se connecter au WiFi de l’entreprise
Avec la fonction IdeaShare, il est très simple d’afficher l’écran de son appareil personnel sur l’IdeaHub. Il faut pour cela télécharger une application disponible pour toutes les plateformes. Ensuite, on se connecte à l’écran après avoir lancé l’application et entré le code affiché sur le IdeaHub. Et voilà, l’écran de votre ordinateur est reproduit en grand dans la salle de réunion ! Comme vous l’avez remarqué, tout cela s’effectue sans avoir besoin de se connecter au WiFi de l’entreprise, la liaison sans fil étant directe entre l’ordinateur et le IdeaHub. En termes de facilité d’usage, il est même possible de prendre la main depuis l’écran tactile Huawei, pour faire défiler les pages d’une présentation par exemple, sans avoir besoin de toucher à l’ordinateur.
Pourquoi l’agglomération de Paris Saclay à choisi le IdeaHub ?
Dans cette troisième vidéo dédiée au IdeaHub, le DSI de l’agglomération de Paris Saclay nous explique point par point pour quelles raisons il a retenu cet écran collaboratif. Ce dernier a été installé dans chacune des 27 communes de l’agglomération afin de permettre de travailler et de collaborer de façon efficace, en retrouvant les mêmes outils à chaque fois. Il nous confirme que la maintenance n’occasionne aucune tâche spécifique supplémentaire, tous les IdeaHub étant vu comme des PC et donc gérés à ce titre comme tous les autres équipements informatiques.
Avec leur objectif orientable à 360°, les vidéoprojecteursFujifilm FP-Z sont uniques sur le marché. Il faut dire que Fujifilm est une référence mondiale dans le domaine des objectifs. Ils ont donc mis à contribution leur savoir-faire afin de proposer des produits polyvalents. Ils bénéficient de nombreuses fonctions d’ajustage, dont le zero-offset pour encore plus de liberté d’installation.
Qu’est-ce que l’offset en vidéoprojection ?
Un vidéoprojecteur projette une image face à lui. Rien de plus normal. Cependant, il ne vous a pas échappé que l’objectif est rarement placé face au centre de l’image. Soit le projecteur est posé sur une table et l’image est plus haute que lui, soit le projecteur est au plafond et l’image est plus basse que lui.
En somme, l’objectif est en-dessous ou au-dessus de l’image. Selon ses contraintes, on va donc installer le vidéoprojecteur à l’endroit le plus adapté. Dans tous les cas, les réglages de lens shift, quand ils existent, permettant de décaler plus ou moins l’image vers le bas ou vers le haut.
Dans tout cela, l’offset correspond à l’écart que l’on peut mesurer entre le bord de l’image et le centre de l’objectif.
Pourquoi les Fujifilm FP-Z offrent encore plus de latitude d’installation que la concurrence ?
Dans le cas de la projection à ultra courte focale, c’est-à-dire au plus proche de la surface de projection, l’offset est important. Comme on peut le voir sur le schéma ci-dessous à gauche, les vidéoprojecteurs UST classiques renvoient l’image vers l’arrière puis via un miroir. Le projecteur en lui-même gêne l’image. Celle-ci doit donc se décaler vers le bas. C’est ici qu’intervient l’offset, avec des valeurs non négligeables qui peuvent vite poser problème.
En effet, si l’on souhaite afficher une grande image mais que la hauteur sous plafond est limitée ou contrainte, alors l’image va se retrouver trop basse. Dans les cas les plus extrêmes, elle peut même dépasser sur le sol.
Tandis que les Fujifilm FP-Z projettent en UST, mais face à eux ! Il n’y a rien qui gêne l’image sur son chemin. L’offset est donc de 0. Il peut même être négatif selon les réglages de l’objectif orientable et de lens shift. Ainsi, l’image peut être projetée quasiment à n’importe quelle hauteur sur le mur.
Des vidéoprojecteurs UST sans contrainte d’installation
En résumé, c’est bien cela la force des vidéoprojecteurs FP-Z6000 et FP-Z8000 : la capacité à projeter une image zero-offset en ultra courte focale. L’objectif orientable participe à cette capacité d’adaptation à toutes les situations, complété par des réglages de lens shift avec énormément de latitude. Sur table, au plafond, debout, ou même encastré, les Fujifilm FP-Z sont les plus polyvalents des vidéoprojecteurs UST à haute puissance.
La série d’écrans Q-Line de Philips se destine avant tout à l’affichage dynamique avec un fonctionnement 18 heures par jour maximum. Grâce à Android, il est possible d’afficher les contenus de son choix, voire de partager son écran en salle de réunion. Cette gamme se décline dans de nouveaux modèles QE-Line dont le principal avantage est une consommation réduite quasiment de moitié pour des résultats identiques.
Réduire la consommation de l’affichage dynamique
C’est une tendance évidente des années à venir. L’affichage continu sur une large plage horaire, jusqu’à 24h/24, est nécessaire pour différentes raisons dans plein de domaines. Pour orienter, pour informer, pour divertir, pour vendre.
Pointé parfois du doigt sur les questions énergétiques, il faut évidemment réagir et s’adapter. C’est ce que font les fabricants comme Philips en travaillant en profondeur sur le fonctionnement même de ses écrans.
Philips a donc repris la série Q-Line pour l’affichage dynamique et à retravaillé tout ce qui pouvait l’être. L’emballage est constitué de matériaux recyclés et recyclables à 100%. Les sachets en plastique ont disparu et sont remplacés par des rembourrages en papier. Et surtout, tout en conservant 350 nits de luminosité, les écrans Philips QE consomment 50% d’électricité en moins que les modèles précédents, et que ceux équivalents des concurrents.
Moins de consommation, toujours autant de fonctions
Les écrans de la série QE font appel à un puissant processeur à quadruple cœur pour faire tourner avec fluidité Android 10 et les applications installées. La lecture des contenus est automatique grâce au SmartPlayer, depuis le lecteur de carte microSD et les ports USB.
La connectique comprend des entrées HDMI, DVI et VGA, différents ports de contrôle et le réseau. Le Bluetooth est présent tandis que le WiFi peut être ajouté ultérieurement via un module optionnel. Les écrans QE sont compatibles avec Wave, l’outil de gestion et de maintenance à distance de Philips.
Philips QE Line, l’écran économique de référence pour l’affichage dynamique
En résumé, Philips continue à montrer la voie de l’affichage numérique respectueux de l’environnement. L’effort de réduction des déchets comme de la consommation est impressionnant. On peut donc compter sur l’innovation technologique de Philips pour respecter les attentes des clients dans ce domaine, sans faire de compromis sur les performances. Les écrans QE sont disponibles en 50, 55 et 65″.
Nous sommes ravis de présenter la nouvelle série Philips Signage 3000 EcoDesign, l’un des écrans d’affichage numérique les plus puissants et les plus durables actuellement sur le marché. Nos équipes de R&D ont travaillé d’arrache-pied, relevant de nouveaux défis technologiques, pour doter ce produit de toutes les fonctionnalités les plus récentes, ainsi que de fonctions avancées en matière d’environnement et d’économie d’énergie.
Bart Wouters, International Product Manager chez PPDS
Si vous êtes continuellement à la recherche de nouvelles solutions pour étendre un signal vidéo sur de grandes longueurs, vous ne devez pas passer à côté du Gefen GF-HD48G-1MPO. C’est un extender HDMI sur fibre optique sans boîtier, uniquement avec des adaptateurs. Il faut surtout retenir qu’il est capable de passer la 8K sans perte. Un petit outil qui vous rendra sûrement service.
Le HDMI 2.1 avec un débit de 48 Gbps
La dernière norme HDMI 2.1 a inauguré le support des plus hautes définitions et des fréquences de rafraîchissement les plus élevées. Cela s’accompagne de contraintes encore plus fortes en terme de cordon. Ceux-ci doivent être certifiés pour passer les 48 Gbps nécessaires. Soit, pour donner un ordre d’idée, 48x ce qui passe dans un câble réseau Ethernet commun.
Avec la quantité de micro fils et d’autres données qui transitent en parallèle des signaux AV, les cordons HDMI certifiés 2.1 sont très courts. Pour de la distribution dans une grande salle, un événement, un bâtiment, il faut forcément passer par des extenders. Qui sont encore assez rares dans le domaine à supporter les 48 Gbps.
La meilleure solution est l’optique puisque l’on peut passer sans encombre des dizaines de Gigabits. C’est ce qu’a retenu Gefen pour sa solution de déport HDMI 2.1.
Connecteur optique au format MPO/MTP
Gefen a retenu ce type de connecteur à relier en sortie des adaptateurs HDMI vers optique (émetteur) et optique vers HDMI (récepteur). Seul le connecteur est spécifique, au format MPO/MTP, derrière ce sont de classiques fibres OM3 ou OM4. Il y en a 8 exactement dans le cordon nécessaire pour faire fonctionner le GF-HD48G-1MPO.
De chaque côté, il faut alimenter le petit extender via les blocs d’alimentation fournis. La conversion demande tout de même un minimum de puissance et de courant. Grâce au support du HDMI 2.1 et des 48 Gbps de débit, cet extender est capable de transmettre les formats suivants :
8K (7680×4320 @ 60 Hz)
4K (3840×2160 @ 120 Hz)
4K Cinema-DCI (4096 x 2160 @ 60 Hz, 4:4:4)
4K Ultra HD (3860 x 2160 @ 60 Hz, 4:4:4) avec HDR-10 & Dolby Vision™
1080p Full HD (1920 x 1080 @ 60 Hz, 4:4:4, 12-bit)
WUXGA (1920 x 1200 @ 60 Hz)
Gefen GF-HD48G-1MPO : la 8K en point à point sur 100 mètres
En bref, Gefen propose la solution idéale pour transmettre de la 8K sur de très grandes longueurs. Et pas seulement la 8K, mais aussi le 120 Hz et le Dolby Vision. Pour une solution point à point dans l’affichage dynamique comme dans le résidentiel, il vous sera difficile de trouver plus efficace. Les convertisseurs de format vers la fibre optique restent extrêmement discrets, et donc faciles à cacher derrière les sources et les afficheurs.
Le câble USB-C avec son connecteur bien pratique, qui n’a pas de sens d’insertion, est censé nous simplifier la vie. Il remplace tous les câbles USB précédents et commence à se généraliser dans tous les domaines. Et plus encore que l’informatique. L’USB-C est utilisé pour les chargeurs, l’audio, la vidéo… On pourrait se féliciter de cette harmonisation bienvenue. Mais c’était sans compter sur les différents aspects de l’USB-C qui varient d’un appareil à un autre, et malheureusement, d’un câble à un autre ! Faisons le point sur ces différences pour vous aider à toujours choisir le bon câble pour vos applications.
Ce que vous devez savoir à propos des câbles USB-C
Un cordon à la norme USB-C sait potentiellement tout faire. Il est donc légitime de penser qu’il suffit d’acheter n’importe quel câble terminé de chaque côté par une prise USB-C pour faire passer ce que l’on veut. Puisque la prise est identique partout et pour tout, c’est la même chose, non ? Et bien non.
L’USB-C est un câble informatique, un câble réseau, un câble audio, un câble vidéo, un câble d’alimentation. Sauf que très peu de câbles USB-C sont capables de faire tout cela. Il existe des modèles qui ne savent faire qu’une seule chose dans toute cette liste. Ce sont évidemment les moins chers. Et plus on veut qu’il fasse de choses, plus le câble USB-C est cher. Ce qui est logique.
Ce qui l’est moins, c’est de n’indiquer que très rarement les capacités et limites d’un cordon USB-C. Que ce soit sur son packaging ou sur sa page de vente en ligne. On est en droit de penser que tout cela est peut-être un peu volontaire. Quand le client s’apercevra que le cordon ne fait pas ce qu’il veut, il en achètera sûrement un autre, tant pis pour lui, tant mieux pour le vendeur.
Les câbles USB-C qui font la différence
Soyons clairs : il est impossible de distinguer à l’œil nu les capacités d’un cordon USB-C. Un petit indice tout de même : plus le diamètre du câble est important, plus il a de chance de savoir tout faire. Et encore, ce n’est pas une règle absolue. Dans tous les cas, les câbles USB-C en cuivre fonctionnent sur une très courte longueur : 1 ou 2 mètres, voire 3 mètres maximum. Un câble USB-C en cuivre plus long est à fuir immédiatement. Sauf s’il utilise une technologie différente, ce que nous verrons plus loin.
Le meilleur choix à faire consiste donc à donner sa confiance à des marques connues fabricant des produits de qualité. Ce qui est écrit sur la fiche technique sera tenu à coup sûr. Ce sont forcément des cordons au coût plus élevé, mais c’est le prix de la sécurité et de la sérénité. C’est plus confortable que d’arriver sur un chantier et de se rendre compte qu’aucun câble USB-C ne fonctionne.
Voici les problèmes principaux auxquels vous pouvez être confrontés. La plupart des cordons USB-C « no name » passent l’alimentation de quelques Watts pour recharger un smartphone. En revanche, ils seront incapables de délivrer les 60 Watts nécessaires à la recharge d’un ordinateur portable. On trouve le même problème avec des cordons USB-C pour relier un moniteur vidéo : certains seront limités à la Full HD, les plus performants passent sans problème la 8K. Et puis il y a le débit. Un cordon USB-C peut faire passer jusqu’à 40 Gbps : certains sont limités à 10 Gbps, un point important à vérifier selon vos besoins.
Les cordons certifiés Lightware CAB-USBC-T
Le spécialiste des interfaces AV Lightware s’est fortement impliqué dans le monde de l’USB-C. Ses modèles Taurus UCX utilisés dans les salles de réunion proposent des entrées USB-C complètes pour connecter un ordinateur portable, se relier aux accessoires USB, accéder au réseau, partager l’écran et recharger l’ordinateur. Toutes les fonctions sont mises en œuvre, un cordon aux spécificités en conséquence est obligatoire.
Lightware a donc développé ses propres cordons USB-C. Ils sont certifiés pour assurer le passage de toutes les données et de l’alimentation jusqu’à 60 Watts. Ils existent dans différentes longueurs. Pour aller jusqu’à 5 mètres, Lightware utilise la technique du micro-coaxial afin de transporter les données d’une façon différente de la norme et ainsi d’aller plus loin. Il existe aussi des modèles allant jusqu’à 10 mètres avec la technologie AOC (câble optique actif).
Ces cordons Lightware CAB-USBC-T en 1, 2, 3, 4 ou 5 mètres affichent les performances suivantes :
Lightware est allé jusqu’à comparer en laboratoire ses cordons avec ceux de ses concurrents. Plus de 20 câbles USB-C ont été comparés sur tous les critères de performance. Seuls deux modèles sont équivalents aux cordons Lightware. Tous les autres sont incomplets, quel que soit ce qu’ils annoncent sur leur fiche technique.
Lightware a également comparé la facilité d’usage. Cela concerne la rigidité du câble, la taille et le poids des connecteurs, autant de caractéristiques qui peuvent compliquer la mise en place des câbles dans des environnements parfois complexes.
Conclusion
Vous devez installer des cordons USB-C sur vos projets ? Faites le bon choix ! Ne cherchez pas le meilleur prix, cela vous mettra face à de grands problèmes potentiels. Sélectionnez dès le départ des cordons certifiés par des marques reconnues. Vérifiez qu’ils délivrent le niveau de performance attendu dans les domaines dans lesquels ils doivent être utilisés. Vous pourrez ainsi vous concentrer sur le reste de l’intégration et sortir le « problème de l’USB-C » de votre tête.
La MT300N d’AVer est une matrice de tracking. Pour être plus précis, c’est un rassembleur et un diffuseur de sources vidéo à multiples entrées et sorties. Destiné avant tout au live, pour capter toutes sortes de présentations, de formations ou de conférences, c’est un véritable pupitre de mixage automatique dans un format compact prêt à l’emploi. Voici ces 4 points forts face à la concurrence.
1. Jusqu’à 7 entrées et 5 sorties
La matrice AVer MT300N dispose d’un grand nombre de connecteurs. On trouve en face arrière trois entrées HDMI et trois ports USB. Il y a également le réseau et un port RS422 (pour le pilotage PTZ des caméras). Tout cela permet de connecter des caméras en USB, des sources vidéo en HDMI et d’accéder à d’autres caméras via le protocole réseau NDI HX2 ou 3. En tout, sept sources peuvent être configurées et quatre peuvent être affichées en sortie simultanément. Pour cela, vous avez le choix entre l’USB pour l’enregistrement, le réseau pour la diffusion online et le HDMI pour l’affichage dans la salle.
2. Pilotage simplifié & automatisation
L’application web permet de se connecter à l’interface de paramétrage et de contrôle du MT300N. L’utilisateur configure les différentes entrées et sorties ainsi que les modes d’affichage. Il est possible de diviser l’écran de nombreuses manières pour afficher plus ou moins de sources en même temps. De plus, avec la fonction intégrée PTZ Link Premium, vous pouvez lier le son à l’image, ce qui offre cette capacité de tracking automatique en suivant les présentateurs et en changeant de caméra. Le son des micros peut venir de micros indépendants des caméras. Beaucoup de modèles courants sont supportés chez Shure, Yamaha, Nureva…
3. Compatible BYOD
Contrairement à un pupitre de réalisation placé dans une régie, le MT300N est suffisamment compact pour prendre place dans la salle. Il est ainsi facile de connecter les appareils des intervenants sur les ports HDMI par exemple. On pourra alors mixer à la diffusion les images des caméras avec la présentation de documents. Cet appareil AVer peut se fixer sous une table via les équerres fournies. Ou bien il peut vous suivre d’un événement à un autre, en sachant qu’il peut s’alimenter tout simplement en PoE+ !
4. Compatible NDI HX3
Le modèle MT300N est d’ors-et-déjà compatible avec le protocole NDI très répandu dans la production vidéo (lire notre dossier NDI : le format AV sur IP dédié à la production live). Il accepte les sources aux formats HX2 et HX3. Ce protocole est disponible sur certaines caméras AVer telles que les PTZ330UNV2 et PTC310UN. Cela rend le MT300N universel afin d’être combiné avec des caméras d’autres fabricants. Il distribue également sa sortie via le réseau en NDI. Elle pourra alors être récupérée par un enregistreur NDI.
AVer MT300N : une mini régie de réalisation automatisée
En résumé, ce tout petit appareil est capable de très grandes choses. La matrice de tracking MT300N gère sept sources dans le cadre d’un événement live. Elle les redistribue pour l’affichage dans la salle, vers Internet, un enregistreur ou un logiciel de visio. Le tout à travers trois connectiques complémentaires : USB, HDMI et IP. Le support du protocole NDI HX est un atout supplémentaire non négligeable pour un usage universel.
La raffinerie Olmeca au Mexique a fait confiance à Christie pour l’ensemble des afficheurs grand format de ses bureaux. Les différentes technologies proposées par Christie ont été mises en place dans les salles de contrôle, les salles de réunion, les salles tactiques ainsi qu’à l’accueil. On trouve ainsi des panneaux LED, des moniteurs LCD et de la vidéoprojection de forte puissance.
8 murs d’images dans la salle de contrôle principale
Cette salle que vous voyez sur les deux premières photos de l’article offre différents postes de travail pour les opérateurs. Ils font face à huit murs d’image constitués de panneaux Christie Core Series avec un pitch de 1.4mm. Chaque mur mesure pas moins de 8,5m sur 3,2m.
Ce système se distingue pour sa flexibilité et son évolutivité, ainsi qu’un faible niveau de maintenance
Intégrateur STM
Les écrans affichent de façon moderne et graphique l’état des nombreux éléments de la raffinerie, la plus grande du Mexique à ce jour s’étendant sur 556 hectares. Les opérateurs peuvent afficher l’état des systèmes en temps réel, les images des nombreuses caméras ainsi que les données de production.
30 processeurs Christie Hedra pour les murs d’images et les moniteurs
L’ensemble des sources est géré par près de 30 processeurs Christie Hedra capables de s’adapter à tous ces formats différents. Les sources sont ainsi accessibles depuis différents endroits.
Les murs vidéo permettent aux différentes équipes de la raffinerie de partager des informations critiques dans différentes salles de contrôle en combinant plusieurs sources simultanément. Ils obtiennent une vue précise de ce qui se passe à chaque instant pour prendre la meilleure décision dans les plus brefs délais.
Intégrateur STM
Un projet sur mesure avec l’aide de Christie
En résumé, cette raffinerie bénéficie de la meilleure expérience d’affichage possible dans un environnement critique où l’à-peu-près n’a pas sa place. Pour ce genre de projet de grande ampleur, les équipes de Christie sont au service de l’intégrateur afin de l’accompagner dans les différentes phases de conception et de mise en œuvre.
Afin de faciliter l’accès aux solutions de contrôle et de diffusion pour les salles de réunion, Lightware a conçu un pack prêt à l’emploi. Cet ensemble HDMI-TPS226-H10composé d’une interface avec extender et de son récepteur associé se destine aux salles de petite taille tout en étant capable de piloter l’ensemble des fonctions AV.
Déport de la source en HDBaseT
Le HDBaseT distribue la vidéo, l’audio, l’Ethernet, le contrôle et l’alimentation sur un seul câble réseau en point à point. C’est le protocole retenu par Lightware pour ses interfaces TPS. Avec le HDMI-TPS226-H10, le HDMI entre dans le boîtier émetteur et se récupère sur le boîtier récepteur à placer au plus près du diffuseur.
La distance entre les deux peut aller jusqu’à 100 mètres, ce qui est plus que confortable dans une salle de réunion. Le tout en garantissant le support de la Full HD à 60 Hz ou de la 4K à 30 Hz. De plus, le boîtier récepteur est alimenté par le même câble réseau, ce qui simplifie drastiquement le câblage.
Interface AV intelligente
Mais cet extender ne fait pas que déporter la source par rapport à l’afficheur. Il s’occupe également de rendre le réseau Ethernet disponible au niveau de l’afficheur depuis l’émetteur, ou vice-versa. Lightware a prévu une sortie HDMI en boucle au niveau de l’émetteur pour un double affichage si nécessaire.
En plus, le système transmet de façon bidirectionnelle l’infrarouge et le RS232 afin de piloter les équipements. En reliant un clavier à boutons sur les ports GPIO du boîtier émetteur, il devient possible de contrôler les appareils pour l’allumage, l’extinction, la descente d’un écran de projection, etc.
Lightware HDMI-TPS226-H10 : une solution de déport et de contrôle dans un pack prêt à l’emploi
En bref, ce pack Lightware améliore grandement la fonction de transmission sur câble réseau HDBaseT sans la complexifier. Toutes les données et le courant sont transmis via l’unique câble, tandis que le contrôle des appareils reliés est possible sans programmation complexe ni besoin d’un automate externe. Cela permet d’automatiser une petite salle de réunion très simplement. Et en plus, les supports de fixation et un cordon HDMI font partie du pack !
Cette fonctionnalité auparavant complexe, voire impossible à mettre en œuvre, devient la norme. Tout installateur ou gestionnaire de parc de matériel AV a besoin de pouvoir accéder parfois, ou souvent, aux équipements sans avoir à se déplacer physiquement. Grâce à l’évolution des technologies et surtout au cloud, il est maintenant possible de superviser des équipements à distance et d’intervenir sur leur fonctionnement. C’est ce que propose ProDVX avec l’outil ProMGR pour prendre la main sur tous les écrans installés.
Gestionnaire d’équipements via le cloud
ProDVX propose depuis peu le service ProMGR. On y accède en ligne, via un navigateur web. Il permet de connecter tous les écrans ProDVX qui tournent sous Android ou Windows. Le responsable du parc va ainsi retrouver la liste complète des écrans dont il a la charge sur une même interface.
Il faut pour cela activer ProMGR via une app installée sur les écrans : ProMGR Kiosk Browser. Cette app permet de récupérer l’identifiant de chaque écran et de connecter ce dernier au cloud. Il devient alors accessible depuis l’interface ProMGR. Différentes solutions de connexion sont disponibles afin de simplifier cette étape selon la quantité d’écrans à déclarer. Bien entendu, la connexion est totalement sécurisée de bout en bout.
De multiples fonctions de supervision et de mises à jour
Au sein de l’interface ProMGR, la première étape consiste à créer des groupes, que l’on pourra associer à des lieux. Ensuite, on va déclarer chaque écran. La quantité d’informations pouvant être affichée est importante et vous avez le choix dans les paramètres de ce que vous voulez voir ou pas. Vous pouvez également recevoir des alertes par eMail sur des critères précis.
ProMGR permet en outre de créer des configurations complètes. Cela comprend le mode kiosque, les apps à afficher, les fonctions à bloquer, etc. Avec une licence complémentaire, d’autres paramètres s’ajoutent. Cette configuration peut ensuite être poussée à distance vers un ou plusieurs écrans pour une mise à jour globale et simultanée.
ProMGR : gardez la main sur tous vos écrans ProDVX
En résumé, le service ProMGR est indispensable à partir du moment où vous devez effectuer le suivi et la maintenance d’un ou de plusieurs écrans connectés ProDVX. L’interface dans le cloud apporte un confort indéniable pour être tenu au courant du moindre problème ou pour faire évoluer les configurations, tout cela sans avoir besoin de vous déplacer.
