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  • 5 raisons de découvrir Gefen à GovComm12

    5 raisons de découvrir Gefen à GovComm12

    Notre partenaire Gefen sera présent au salon GovComm12 qui se déroule à Washington le 28 et 29 Novembre 2012. Si vous êtes dans le coin, on vous recommande de faire un tour sur ce formidable salon.

    Govcomm12
    Govcomm12

    Voici 5 raisons de visiter le stand Gefen !

    1-  Découvrir la nouvelle solution Gefen en digital signage qui utilise la vidéo sur IP et qui permet de délivrer de la HD vers 100 moniteurs.
    2- Découvrir les matrices customisées de Gefen sur CAT-5 ou Fibre optiques
    3- Découvrir la superbe gamme de Gefen sur les extendeurs Fibre optiques
    4- Voir comment la vidéo sur IP peut prolonger un signal HDMI, DVI ou VGA à travers un réseau local avec l’audio, l’USB 2.0, RS-232 et IR.
    5- En savoir plus sur les produits GEFEN, découvrir les nouveautés et poser des questions à des personnes compétentes  !

  • Maîtrisez les réseaux informatiques pour l’intégration audio/vidéo et domotique

    Maîtrisez les réseaux informatiques pour l’intégration audio/vidéo et domotique

    Tout est sur IP ! Et si des appareils ne le sont pas encore, cela va vite leur arriver. Un lecteur Blu-ray, un amplificateur home cinema, un téléviseur, … ils ont tous une prise RJ45 pour être relié au réseau informatique. Les systèmes de contrôle, comme URC ou OnControls, communiquent tous en IP, soit directement avec les appareils à piloter, soit à travers des passerelles vers infrarouge ou RS232.

    L’importance du réseau

    Les informations qui transitent sur le réseau sont des données de contrôle, des flux multimédia ou une connexion à Internet. La fiabilité d’un réseau informatique est donc primordiale ! Une perte de connexion à Internet est rageante, ne pas pouvoir piloter son système depuis l’iPad est énervant, ne pas pouvoir lire un fichier audio ou vidéo est inacceptable. Pour ne plus être confronté à ce genre de situation, il faut que vous maîtrisiez le réseau. Et cela va plus loin que le choix de câbles de qualité et adaptés, première étape que vous devez néanmoins valider, voir pour cela notre dernier guide : multimédia et audiovisuel, comment choisir le bon câble réseau ? Détaillons les trois éléments clefs d’un réseau informatique.

    Le routeur, pièce maîtresse du réseau

    Le routeur Internet, qui prend la forme d’une box et quel que soit son mode d’accès au web (ADSL, câble, fibre, parabole), est obligatoire dans tout réseau. Il est relié à Internet d’un côté, et à tous les éléments du réseau de l’autre. Il crée le lien entre tout le monde, en leur affectant une adresse IP unique à chacun, du type « 192.168.1.10 ».

    Le principal problème qui peut survenir dans un réseau informatique est lié au routeur. Ces box appartiennent aux fournisseurs d’accès. Elles permettent de se connecter Internet, mais également de téléphoner et de recevoir la télévision. On ne peut donc pas s’en passer. Mais ce n’est pas pour ça qu’elle sont totalement fiables.

    Les pannes sont aléatoires, parfois inexistantes, parfois très fréquentes, sans que l’on sache vraiment pourquoi. Et c’est rarement le service client du fournisseur d’accès qui va pouvoir vous aider. Seulement, lorsque la connexion Internet se coupe, c’est toute la box qui peut refuser de fonctionner correctement. Et donc par ricochet, même les appareils qui ont juste besoin d’un réseau pour communiquer entre eux, mais sans communiquer avec Internet, vont se retrouver quand même déconnectés.

    Les réglages sont nombreux dans une box, mais nous vous conseillons d’éviter au maximum de les modifier. Faites au plus simple, ne commencez pas à créer des réglages personnalisés ou des règles de routage, sauf si vous savez ce que vous faites et que vous êtes capable de le refaire sans problème.

    Routeurs avec ou sans WiFi intégré (Cisco)

    Si vous faites de nombreux réglages, lorsque la box va être changée parce que le fournisseur a sorti une nouvelle box, ou parce que la box était en panne, vous allez devoir refaire tous les réglages de zéro. Vous avez donc bien intérêt à les maîtriser, parce que sans ces réglages, plus rien ne fonctionnera comme avant sur le réseau.

    Dans le cas où la téléphonie et la TV par Internet ne sont pas utilisées, il est alors possible de se passer de la box du fournisseur et d’utiliser un routeur indépendant. Même si il y a toujours un mode de configuration simplifié pas à pas (de type « wizard »), les réglages sont nombreux et pas vraiment à la portée de tout le monde.

    Le switch, pour multiplier les ports

    Le routeur possède habituellement quatre ports réseau pour relier autant d’appareil. C’est très peu. Si la plupart des appareils se connectent en WiFi, ça peut être suffisant. Si vous mettez en place un réseau CPL, ça sera suffisant également. Mais si l’habitation est équipée de nombreuses prises réseau disséminées dans toutes les pièces, l’emploi d’un switch devient obligatoire. Le switch reçoit donc un câble venant du routeur et met à disposition de 5 à 48 ports réseau selon le modèle.

    Dans ce domaine aussi, la meilleure solution est de faire au plus simple. Il existe des switch simples, non manageables, et des switch manageables. Nous vous conseillons de prendre les premiers. Aucun réglage n’est possible, c’est comme si vous branchiez une multiprise réseau RJ45 sur le routeur. C’est l’idéal, le réseau reste géré de façon centralisée par le routeur.

    Switch non manageable mais rackable (HP)

    Si vous vous engagez sur le chemin des switch manageables, une très bonne connaissance du domaine est nécessaire. Vous allez pouvoir activer des protocoles spécifiques, créer des sous-réseaux invisibles les uns des autres, donner des priorités de qualité de service sur certains ports, etc. C’est très intéressant, mais il faut savoir ce que l’on fait.

    Le point d’accès WiFi

    Toutes les box sont équipées du WiFi désormais. Mais la couverture peut ne pas être suffisante pour de grandes habitations. Il faut alors ajouter des points d’accès complémentaires pour étendre le réseau. Le plus simple étant de supprimer le WiFi de la box pour le remplacer par un ou plusieurs points d’accès WiFi plus performants.

    Soit vous passez par des points d’accès « grand public » qui vont créer autant de réseau différents que de points d’accès, ce qui n’est pas forcément très pratique ; soit vous passez par une solution professionnelle qui unifie plusieurs points d’accès différents sous un seul et même réseau. Lorsque l’on se déplace dans la maison, on passe ainsi de façon transparente d’un point d’accès à un autre sans changer de réseau.

    Contrôleurs WiFi pour unifier plusieurs point d’accès WiFi (Ruckus)

    Une fois encore, ces produits spécifiques nécessitent une bonne connaissance des réseaux informatiques car ils apportent de nombreux réglages pointus. On peut créer des sous-réseaux WiFi, donner des accès et des droits différents selon l’appareil qui se connecte, privilégier une qualité de service pour certains appareils pré-définis, etc.

    Maîtrisez les problèmes les plus courants

    Lorsque la Box ne veut pas fonctionner ou que la ligne ADSL est instable, vous ne pourrez pas faire grand chose, à part attendre que le fournisseur veuille bien régler le problème de son côté. Mais les torts ne lui sont pas toujours tous imputables !

    Il faut savoir identifier les pannes en les isolant et en cherchant à les reproduire afin de pouvoir les supprimer, ce qui n’est pas toujours simple. De plus, certains produits raccordés au réseau ont un fonctionnement spécifique qui les rend incompatibles avec les autres éléments du réseau, ou avec certains switch de certains fabricants. URC conseille par exemple d’utiliser le switch URC MFS-8 qui va centraliser la communication entre les appareils de la marque, sans venir perturber le reste du réseau.

    Switch URC MFS-8

    Nos 10 conseils pour être à l’aise avec le réseau

    1. pourquoi utiliser un switch ou un routeur à 30 € dans une installation à 200.000 € ? Appliquez un budget réseau en rapport avec le reste de l’installation

    2. faites faire la recette du réseau, re-testez chaque prise réseau pour valider la continuité et le débit

    3. notez la plage d’adresse IP du réseau (192.168.0.xxx ou 192.168.1.xxx ou autre) diffusée par le routeur

    4. notez l’adresse IP du routeur, l’identifiant et le mot de passe

    5. notez les adresses DNS du fournisseur d’accès (exemple ici)

    6. étiquettez chaque câble réseau, à chaque extrémité, au niveau du switch comme à l’arrière de tous les appareils

    7. utilisez toujours les mêmes routeurs, switch et points d’accès dont vous maîtriserez la configuration

    8. n’hésitez pas à créer un réseau parallèle uniquement pour les appareils audio/vidéo et domotique

    9. utilisez des outils de diagnostique logiciel (exemples : IP, WiFi) et matériel (exemples : IP, WiFi)

    10. formez-vous

    Avec ces quelques conseils de base, vous serez suffisamment armé pour pouvoir commencer à rentrer dans le détail et à identifier les causes des pannes. Le réseau devenant de plus en plus présent et de plus en plus complexe, le conseil n°10 est peut-être le premier à suivre. Les plus grands fabricants d’équipement réseau proposent des formations, n’hésitez pas à sauter le pas !

  • Le Gagnant du casque POLK Ultrafit 3000 est …

    Le Gagnant du casque POLK Ultrafit 3000 est …

    Le Suspens est terminé !

     

    Notre jeu-concours Facebook pour gagner un casque Polk audio Ultrafit 3000 touche à sa fin !

     

    Merci à tous pour vos nombreuses participations ! Grâce à vous, nous avons atteint les 2985 fans sur notre page Facebook.

    Après avoir extrait vos nombreux et sympathiques messages, nous avons établi aléatoirement une liste de vos noms dans un simple tableau excel, attribuant à chacun de vous un numéro unique.

    Nous avons ensuite utilisé un petit logiciel de tirage au sort proposé par le site random.org, pour déterminer notre gagnant : Valérie L.

    Bravo à cette personne, nous la contacterons via son adresse e-mail afin de récupérer ses coordonnées postales nécessaires à l’envoi du lot !

    Merci à tous et restez connectés pour gagner d’autres lots magnifiques très bientôt !..

     

  • Créer un système multiroom audio sur IP avec la gamme URC

    Créer un système multiroom audio sur IP avec la gamme URC

    URC faisait jusqu’à il y a peu de temps les télécommandes, et autres éléments de contrôles compatibles, son cœur de métier. Pour aller plus loin, à travers la série Total Control, URC a maintenant tout ce qu’il faut pour créer un système audio multiroom sur IP jusqu’à 32 zones !

    Cette solution s’articule autour de quatre produits principaux. On trouve deux amplificateurs, les DMS-1200 et DMS-100, un lecteur audio numérique, le SNP-1, et un dock iPod/iPhone, le PSX-2. Tous ces produits communiquent ensemble sur le réseau informatique.

    Les amplificateurs

    Le DMS-1200 (rackable 3U) et le DMS-100 (1U) sont donc deux amplificateur sur IP. Le premier est un modèle 8 zones, avec 6 zones amplifiées (2×50 Watts) et 2 zones pré-amplifiées. Le DMS-100 est un modèle stéréo (2×50 Watts).

    Les réglages pour adapter ces amplificateurs à l’acoustique des pièces sont nombreux et paramétrables depuis l’application URC Accelerator : Loudness Compensation à bas volume, Bass Boost, Treble Boost, et égaliseur 5 bandes paramétrique.

    urc-multiroom-audio

    Cliquez pour agrandir

    Le DMS-1200 possède quatre entrées analogique et une entrée optique pour autant de sources, le DMS-100 a une seule entrée analogique.

    Les sources

    Au nombre de deux également, les sources sont représentées par le SNP-1 (1U) et le PSX-2. Le premier est un lecteur audio en réseau qui va aller chercher la musique stockée sur un NAS ou un dossier partagé et accéder aux radios web. Le second est un dock capable de synchroniser le contenu de l’iPhone/iPod avec une bibliothèque iTunes à travers le réseau.

    urc-psx-2

    Contrôle et musique via le réseau

    La force de cette solution audio multiroom, c’est la diffusion du flux audio des sources via le réseau. Une source reliée sur l’entrée analogique d’un DMS-1200 est sélectionnable et écoutable sur les enceintes reliées à un DMS-100 situé dans une autre pièce.

    On peut par exemple utiliser un DMS-1200 centralisé sur lequel seront reliées quatre sources audio distinctes. Ensuite, on peut installer dans chaque zone, dans un placard ou un sur une étagère, un DMS-100 dédié. Celui-ci sera capable d’accéder aux quatre sources reliées au DMS-1200.

    Les amplificateurs peuvent également à travers le réseau accéder à un ou plusieurs players SNP-1 et a un ou plusieurs dock PSX-2, quel que soit l’endroit où ils se trouvent dans la maison !

    URC conseille fortement d’utiliser leur switch réseau spécifique, le MFS-8, qui va assurer une communication « fermée » entre les éléments URC (contrôle et musique), sans venir surcharger le reste du réseau et ses autres éléments.

    Multiroom & encastrables

    Un système audio multiroom est souvent associé à des enceintes encastrables. C’est évidemment plus pratique de disséminer des enceintes dans toutes les pièces quand celles-ci sont encastrées dans les murs ou les plafonds.

    polk rc Guide : les enceintes encastrables Polk multiroom, HiFi et THX

    Nous vous conseillons d’associer les amplificateurs multiroom URC avec les enceintes Polk de la série RC. Efficaces et performantes, disponibles dans différents formats, ces enceintes sont parfaites pour de la diffusion multipièces. Le tweeter orientable est le petit plus pour adapter parfaitement ces enceintes à leur environnement.

    Un exemple de système multiroom URC

    Le schéma ci dessous vous présente un système multipièces, multisources, utilisant : les éléments URC, un contrôleur URC (obligatoire !), différents moyens de contrôle, des enceintes Polk et un serveur BNM pour stocker la musique.

    schema-urc-multiroom

    Cliquez pour agrandir

    En vous inspirant de cet exemple, vous pouvez constituer tout système multiroom personnalisé de 1 à 32 zones, avec différents modèles de télécommandes. Le tout peut être intégré au sein d’un système plus gros gérant la vidéo, le home cinema et la domotique, et toujours piloté par les mêmes télécommandes pour un « Total Control » !

    Accéder aux produits URC sur le site EAVS

  • Des prises encastrées au sol inox et universelles chez Legrand

    Des prises encastrées au sol inox et universelles chez Legrand

    Legrand est l’un des leaders mondiaux de l’appareillage électrique avec de nombreuses gammes très complètes. Il y a les produits classiques, et puis des produits bien plus spécifiques très intéressants pour les intégrateurs audiovisuel et domotique. C’est le cas de ces nouvelles prises de sol.

    Les prises de sol Legrand à la finition inox s’intégreront parfaitement dans tous les projets actuels. Ce produit bien pratique permet d’avoir à disposition près d’une table, d’un canapé ou d’un mur, ou encore sur un plan de travail, des prises de courant pour relier tout appareil de façon temporaire ou définitive.

    legrand-prise-de-sol_2

    Par rapport aux produits existants jusqu’à maintenant très basiques, ces nouvelles prises de sol acceptent tous les plastrons 45×45 de la gamme Legrand Mosaic ! Il y a les produits grand public Mosaic comme les prises réseau ou les borniers pour haut-parleurs, parmi tant d’autres.

    Mais il y a aussi dans le catalogue EAVS une offre de plus de 300 plastrons compatibles qui couvrent le RJ45, le VGA, le BNC, le RCA, le jack, l’USB, le XLR, etc. et de multiples combinaisons entre tous ceux là. Summum d’une intégration réussie avec style, ces prises de sol peuvent recevoir un éclairage par LED pour visualiser les prises simplement.

    plastrons

    Si votre électricien a préconisé du Legrand, pas de panique, vous ne serez pas bloqué. Laissez lui installer les réceptacles et garnissez-les ensuite avec les plastrons EAVS. Voilà une bonne façon de combiner design et fonctionnalité !

    Découvrir la gamme des plastrons 45×45 sur le site EAVS

     

  • Présentation de la gamme de boîtiers Komtech

    Présentation de la gamme de boîtiers Komtech

    Andreas Bellof, le Président de KOMTECH est venu en personne nous présenter sa gamme de boîtiers connectiques à encastrer : tabletop, modules, panneaux commutateurs… et de multiples solutions d’intégration de câbles et de connectique !

    komtech

    Komtech a été créée en 1982 à Friedberg en Allemagne. Suite à une demande sans cesse croissante, Komtech a développé des solutions haut de gamme dans le domaine de l’audio, la vidéo et la technologie des médias.

    La gamme Komtech comprend :
    – des Panneaux de connecteurs modulaires,
    – des câbles
    – la technologie de contrôle

    – des Systèmes électroniques

    Les panneaux de connections de table vous promettent un design élégant dans vos salles de réunion et sauront vous convaincre avec leur haute qualité technique et de la conception personnalisée.

    voir nos autres articles :

    A découvrir : nos solutions de connexions à encastrer KOMTECH

    Bientôt disponible sur le site EAVS !


    Komtech

  • Le stabilisateur de volume avec amplificateur audio GEFEN

    Le stabilisateur de volume avec amplificateur audio GEFEN


    VOUS SOUHAITEZ :

    Ecouter de la musique sur votre iPhone, un lecteur CD, ou un décodeur avec la possibilité de switcher facilement de l’un à l’autre en maintenant le même niveau sonore.

    VOUS AVEZ BESOIN :

    De l’amplificateur audio numérique 2.1 avec stabilisateur de W/volume.

    Le GTV-VOLCONT-DA, vous permet de switcher entre les entrées audio analogique et numérique, tout en gardant le même niveau sonore grâce au stabilisateur automatique de volume.

    Le Stabilisateur GefenTV 2.1 propose 3 entrées audio (TOSLINK, S/PDIF, et Analog L/R). Il apporte deux fonctions très intéressantes : c’est non seulement un décodeur audio qui downmixe les signaux AC3 5.1 en un signal stéréo analogique, mais il intègre aussi la technologie Dolby Volume qui réduit le volume sonore s’il augmente anormalement, par exemple, pendant la coupure publicitaire.

    Retrouvez le GTV-VOLCONT-DA ainsi que toute la gamme Gefen sur le site eavs-groupe.fr !

  • La norme Ultra HD : les futurs téléviseurs à très haute définition

    La norme Ultra HD : les futurs téléviseurs à très haute définition

    Nous entendons parler depuis de nombreux mois de téléviseurs nouvelle génération, dotés d’une très haute définition de 3840 x 2160 pixels, qui était jusqu’à lors appelée 4K. Mais le terme « 4K » était déjà utilisé dans le monde du cinéma numérique et représentait une définition 4096 x 2160 pixels.

    Il a donc fallu trouver un autre terme pour représenter la définition de 3840 x 2160 pixels ; C’est la CEA (Consumer Electronics Association) qui a mis en place l’appellation officielle pour nos TV très haute définition, avec la naissance de la norme Ultra HD (pour Ultra High Definition).

    Nos téléviseurs devront disposer de 8 millions de pixels pour afficher cette norme. Pour rappel, nos TV actuelles en « full HD » ne proposent qu’une définition de 1920×1080 pixels (1080p ou 1080i) avec 2 millions de pixels. Il s’agit donc d’un énorme bond en avant au niveau de la qualité de l’image. Il faudra par contre bien entendu attendre la disponibilité de programmes TV adaptés, comme cela avait été le cas lors de l’arrivée de la norme HD.

    De nombreuses TV Ultra HD (appelées 4K par les constructeurs) ont déjà été présentées lors de salons, comme la Sharp ci-dessus, mais leur commercialisation n’a pas encore commencé.

    Retrouvez toutes nos solutions Display sur le site eavs-groupe.fr !

  • HDMI : comprendre l’EDID et le HDCP pour éviter l’écran noir

    HDMI : comprendre l’EDID et le HDCP pour éviter l’écran noir

    Le câble HDMI a apporté autant de bonnes choses que de complications dans le domaine de l’audio/vidéo. Du côté des bonnes choses, on a un câble unique qui fait passer le son et l’image, en haute définition et en 3D ; de l’autre, on a un système de synchronisation et de protection qui peut causer de sacrés problèmes. Le résultat peut tout simplement être un écran noir !

    En analogique (composite, S-Video, YUV, Peritel), si il y a la continuité électrique sur chaque « pin », alors on a l’image au bout. Elle peut être mauvaise, parasitée, après c’est un autre problème liée à la qualité du câble ou au cheminement trop proche de certaines sources de parasites, comme un câble de courant.

    Avec un câble HDMI, même avec le meilleur du monde, on peut arriver à n’afficher aucune image. Les deux raisons principales tiennent dans les termes assez énigmatiques que sont l’EDID et le HDCP.

    Le câble HDMI

    Un câble HDMI est composé de 19 connexions, toutes utilisées dans la version 1.4 du HDMI. Il y a le transfert du signal audio et vidéo (TMDS), le contrôle entre appareils (CEC), le signal indiquant que le câble est connecté (HPD), le signal de synchronisation (DDC) et le transfert Ethernet et retour audio ARC (HEAC).

    hdmi-prise

    hdmi-fils

    hdmi-infos

    La liaison va pouvoir s’effectuer entre une source HDMI et un diffuseur HDMI si tout se passe bien sur le signal DDC. C’est à travers lui que transitent les informations de synchronisation EDID et HDCP.

    EDID

    L’EDID, ou Extended Display Identification Data, est un ensemble d’informations échangées entre la source et le diffuseur qui leur permettent de s’adapter l’un à l’autre. Les informations principales qui transitent via l’EDID sont les suivantes :

    • résolution et fréquence de rafraîchissement préférée
    • autres résolutions et fréquences acceptées
    • formats 3D supportés
    • formats sonores supportés
    • fabricant, référence, numéro de série, etc.

    lightware-edid

    Gestionnaire d’EDID dans le Lightware EDID Manager V4

    HDCP

    Le HDCP, ou High-Bandwidth Digital Content Protection, est une information envoyée par la source uniquement. C’est une protection anti-copie qui a pour but de restreindre le nombre de diffuseurs simultanés auxquels peut être relié une source via un nombre de clés limité. Les sources HDCP ont en mémoire cette limite qui est de 3 le plus souvent, mais qui peut monter jusqu’à 16.

    hdmi-formats

    Les trois formats de prises HDMI

    Comment ça marche ?

    Le cheminement est toujours le même lorsque l’on relie une source à un diffuseur. C’est dans toutes ces étapes successives que peut se produire le problème qui va vous empêcher d’afficher une image et d’obtenir le son.

    1. Connexion du câble entre la source et le diffuseur. Le diffuseur se réveille en premier grâce au signal reçu sur le port HPD.
    2. La communication est initiée sur le port DDC (début de la synchronisation EDID). La source est en attente de la liste des signaux supportés en entrée du diffuseur. Le diffuseur lui envoi.
    3. La source cherche dans sa propre liste de signaux en sortie, ceux qui sont compatibles avec ceux du diffuseur. Elle se cale sur l’un d’eux, le meilleur par défaut en mode automatique.
    4. Le signal audio/vidéo est alors activé et envoyé de la source vers le diffuseur.
    5. La source vérifie le nombre de diffuseurs qui lui sont raccordés, via un distributeur ou une matrice HDMI (début de la synchronisation HDCP). Si la limite n’est pas dépassée, le signal audio/vidéo continue à être transmis. Si le nombre de diffuseurs dépasse la limite, le signal audio/vidéo est coupé.
    6. La communication sur le port DDC est maintenue en permanence, si elle vient à changer, la boucle de reconnaissance est relancée.

    Les causes de l’écran noir

    Durant toute cette phase de synchronisation du signal pour que le HDMI arrive à bon port, les causes d’incompatibilités peuvent être multiples. Passons les en revue.

    Problème n°1 : il n’y a aucune image. Si vous passez par une matrice, le logiciel de configuration ne voit pas le diffuseur alors que tout est bien relié. Visiblement, le signal HPD n’est pas reçu par le diffuseur. Le diffuseur ne sait pas qu’une source lui est reliée, la synchronisation ne démarre pas et rien ne se passe !

    Solution : il faut vérifier le câble HDMI, certains peuvent être abîmés ou défectueux. Il faut vérifier toutes les connexions lorsque l’on utilise un extender : de la source vers le transmetteur, le câble réseau entre le transmetteur et le récepteur, et du récepteur vers le diffuseur. Les probabilités de pannes sont donc multipliées.

    Problème n°2 : le signal HPD est bien reçu, la communication peut être initiée. Le logiciel de configuration de la matrice voit les appareils, mais il y a un problème sur la liaison DDC qui empêche les informations EDID d’être échangées. La boucle de synchronisation tourne en rond, le diffuseur affiche une image noire.

    Solution : les solutions sont les mêmes que pour le problème n°1, le problème vient du câblage.

    Problème n°3 : les informations EDID sont bien échangées, mais aucun terrain d’entente n’est trouvé. Les résolutions acceptées par le diffuseur et celles envoyées par la source ne sont pas compatibles. Soit il n’y a aucune résolution compatible, ce qui est plutôt rare, soit la source et/ou le diffuseur ont été réglés sur des résolutions fixes qui ne sont pas les mêmes des deux côtés. L’image reste désespérément noire, ou bien elle saute en permanence en ne s’affichant que quelques millisecondes aléatoirement.

    Solution : le plus simple est de repasser en automatique des deux côtés, la meilleure résolution sera alors sélectionnée automatiquement. Lorsque vous avez l’image, vous savez que la synchronisation est possible, vous pouvez ensuite tester pour trouver d’autres résolutions compatibles qui vous intéressent.

    Problème n°4 : vous êtes dans une configuration multiroom vidéo. Parfois vous avez bien l’image dans toutes les zones, parfois vous ne l’avez dans aucune zone.

    Solution : vérifiez bien que lorsque l’image est inaccessible dans toutes les zones vous n’avez pas dépassé le nombre de clés autorisées par le HDCP de la source. Pour cela, affichez la source sur un téléviseur uniquement, puis allumez-en un autre, et ainsi de suite jusqu’à vérifier si tout à coup, l’image disparaît simultanément de tous les diffuseurs. Éteignez le dernier diffuseur allumé, l’image va revenir sur tous les autres, et vous aurez alors le nombre de clés autorisées pour cette source !

    Problème n°5 : l’image et/ou le son sont bien là, mais soit le signal n’est pas stable (l’image disparaît puis revient toutes les X secondes), soit l’image tire sur le vert ou le magenta, soit l’image a des pixels blancs aléatoires plus ou moins nombreux, comme de la neige.

    Solution : ces erreurs sont dues à un câblage défectueux. Le câble est de mauvaise facture, l’extender HDMI est de mauvaise facture, le câble réseau utilisé pour l’extender est de mauvaise facture ou les prises RJ45 sont mal terminées. Il faut bien vérifier tous ces points.

    Problème n°6 : un jour tout fonctionne, c’est stable, l’image est parfaite. Quelques jours plus tard, ça ne fonctionne plus. Vous réinitialisez tout, ça fonctionne à nouveau. Et puis quelques semaines plus tard, rebelote, ça ne fonctionne plus.

    Solution : cette panne est souvent due à la mauvaise qualité des switchs et distributeurs HDMI. Lorsque ceux-ci ne gèrent pas l’EDID, cela signifie que la source doit en permanence se synchroniser avec différents diffuseurs, qui sont parfois allumés, parfois éteints. Au bout d’un moment, elle abandonne et plus rien ne passe. La seule solution est de passer à des produits plus évolués qui gèrent l’EDID. Le schéma ci dessous résume cette situation. En haut la source gère l’EDID de tout le monde (compliqué), en dessous elle ne gère que l’EDID de la matrice (idéal).

    switch-matrice

    Les alternatives techniques

    Il arrive parfois que malgré tous les tests, et en ayant rempli toutes les conditions, l’image et le son refusent de s’afficher. Mis à part le problème de câbles et de connexions de mauvaise facture et la limite de clés HDCP dépassée qui sont des problèmes pratiques, les problème qui peuvent rester concernent l’EDID. Il arrive que certains appareils refusent de se synchroniser, alors que techniquement toutes les compatibilités sont bien présentes.

    Ce sont des problèmes d’ordre logiciel sur lesquels il faut des outils spécifiques pour intervenir. Si vous passez par un distributeur HDMI ou une matrice, nous vous conseillons d’utiliser des modèles avec gestion d’EDID intégrée. En vous connectant à ces produits via leur logiciel de configuration, vous pourrez intervenir sur différentes informations transmises via l’EDID et les modifier.

    En les modifiant, vous pourrez faire croire à une source que le diffuseur auquel elle est reliée est un autre modèle. En sélectionnant le bon modèle compatible avec la source, l’image et le son apparaissent alors !

    gefen-ext-hdmi-edidp

    On trouve ce type d’appareil également sous forme indépendante et universelle, chez Gefen, le HDMI Detective Plus, ou chez Lightware, le EDID Manager V4. Le premier est plutôt simple, avec cinq profils EDID pré-programmé et un sixième que l’on peut configurer soi-même. Le second est plus évolué avec 50 profils pré-programmés et 29 profils configurables.

    En résumé…

    Le HDMI est très capricieux, surtout lorsque l’on rentre dans des configurations complexes, multi sources et multi zones. Il faut avant tout soigner le câblage, c’est la base, que ce soit pour les câbles HDMI comme pour les extenders HDMI. Le problème se trouve ici dans la plupart des cas !

    Ensuite, il faut connaître les caractéristiques des appareils utilisés pour ne pas rester bloqué sur des résolutions incompatibles. Enfin, en cas d’incompatibilité avérée, il faut passer aux EDID manager, ces appareils qui vont permettre d’agir sur la synchronisation pour que tout rentre dans l’ordre.

  • Les 10 raisons de choisir URC pour son système de contrôle

    Les 10 raisons de choisir URC pour son système de contrôle

    URC est le leader du contrôle sur le marché américain avec une gamme complète déjà détaillée dans nos colonnes. De la télécommande à l’écran tactile mural en passant par les différents contrôleurs, URC couvre tous les besoins en termes de pilotage pour les systèmes audio/vidéo, home cinema, multiroom et domotique.

    Quels sont les avantages incontournables des produits URC ? Voici les 10 raisons pour lesquelles URC peut faire partie des prochains systèmes de contrôles que vous installerez !

    1. deux séries de produits complémentaires

    Complete Control pour piloter une seule pièce comme un salon multimédia ou un home cinema, ou Total Control pour piloter toutes la maison et toutes ses zones audio et vidéo. Il y a la solution à toutes les situations. Lire notre billet explicatif

    2. adapté au résidentiel comme au petit tertiaire

    La versatilité des produits URC est telle qu’une utilisation est possible aussi bien dans une maison que dans une salle de réunion, avec des produits équivalents et la même logique de configuration. Lire notre billet explicatif

    3. des télécommandes intelligentes à partir de 200 Euros

    Chez URC, il y a près de 15 télécommandes qui couvrent tous les besoins : peu de boutons, beaucoup de boutons, avec écran ou sans écran, tactile ou non tactile.

    4. WiFi, ZigBee, RF – tous les protocoles pour toutes les situations

    Les télécommandes communiquent avec les contrôleurs en RF, ZigBee ou WiFi selon le modèle. Dans tous les cas, inutile de viser les appareils à piloter, les ordres sont donc envoyés sans fil au récepteur caché près des appareils.

    5. le pilotage sur IP

    Les contrôleurs de la série Total Control communiquent entre eux sur IP, avec les appareils tels que les intégrés home cinema des spécialistes du domaine, ou encore avec les éléments multiroom URC comme les amplificateurs.

    6. la génération automatique des interfaces graphiques

    Dans la série Total Control, une fois les zones et les appareils définis, le logiciel crée automatiquement les interfaces pour les télécommandes, les dalles tactiles murales, l’iPhone et l’iPad, retour d’informations compris.

    7. le contrôle à distance de son système

    Les contrôleurs de la série Total Control sont accessibles à distance via Internet pour prendre la main sur le système : visualisation des caméras de surveillance, extinction des lumières restées allumées ou changement de la consigne de chauffage.

    8. l’évolution sans limite du système

    Une fois le contrôleur maître installé, l’installation peut évoluer petit à petit sans limite en ajoutant des contrôleurs esclaves et en ajoutant ou en faisant évoluer les télécommandes.

    9. 50 millions de télécommandes déjà vendues dans le monde

    URC fabrique des télécommandes depuis 20 ans pour un très grand nombre de sociétés : téléviseurs, décodeurs satellite, lecteurs DVD, vous avez peut-être déjà une télécommande URC chez vous.

    10. les télécommandes préférées des intégrateurs américains

    En 2011, 73% des 100 plus grands intégrateurs audio/vidéo et domotique américains utilisent les télécommandes URC dans les projets de leurs clients.

    cepro-remote-urc

    Document (c)CEPro

    BONUS !

    11. bientôt une interface à l’écran en surimpression

    D’ici quelques mois, URC ajoutera un nouveau contrôleur à sa gamme qui permettra de piloter l’ensemble de son installation depuis son téléviseur, en HD et en surimpression OSD sur le programme que l’on est en train de visionner.

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    Découvrir la gamme URC sur le site EAVS