Vestel a présenté lors de l’ISE 2024 sa nouvelle série C de moniteurs pour l’affichage dynamique 24h/24. Ces écrans viennent répondre aux demandes croissantes de produits moins gourmands en énergie, une véritable tendance en 2024 et pour les années à venir.
Vestel C-series économise l’électricité
La série C de Vestel se compose de moniteurs vertueux dont la caractéristique phare est de consommer entre 80 et 100 Watts de moins que les modèles précédents équivalents.
Etant donné que ces écrans pour l’affichage dynamique sont destinés à des environnements où ils tournent 24h/24, l’économie n’est absolument pas négligeable.
Dans ce cas précis, si l’on fait les calculs avec l’abonnement EDF classique actuel à 0,25€ le KWh, cela représente jusqu’à 220 € d’électricité économisée par an et par écran !
Pour économiser la consommation électrique, il aurait été facile de supprimer des fonctions et de réduire la qualité d’affichage, et plus particulièrement la luminosité.
Vestel a réussi à concevoir des écrans de nouvelle génération dont la consommation d’énergie est en chute libre sans faire de concession sur la qualité de l’image.
En effet, les trois modèles de la C-series en 55″, 65″ et 75″ conservent leur luminosité de 500 nits nécessaire pour un affichage dynamique qualitatif dans les environnements recevant du public.
80% de réduction de consommation pour répondre aux enjeux du futur
En bref, Vestel fait partie des premiers fabricants d’écrans à se soucier de la consommation électrique en proposant des produits réellement efficaces dans ce domaine. Avec 80 à 100W de consommation en moins, c’est 80% d’économies générées !
La gamme éco-efficace de Vestel pour 2024 va révolutionner l’industrie de l’affichage commercial et dynamique avec des économies massives de consommation d’énergie. Il s’agit d’un gain substantiel pour les sites avec plusieurs écrans en apportant aux clients une contribution significative à leurs objectifs de réduction de leur empreinte carbone.
Tim Matthews, Chef produit Vestel Visual Solutions UK
Philips fait évoluer la série E-Line pour des résultats supérieurs et un rapport qualité/prix encore amélioré. Il y a deux références : BDL3152E pour les modèles classiques, BDL4152E pour les modèles avancés. Voyons quels sont leurs avantages et leurs nouveautés.
Des écrans 4K sous Android 13 certifiés Google
La certification Google EDLA signifie que les écrans Philips BDL4152E pour l’éducation remplissent les conditions pour afficher le Play Store, accéder aux services Google Mobile et bénéficier de Google Play Protect. Cette dernière fonction assure que les applications sont vérifiées et ne risquent pas de créer des failles de sécurité.
Comparativement à la génération précédente d’écrans E-Line, les BDL3152E et BDL4152E passent d’Android 10 à Android 13 pour profiter des dernières évolutions du système d’exploitation de Google. Les utilisateurs se retrouvent ainsi en terrain connu, l’interface étant identique à celle des quelque 3 milliards de téléphones et smartphones Android qui l’utilisent déjà.
Les deux références ont un équipement physique quasiment similaire, mais une puissance interne différente. Les BDL3152E ont de nouveaux haut-parleurs en façade de 2x16W, 32 Go de stockage et 4 Go de RAM. Les BDL4152E passent à 2x20W, 64 Go de stockage et 8 Go de RAM.
« Philips Collaboration Series for Education »
Les écrans tactiles BDL3152E et BDL4152E font partie de la série des moniteurs collaboratifs dédiés à l’éducation. En cela, ils passent par exemple de 20 points de contact à 40 points de contact pour que plus d’élèves puissant travailler en même temps. Ces écrans sont donc disponibles uniquement dans de grandes tailles : 65, 75 et 86″.
La fonction ScreenShare est intégrée. Elle permet jusqu’à 64 connexions d’appareils externes sans fil, en AirPlay, Google Cast ou Miracast. Cela simplifie la mise en œuvre et évite d’avoir à ajouter un boîtier externe. Les trois entrées restent disponibles : les deux HDMI 2.0 ainsi que l’USB-C, qui assure la recharge jusqu’à 65W au passage.
La nouvelle application Philips Genius est une boite à outils pour l’éducation avec tout ce dont a besoin un enseignant. Prête à être utilisée, elle ne demande aucune installation de logiciels complémentaires. Philips Genius intègre même la vidéoconférence, il suffit de relier à l’écran une caméra compatible en USB.
Philips BDL3152E et BDL4152E : des écrans collaboratifs pour l’enseignement
En conclusion, Philips propose six nouveaux écrans tactiles dédiés au monde de l’éducation, avec deux niveaux d’équipements et dans trois diagonales différentes. Grâce à Android et aux applications Philips présentes, ces moniteurs sont autonomes.
Chez PPDS, nous comprenons bien sûr la valeur et les opportunités que les affichages interactifs peuvent apporter pour créer une expérience de classe engageante. Nous avons travaillé dur pour rassembler les fonctionnalités d’aujourd’hui et de demain, avec le pouvoir de transformer l’expérience d’enseignement et d’apprentissage.
Robert Hsu, directeur de la stratégie produit chez PPDS
L’ensemble AVer VC520 Pro3 se compose d’une caméra et d’un speakerphone. Cela permet d’ajouter simplement à votre salle les éléments nécessaires à la tenue de sessions de visioconférence. La caméra dispose de multiples fonctions intelligentes, tandis que la partie audio peut être multipliée pour couvrir les salles de réunion de taille moyenne à grande.
Une caméra motorisée avec zoom 36x
La référence VC520 Pro3 a la particularité d’être composée de deux produits complémentaires. Il y a tout d’abord cette caméra Full HD à 60 i/s. Elle bénéficie d’une motorisation PTZ et d’un zoom 36x. Cela permet de visualiser très précisément des éléments d’un tableau blanc par exemple. La technologie de compensation WDR sait adapter en permanence le contraste selon les conditions de lumière ambiante.
On trouve également dans cette caméra la technologie Smart Composition d’AVer. Cela consiste, pour son objectif, à filmer l’ensemble des participants puis à découper l’image. Ainsi, elle peut proposer un affichage multifenêtré. De cette façon, on obtient une visualisation comme si l’on avait plusieurs caméras alors qu’il y a bien uniquement la VC520 !
Un micro/haut-parleur de table évolutif
Le système VC520 Pro3 comprend un speakerphone associé. Ce petit module à placer au centre de la table est équipé d’un double micro omnidirectionnel avec annulation d’écho et réduction de bruit. La puissance du haut-parleur est de 6 Watts.
L’entrée mini-jack pour téléphone externe est la première évolution possible. Le port RJ45 bleu correspond à la liaison directe avec la caméra, afin de transmettre le son qui sera combiné à l’image. Quant au port RJ45 rouge, il sert aux extensions : jusqu’à deux speakerphones identiques ou jusqu’à quatre micros full duplex pour les plus grandes salles.
Trois modes de diffusion pour le système AVer VC520 Pro3
Enfin, grâce à sa sortie 3 voies, vous avez trois façons d’intégrer le système AVer VC520 Pro3 dans vos salles de réunion. La prise HDMI servira à un affichage direct vers l’écran de la salle ou vers un pupitre de mixage vidéo. Le port réseau transmet le flux vers Internet pour de la diffusion live. Tandis que le port USB offre une connexion directe à un PC pour une intégration dans un logiciel de visio.
A l’occasion de l’ISE 2024, Lightware a inauguré son tout nouveau logo ! Les trois lettres « LWR » caractériseront désormais les produits de cette société spécialisée dans les interfaces AV, partenaire de EAVS Groupe depuis ses débuts. Lors de ce salon incontournable, toujours plus de produits innovants ont été présentés aux professionnels de l’audiovisuel.
Décomplexifier l’AV dans les salles de réunion
Voilà en résumé l’objectif d’un grand nombre de produits en nouveauté chez Lightware à l’ISE 2024. Ils viennent compléter d’autres équipements qui avaient déjà ce même but. Les fonctionnalités se multiplient pour être au service des utilisateurs. La diffusion et le contrôle AV en salle de réunion doivent être les plus évidents possible, sans avoir besoin de suivre une formation ou de devoir lire un mode d’emploi.
Voici un aperçu des nouveautés qui ne sont pas encore officialisées sur le site Lightware. Elles le seront au cours des prochaines semaines. Ce sera l’occasion de vous les présenter une à une en détail sur le blog EAVS.
Nouvelles fonctions pour Taurus UCX
Les interfaces AV, USB et IP pour rassembler et distribuer tous les éléments d’une salle de réunion évoluent. Elles proposent désormais le double écran, non pas pour doubler l’image mais bien pour un affichage étendu. Certains modèles bénéficieront de l’audio Dante bidirectionnel, avec contrôle de la captation via DSP.
Taurus TPX compatible Microsoft Teams
Les interfaces Taurus UCX ont été complétées plus récemment par les modèles Taurus TPX. Ceux-ci sont en deux éléments : interface émettrice et récepteur à brancher à l’écran de la salle. Les deux communiquent en point à point via un simple câble réseau. La solution TPX est désormais pilotable depuis l’interface Microsoft Teams pour différentes fonctions, dont la sélection des sources.
Taurus TPN SDVoE
Les interfaces Taurus TPN sont des évolutions musclées des TPX. Toujours en deux éléments émetteur/récepteur, on passe cette fois en AVoIP, et plus précisément sur le protocole SDVoE. C’est-à-dire sur réseau 10G pour de la 4K sans compression. Le multi sources / multi écrans en salle de réunion n’aura plus de limite !
Cordons USB-C
Lightware complète sa gamme de câbles USB-C de moyenne et grande longueur avec des nouveaux modèles de 1 à 3m capables de passer, en plus des données, jusqu’à 240W de puissance pour la recharge et l’alimentation. Une petite LED confirme la présence de la puissance.
UBEX Multiview
Les extenders AVoIP SDVoE de la gamme UBEX sont maintenant capables de faire de l’affichage multifenêtré. La fonction Multiview disponible en sortie permet de créer une image coupée en quatre avec quatre flux via une seule sortie HDMI.
Gemini GVN
Cette nouvelle gamme d’interfaces est dédiée à l’extension de signaux en AV sur IP à 1Gbps. Cela répond à une demande du marché et permet de venir concurrencer les acteurs déjà en place. Les Gemini GVN passent la 4K à 60 Hz, en 4:4:4, sans latence, à travers un réseau cuivre ou fibre, le tout avec une consommation électrique ultra faible.
Quelle salle de réunion n’a pas aujourd’hui son système de visioconférence ? Qu’il soit installé à demeure ou mis en place selon les besoins, il répond aux attentes de réunion plus efficaces. Tous les participants peuvent toujours être présents, qu’ils soient sur place ou à distance. Nous allons voir dans ce guide les origines de la visioconférence, les logiciels associés, les meilleures façons de l’installer dans votre salle de réunion et des exemples d’équipements pour les systèmes de visioconférence.
Histoire de la visioconférence
Qu’est-ce que la visioconférence ? C’est un système de diffusion vidéo à distance permettant la communication entre deux ou plus de personnes. L’invention date des années 1950. Puis les premiers prototypes proches de la production sont nés dans les années 60. En 1970, la société américaine AT&T présentait le Picturephone II, le premier système de visio conférence disponible pour les entreprises. Il était lié à un abonnement mensuel pour l’usage du service. En 1972, la visioconférence faisait son apparition en France grâce à Matra. Il n’était pas commercialisé auprès des entreprises mais réservé à un usage interne par le Centre national d’études des télécommunications, un organisme qui dépendait alors des PTT.
A cette époque, la problématique était celle du débit des données qui transitaient par le réseau téléphonique analogique. Les technologies n’étaient pas encore prêtes pour leur faire passer autre chose que de la voix ou des telex. Dans les années 80, les premiers développements autour de la transmission numérique de l’image à distance sont apparus sur des appareils commercialisés auprès du public, essentiellement au Japon.
Mais c’est l’invention de la webcam dans les années 90 qui a tout changé, quand Internet est devenu accessible au grand public. Bien que les débits et la qualité des codecs étaient assez faibles au départ, les technologies n’ont fait que s’améliorer avec le temps. La webcam personnelle s’est professionnalisée pour devenir un outil de communication de premier plan dans les entreprises dès les années 2000. Cela a été rendu possible par l’amélioration des codecs de compression, la qualité des optiques des caméras et l’augmentation des débits Internet. La visioconférence telle qu’on l’utilise actuellement est donc une technologie assez jeune !
Les avantages de la visioconférence moderne
Grâce à la visioconférence, il est possible de se voir et d’échanger sans avoir à se déplacer. C’est là l’avantage numéro un de cette technologie. La visio conférence prend encore plus d’ampleur à l’heure du télétravail généralisé et du travail hybride. Elle évite la présence des personnes et la complexité que cela pouvait avoir par le passé de devoir rassembler plusieurs personnes physiquement à la même heure au même endroit.
Le second avantage concerne l’enregistrement des réunions. La plupart des solutions de visioconférence permettent d’enregistrer l’intégralité de la session. Mise à disposition des participants comme des absents, il devient possible de la visionner plus tard pour retrouver les informations et servir de base à d’autres sessions de travail ultérieures.
Le troisième avantage des solutions de visioconférence moderne concerne la facilité d’utilisation. Il y a quelques années encore, il fallait utiliser des logiciels peu fiables auxquels on connectait des équipements de piètre qualité. La mauvaise qualité d’image et du son rendait les interactions difficiles, sans compter les bugs et autres coupures en plein milieu de la réunion. Les produits de visioconférence actuels, lorsqu’ils sont correctement mis en œuvre, garantissent des séances de travail fluides et productives.
La visioconférence permet littéralement d’organiser une conférence par l’intermédiaire d’un écran, d’où le terme « visio ». La vidéoconférence est un synonyme de visioconférence. On a remplacé le terme visio pour vidéo, car dans tous les cas on utilise un écran vidéo pour afficher l’image de la personne distante. Mais c’est globalement le terme visioconférence qui reste le plus utilisé. La téléprésence correspond à une application spécifique de la visioconférence. C’est le cas dans lequel les écrans dans la salle de réunion sont assez grands pour que les personnes distantes s’affichent en taille réelle. Comme si elles étaient présentes physiquement dans la pièce, tout en étant à distance, d’où le terme télé – présence. Quant au chat vidéo, il permet également de communiquer avec une personne à distance tout en le voyant à l’image. Utilisant une webcam, c’est en somme la visioconférence pour les particuliers.
Comment organiser votre salle de réunion pour les visioconférences
Les visioconférences peuvent prendre différentes formes dans une salle de réunion. Nous nous intéresserons ici aux solutions fixes. Les solutions temporaires mobiles sont intégrées aux ordinateurs portables, smartphones et tablettes qui disposent de toutes les fonctionnalités nécessaires. Contrairement à la visio conférence fixe, la visio depuis un appareil personnel est limitée à la personne qui l’utilise. Tandis qu’une installation dans une salle de réunion est capable d’impliquer de multiples participants, sur place comme à distance. Pour bien organiser votre salle de réunion pour la visioconférence, il y a trois points importants à prendre en compte : l’environnement, le matériel et le logiciel.
Espace de travail
Avant d’acquérir quelque matériel que ce soit, il faut étudier de quelle façon la salle va pouvoir accueillir le système de visioconférence. Évidemment, il y aura un écran. Toutes les personnes assises doivent pouvoir voir correctement l’écran qui doit avoir une surface suffisante. Dans l’autre sens, les personnes à distance doivent pouvoir visualiser tous les participants. Il faut également éviter que la lumière du jour tape sur l’écran pour garantir un bon contraste, gage de confort visuel. Des stores occultants pourront être baissés lors des sessions de visio. La taille des équipements, leur positionnement, le nombre de personnes maximum et leur disposition sont autant de critères à prendre en considération.
Équipements
Les équipements de visioconférence doivent être adaptés à l’usage. On ne va pas positionner une webcam à quelques dizaines d’euros sur la table pour des réunions de douze personnes. C’est justement le nombre de personnes sur place qui va le plus souvent dicter la liste des appareils à acquérir : la taille de l’écran, l’angle de vue et la qualité de captation de la caméra, le nombre de micros. Il y a également les accessoires augmentant la productivité des réunions qui sont ici à évaluer : le multi-écrans, la possibilité pour les personnes présentes de partager leur écran vers la visio (et de quelle façon), les équipements partagés sur place tels qu’un visualiseur, un ensemble clavier/souris, etc.
Les logiciels de visioconférence sont nombreux. Vous avez un ainsi un large choix, bien que les fonctionnalités soient assez similaires entre tous ces logiciels. Leur but premier est de connecter les participants distants entre eux. Chacun doit utiliser le même logiciel installé sur sa machine puis se connecter à une session. Celle-ci aura été programmée sur un créneau, avec un code d’accès pour que n’importe qui ne puisse pas s’y connecter.
Les logiciels de visio conférence sont multiparticipants. Cela signifie que plusieurs personnes et salles de réunions peuvent être connectées à la même session. L’affichage est alors multi fenêtré. Le choix du logiciel est le plus souvent imposé par le service informatique de l’entreprise. Lorsque l’on est un participant externe, un prestataire par exemple, il faudra alors avoir le logiciel de visioconférence utilisé par l’entreprise de son client sur son ordinateur. Voilà pourquoi on peut se retrouver à toujours avoir plusieurs logiciels de visioconférence installés sur son ordinateur.
Visioconférence gratuite ?
La plupart des logiciels de visioconférence sont gratuits. Ou tout du moins, il en existe une version gratuite à côté des versions payantes. Nous allons nous intéresser ici aux quatre logiciels de visio les plus utilisés : Zoom, Teams, Meet et Webex. Les versions gratuites sont basiques dans le sens où elles intègrent l’essentiel pour communiquer en vidéo à distance. Elles permettent par exemple d’inviter un maximum de 100 participants, ce qui répond déjà à la grande majorité des cas. En revanche, les versions gratuites sont limitées en temps : entre 40 et 60 minutes selon le logiciel. Une fois le temps écoulé, la session s’arrête. Tandis que les versions payantes offrent jusqu’à 30 heures d’usage continu et de 150 à 1000 participants. Les logiciels de visio dans leur offre payante ajoutent d’autres fonctionnalités telles que de l’intelligence artificielle, plus de sécurité, du stockage cloud ainsi qu’une assistance avancée.
Offre gratuite – 60 min 100 participants
Offre gratuite – 60 min 100 participants
Offre gratuite – 40 min 100 participants
Offre gratuite – 40 min 100 participants
Offre payante à partir de 5,75€ HT par utilisateur – 30 heures 100 participants Cloud 30 Go Assistance standard Option de sécurité
Offre payante à partir de 3,70€ HT par utilisateur – 30 heures 300 participants Cloud 10 Go Support web/tél Chiffrement données
Offre payante à partir de 13,50€ HT par utilisateur – 24 heures 150 participants Cloud 5 Go Transcription Chiffrement données
Offre payante à partir de 14,99€ HT par utilisateur – 30 heures 100 participants Cloud 5 Go AI companion Apps
Quel logiciel de visioconférence ?
Les fonctionnalités sont bien plus nombreuses que ce tableau résumé ci-dessus. Les différences de tarif concernent de nombreuses autres possibilités qui peuvent avoir leur importance dans votre cas précis. Si vous travaillez essentiellement sur la suite Microsoft Office, alors il est préférable d’opter pour Microsoft Teams par exemple. Ensuite, certaines fonctions sont plus complètes ou plus avancées chez certains, comme la possibilité de choisir une image de fond derrière les personnes ou d’afficher des avatars. Le nombre de participants pouvant être affichés simultanément à l’image est un critère qui peut être important pour vous. Tandis que le degré de sécurisation des données a aussi un caractère d’importance. Vous allez donc peut-être choisir par défaut le logiciel dont vous avez le plus entendu parler, ou celui que vos clients ou partenaires utilisent habituellement. Il peut être pertinent d’étudier de près l’ensemble des fonctionnalités offertes par chaque logiciel pour valider votre choix.
Comme nous l’avons vu, le matériel de visioconférence doit correspondre avant tout aux usages qui en seront faits en fonction de l’environnement. Les équipements se divisent en différentes catégories qui ne sont pas toutes obligatoires. Les produits les plus récents ajoutent des fonctions inédites comme l’intelligence artificielle, la simplification du câblage, des affichages mieux adaptés à la vision humaine, ou encore des équipements tout-en-un.
Un PC dédié
Le logiciel de visioconférence retenu doit pouvoir tourner sur une machine. La bonne idée est de dédier un PC à la salle de réunion à demeure qui s’occupera de cette tâche. C’est à lui que seront reliés tous les autres équipements. L’autre solution est de laisser les utilisateurs de la salle se servir de leur propre ordinateur portable sur lequel est installé le logiciel. Dans ce cas, l’ordinateur doit pouvoir être relié aux équipements facilement, si possible avec le minimum de câbles. Le dernier cas qui tend à se généraliser est celui du moniteur avec un système d’exploitation, comme s’il était un ordinateur lui-même. C’est dans ce cas l’écran de la salle qui intègre le logiciel de visio, le plus souvent sous Android ou sous Windows.
L’afficheur le plus courant pour la visioconférence est le moniteur de plus ou moins grande taille. Le vidéoprojecteur est de moins en moins utilisé dans ce cadre. Surtout depuis qu’il existe des moniteurs en 86 ou 98″ qui offrent une surface d’image similaire sans les contraintes de la vidéoprojection. Sa taille doit être suffisante pour une vision confortable. Les nouveaux écrans 21/9e sont particulièrement bien adaptés à la visioconférence. Ils permettent d’afficher les documents de travail et les vignettes avec les visages des participants distants sur les côtés ou en-dessous, le tout avec un angle de vision idéal. L’autre possibilité consiste à associer deux moniteurs cote à cote pour faire du double écran, chacun avec un contenu différent.
La caméra est forcément indispensable. Il existe de petits modèles qui se clipsent sur le haut d’un moniteur vidéo, sur le même modèle que certaines webcams. Ils sont plutôt dédiés aux salles de réunion de petite taille. Au-dessus, il est préférable d’investir dans une caméra autonome à poser en-dessous ou au-dessus de l’écran de la salle. Ces dernières sont désormais quasiment toutes motorisées (PTZ). Il n’y a pas besoin de la commander soi-même : l’intelligence artificielle permet justement de suivre automatiquement l’orateur ou de zoomer sur une personne qui prend la parole. La qualité de captation varie entre la Full HD et la 4K. La qualité de l’objectif est toute aussi importante, surtout si ce dernier est associé à un zoom optique ou numérique.
Les caméras sont équipées de deux trois types de sortie : vidéo, USB, IP. La sortie vidéo, typiquement en HDMI, doit être reliée à un convertisseur afin de pouvoir s’insérer dans le logiciel de visio. La sortie USB se connecte directement à un ordinateur dédié à la visio. Tandis que l’IP permet de créer un flux qui sera disponible sur le réseau mais qui sera aussi diffusé en live si on le souhaite, via une plateforme comme YouTube par exemple.
Il existe des modèles de caméra à double objectif capables de filmer en même temps un plan large de tous les participants et un plan serré sur la personne qui parle. D’autres découpent une vue globale en vignette avec la tête de chaque personne présente, comme s’il y avait autant de caméras que de personnes. Il est toujours possible d’utiliser plusieurs caméras avec des angles de vision distincts. Il faudra alors passer par un pupitre mélangeur permettant de sélectionner l’image, certains modèles étant autonomes pour basculer d’une caméra à une autre en suivant les personnes qui prennent la parole.
Les micros
La plupart des caméras sont équipées d’un micro. Cependant, il est préférable d’opter pour une solution séparée afin que chaque équipement s’occupe du mieux possible de son domaine. Les micros de table à placer au centre sont capables de capter à 360°. Il y a ici encore une partie d’intelligence pour couper le bruit de fond du côté opposé à la personne en train de parler. Certains micros de ce type peuvent être raccordés en série pour couvrir de grandes salles. Pour plus de discrétion, vous pouvez opter pour des microphones de plafond. Ensuite, il est possible d’opter pour des micros individuels à installer face à chaque participant. C’est la solution optimale.
La visioconférence consiste à capter l’image et le son pour que les participants distants puissent suivre la réunion comme s’ils étaient sur place. Dans la salle elle-même, il faut également pouvoir entendre les personnes non présentes lorsqu’elles prennent la parole. Les enceintes sont donc obligatoires dans une salle de visioconférence. Le plus simple est d’utiliser celles qui font partie du moniteur vidéo. Tous les moniteurs n’ayant pas d’enceintes intégrées, il faudra alors ajouter un système sonore. Ce dernier prend la forme d’une paire d’enceintes placées de chaque côté du moniteur. Elles seront reliées le plus souvent au PC qui gère le logiciel de visio.
La barre vidéo est une nouvelle catégorie de produits qui embarque toutes les fonctions dans un boîtier unique. La barre vidéo reprend l’esthétique d’une barre de son home cinema. Sauf qu’il y a, en plus des haut-parleurs, une caméra et des micros intégrés. La barre s’installe au-dessus ou au-dessous du moniteur de la salle. Elle se connecte par exemple en USB au PC de la salle et sera vue par le logiciel de visio comme un système unique. C’est un produit très pratique qui tend à se développer avec de nouvelles possibilités. Il existe déjà des barres vidéo avec double caméra par exemple.
Les moniteurs collaboratifs, avec dalle tactile ou non, font partie des appareils tout en un au même titre que la barre vidéo. Ils vont encore plus loin car ils savent absolument tout faire : image, son, micro, caméra et logiciel. Avec lui, aucun PC n’est nécessaire dans la salle, ni une machine dédiée, ni celles des participants. Comme un moniteur collaboratif tourne sous Android ou sous Windows, il est facile d’installer n’importe quel logiciel de visio. Le logiciel reconnaît tous les équipements du moniteur collaboratif : sa caméra, ses micros, ses enceintes. Il n’y a rien de compliqué à configurer. L’avantage de ces moniteurs est également leur côté collaboratif tactile. Les participants vont pouvoir annoter des documents à l’écran, ce qui sera vu immédiatement par tous les participants distants.
Quelle que soit la solution retenue, équipements séparés, barre vidéo ou écran collaboratif, il peut être intéressant de laisser la possibilité aux participants de partager l’écran de leur ordinateur, de leur smartphone ou de leur tablette. Pour cela, une interface de branchement associée au système donne accès à différents câbles pour se raccorder. Ce peut être du HDMI, le plus simple. Mais l’USB-C est de plus en plus présent. Car il permet aux ordinateurs de pouvoir partager leur écran, d’accéder aux équipements de la salle, au réseau et de se recharger, le tout simultanément avec un seul câble.
Enfin, lorsque de tels systèmes deviennent techniquement complexes, l’écran tactile de contrôle vient tout simplifier pour les utilisateurs de la salle. Il trône au centre de la table de réunion. Connecté à tous les équipements, il simplifie les actions. Il permet d’allumer le moniteur, de régler le volume des enceintes, de sélectionner qui partage son écran avec la visio. Les fonctions techniques de la salle peuvent être intégrées comme la gestion de la lumière, des stores, de la climatisation. Concernant la visioconférence en particulier, il existe des écrans tactiles capables de gérer tous les logiciels de visio, même si sils sont concurrents. L’interface est donc unique, quel que soit le logiciel de la prochaine réunion, même s’il est différent de celui de la précédente.
En résumé : quel système de visioconférence est le plus adapté à mes besoins ?
En conclusion, chaque salle de réunion peut recevoir un système de visioconférence différent. Il est tout de même utile de répliquer un même type de système dans toutes les salles de réunion d’une entreprise afin que les utilisateurs s’habituent facilement à leur fonctionnement. Les visioconférences n’ont jamais été aussi avancées et performantes grâce à des équipements toujours plus intelligents. Cette somme de technologie s’efface devant des usages simples lorsque tout a été configuré correctement lors de la mise en service initiale. Il ne vous reste plus qu’à choisir votre logiciel de visio !
Après le AV Bridge Mini, Vaddio propose une déclinaison portable sous la référence AV Bridge Nano. Cette petite interface permet de récupérer l’image d’une caméra en HDMI et de la transformer en un flux USB ou IP directement utilisable dans toutes les applications de visio et de streaming.
Transformer n’importe quelle caméra en webcam
La fonction principale du Vaddio AV Bridge Nano est de transformer ce qui rentre par sa prise HDMI en un flux AV manipulable de deux façons : en USB ou en IP. Un seul des deux est utilisable à la fois, il faut choisir. Contrairement au modèle supérieur où USB et IP sont actifs simultanément.
L’entrée HDMI est combinable avec une entrée audio analogique, pour un micro principalement. Si le besoin d’une gestion locale se fait sentir, le Bridge Nano dispose de sorties en boucle, pour le HDMI comme pour l’audio. Quant au flux assemblé en sortie, il est disponible sur la prise réseau et via un port USB 3.0 au format USB-C.
Insérez rapidement son et image dans un workflow de diffusion live
Le Bridge Nano est donc un outil très pratique pour pouvoir utiliser par exemple un appareil photo en mode caméra. Ces derniers disposent toujours d’une sortie HDMI qui pourra ainsi entrer dans l’interface Vaddio. Cela permet d’éviter l’achat de caméras IP ou USB supplémentaires. En outre, la qualité de captation d’un appareil photo peut être plus intéressante dans certains cas. Tout comme les objectifs interchangeables pour obtenir le cadrage voulu. L’insertion du son provenant de n’importe quel micro analogique est également un point intéressant.
Le flux en sortie du Bridge Nano est récupérable en USB 3.0 pour une liaison directe avec un PC. Ainsi, caméra et micro externes seront vus comme une webcam classique par les logiciels de visio. Concernant le flux IP au format RTSP/RTMP, il sera avantageusement utilisé lors de sessions de stream sur YouTube, Facebook, Twitch, etc.
Vaddio AV Bridge Nano : un outil pratique pour la visio et le stream
En bref, sans avoir besoin de rentrer dans des solutions complexes de transcodeurs ou de pupitres de réalisation, le Vaddio AV Bridge Nano transforme n’importe quelle source HDMI en un contenu utilisable en visio ou dans un stream. Portable, il peut vous accompagner pour réaliser rapidement des sessions live avec un appareil photo. Mais il permet également de multiplier les sources de différentes provenances dans un système bien plus complet où se mélangent caméras IP, appareils photos, visualiseurs, etc.
Dahua est un fabricant d’équipements audiovisuel d’envergure mondiale. Cette société voit ses produits installés dans les plus grands projets tels que les aéroports ou les usines, mais aussi lors des plus grands événements tels que les Jeux Olympiques. Voici les trois grandes familles d’afficheurs Dahua que vous trouverez désormais chez EAVS Groupe.
L’affichage dynamique
Tous les écrans Dahua pour l’affichage dynamique Dahua sont en 4K. Ils possèdent également des dalles IPS qui leur offrent un très large angle de vision de 178° à l’horizontale comme à la verticale. Un point important dans le domaine de la diffusion d’information dans les lieux recevant du public.
Dahua propose des totems pour l’intérieur comme pour l’extérieur. Ils sont équipés d’écrans de 43, 49, 55 ou 65″ selon le niveau de gamme. Le 65″ est une diagonale intéressante et pas si courante dans les totems. Certains peuvent être posés au sol, d’autres fixés en suspension au plafond.
Ces écrans qui tournent sous Android sont très puissants grâce à leur processeur à 4 cœurs. Cela leur ouvre la porte à la diffusion de contenus sans avoir besoin d’équipement externe. Ils peuvent être supervisés à distance grâce à l’application Dahua MPS.
Les écrans pour les murs LCD
La gamme d’écrans LCD se décompose en trois séries : Basic, Essential et Ultra. Ils se différencient essentiellement par leurs capacités d’amélioration de l’image et le support ou non de la 4K en entrée. Leur dalle est en Full HD principalement, sauf pour deux modèles de la série Ultra en 4K. Ils sont prévus pour tourner 24h/24, 7j/7 afin de répondre aux besoins des salles de contrôle par exemple.
Ces écrans permettent de composer des murs vidéo sans limite. Selon la série et le modèle, vous avez le choix entre plusieurs épaisseurs de cadre pour faire disparaître la grille : de 35mm à 0,88mm pour les plus fins. L’ensemble de la connectique, y compris l’alimentation, est positionné vers les côtés afin de ne pas gêner l’installation.
Les panneaux pour les murs LED
Dahua propose une offre importante de panneaux LED pour constituer des murs d’image sur mesure. Les séries sont rassemblées par usages : intérieur, extérieur, location, fixe, stade, salle de réunion. Selon les séries, les panneaux présentent les ratios d’affichage suivants : 1:2, 1:2, 1:1 ou 16:9.
Il existe une grande diversité de choix en termes de pitch afin d’obtenir la précision voulue selon les applications. Cela va de 0.9 à 4.81 mm en intérieur, et de 2.97 à 10 mm en extérieur. Dahua propose par exemple les panneaux à poser au sol destinés à la publicité autour des terrains de sport. Dans la gamme pour salles de réunion, vous trouverez des écrans complets déjà composés avec cadre et support, de 108 à 216″ de diagonale.
Dahua : des paneaux LED, des moniteurs LCD et des totems pour vos projets
En résumé, avec la distribution de la gamme audiovisuelle Dahua pour la France, EAVS Groupe vous ouvre de nouvelles opportunités pour répondre à des projets d’affichage d’envergure. Nous vous reparlerons très bientôt en détail des différentes séries d’écrans Dahua que nous vous proposons.
Mimo présente le FlashCast, une interface de surimpression à l’image. Elle permet l’envoi transparent d’alertes ou d’informations sensibles en temps réel vers les écrans connectés en HDMI et au cloud. Le FlashCast assure une communication efficace qui sera vue sur tous les écrans sélectionnés par le gestionnaire.
Une interface à brancher sur le chemin du HDMI
Le Mimo FlashCast possède une entrée et une sortie HDMI. Il s’insère entre la source, un lecteur de médias par exemple, et l’afficheur. Ainsi, il est capable de venir afficher des informations sur l’image, en transparence. Ces informations peuvent provenir aussi bien de contenus créés via le cloud que du système standardisé Common Alert Protocol.
Messages et icônes sont entièrement personnalisables, aussi bien en texte basique qu’en HTML. Il est également possible de transmettre du son qui va couvrir le son des contenus en cours. Vous avez ci-dessous une illustration d’un message d’alerte sur l’image pour un risque d’inondation.
Transparence totale
Les informations s’affichent en transparence sur l’image, sans venir l’interrompre. Le FlashCast est transparent à plus d’un titre. Il est compatible avec tous les formats HDMI, même dans les plus hautes résolutions et avec tous les derniers protocoles : 8K60, 4K120, Dolby Vision, HDCP2.3… Cela signifie que la source vidéo ne subit absolument aucune perte en passant à travers l’interface FlashCast.
La connectique comprend un port Ethernet pour la réception des données à distance de façon fiable. Celui-ci assure également l’alimentation de l’interface via le PoE.
Affichez des alertes sur les écrans d’affichage dynamique et plus encore
En conclusion, le Mimo FlashCast est un outil majeur dans le cadre des actions de sécurité dans les lieux recevant du public. C’est une façon de communiquer des messages d’alerte sur mesure en temps réel efficace, fiable et sans impact sur les contenus. Ce produit s’adresse aux commerces, restaurants, hôtels, campus, hôpitaux, stades, bâtiments d’entreprise… La cible est extrêmement large.
A l’occasion de l’ISE 2024, MuxLab présente sa nouvelle application Muximus. Ce tout nouveau logiciel permet de gérer, de programmer, de superviser l’ensemble des produits audio et vidéo sur IP de MuxLab, sur site comme à distance, de façon intuitive et ergonomique.
Muximus, une interface entièrement repensée
Afin de mettre en œuvre tous les appareils AV sur IP de MuxLab, le nouvel espace Muximus centralise toutes les opérations. Il se présente sous la forme d’une application repensée avec un menu vertical à gauche et une zone de travail à droite.
Les différents items du menu permettent d’accéder aux installations et aux appareils. Ensuite, vous allez pouvoir configurer les routes, c’est-à-dire de quelle façon les émetteurs discutent avec les récepteurs. Puisque l’on parle bien d’audio et de vidéo sur IP avec Muximus ! La gestion de l’audio Dante est intégrée à cette interface, ce qui évite d’avoir à gérer le logiciel Dante Controller en parallèle.
Une solution de gestion tout-en-un
En plus du routing, cette nouvelle application sert à créer les murs vidéos selon des canevas, ou bien encore du multi-fenêtrage. Tout cela se configure dans l’application puis est rendu disponible sous la forme de mémoires que l’utilisateur final peut rappeler très rapidement.
Muximus s’accompagne d’un nouveau récepteur, le 500890. Ce mini boîtier est un media player ultra compact pour l’affichage dynamique. Il pourra donc délivrer de multiples contenus simultanément. Mais c’est aussi un récepteur AV sur IP. Il reçoit ainsi directement le flux vidéo local d’une source HDMI reliée à un émetteur MuxLab 500763-TX ou 500764-TX.
L’AV sur IP maîtrisé avec MuxLab
En bref, l’objectif de cette nouvelle interface Muximus est de rendre la gestion de système AVoIP la plus simple possible. Tout ce qui peut paraître technique dans la configuration a été effacé pour prendre la forme de menus épurés et faciles à comprendre. La connexion des sources avec les afficheurs à travers le réseau IP n’a jamais été aussi facile.
Venu rejoindre récemment la gamme de produits et d’accessoires audiovisuels AVerMedia, le micro USB AM350 est le premier au monde à être accompagné d’un DSP conçu avec DIRAC. Il permet ainsi aux podcasteurs, chanteurs et autres utilisateurs de bénéficier d’une qualité sonore exceptionnelle en toute situation.
Un micro USB-C plug and play
Le micro AM350 est doté d’une combinaison de deux capsules hautement sensibles : cardioïde et omnidirectionnelle, pour effectuer tous types d’enregistrements. Cela lui permet de délivrer des performances d’un excellent niveau en termes de recul du bruit de fond. AVerMedia livre avec le micro un filtre anti-pop garantissant une capture audio claire et propre.
Il est constitué d’un boîtier métallique offrant la meilleure robustesse possible. Son interface USB-C plug-and-play le rend facile d’utilisation par tous les utilisateurs. Les deux potentiomètres sur le micro servent à régler le niveau d’entrée ainsi que le niveau de sortie vers un casque. Complet, il offre une expérience d’enregistrement professionnelle sans avoir besoin d’équipement supplémentaire.
DIRAC dans un micro pour le podcast
Le logiciel à installer sur ordinateur rassemble tous les réglages. Tous les niveaux sont accessibles ainsi que les différents filtres. Le AM350 peut être associé à quatre scénarios d’effet sonores sur mesure créés par DIRAC : discussion, musique, radiodiffusion et chant. Avec une simple pression sur un bouton, l’utilisateur active l’effet voulu, pour une restitution optimale de la voix.
Les commandes intuitives du logiciel assurent un monitoring sans latence via la sortie casque intégrée et une commutation facile entre le microphone et les sons du système pour un contrôle audio complet. De plus, l’AM350 garde en mémoire automatiquement les derniers réglages audio, éliminant ainsi le besoin d’ajustements chronophages lors de l’utilisation suivante.
AVerMedia AM350 : le micro que vont s’arracher les podcasteurs
En bref, la captation audio est devenue un sujet majeur, en grande partie grâce aux podcasts. Les animateurs ont besoin d’outils de qualité, le AM350 a justement été conçu pour eux. Il dispose de fonctionnalités dignes d’un studio de radio, en version tout intégré. Le logiciel qui l’accompagne est très complet. Quant aux modes DIRAC, ils permettent de personnaliser immédiatement le son, là encore de façon professionnelle.