Auteur/autrice : Deborah Cresson

DuoSkin : Et si votre peau devenait une interface ?

C’est Microsoft et le MIT (Massachusetts Institute of Technology) qui ont créé ce tatouage digne du futur : le DuoSkin.

Il s’agit en fait d’un tatouage éphémère composé de feuilles d’or et d’un capteur tactile, et qui permet ainsi de transformer n’importe quelle surface en surface tactile, et donc connectée. Respectueux de la peau, il est aussi très résistant face aux activités quotidiennes.

A quoi ça ressemble ?

Et bien pour créer l’apparence des tatouages, Microsoft et le MIT se sont inspirés de designs de bijoux mais aussi de l’environnement informatique afin de donné au tatouage un côté à la fois esthétique mais aussi pratique pour pouvoir contrôler ses objets connectés.

On pourra donc à terme lui donner l’apparence que l’on souhaite et le personnaliser selon ses envies.

Et donc, on peut faire quoi avec son tatouage ?

Pour le moment, cette nouvelle technologie est encore en développement, mais le DuoSkin peut donc contrôler les appareils mobiles connectés, les informations à afficher ainsi que de stocker des informations directement sur la peau grâce au tatouage.

DuoSkin : trois différentes interfaces.

Pour le moment Microsoft et le MIT ont créé trois interfaces avec des applications dédié chacune à un domaine en particulier :

Input : le tatouage ressemble donc à une interface traditionnelle telle que boutons, curseurs et 2D Trackpads. Le 2D Touchpad (autrement dit le tatouage) utilise le balayage ligne-colonne grâce à une construction à deux couches qui permet d’isoler les traces horizontales des verticales. Fabriquées séparément elle sont appliquées de manière superposée sur la peau.

Output : DuoSkin permet d’apporter des écrans souples directement sur la peau grâce aux pigments thermochromiques. Les écrans ont donc deux états différent et le changement de couleur se déclenche lorsque la température corporelle est dépassée. Les écrans sont donc séparés en parties désignées. Mais comment on dépasse la température corporelle si le tatouage est appliqué directement sur la peau ? Tout simplement en fabricant des éléments chauffants résistants juste en dessous de la couche thermochromique.

Communication : Si, si, communiquer grâce à son nouveau tatouage c’est possible ! Attention, n’allez pas trop loin dans le futur, le tatouage ne sert pas de transmetteur, il agit comme la technologie NFC. Vous savez, cette technologie qui vous permet de faire communiquer différents objets à distance (comme le payant sans contact de la carte bancaire par exemple, ou encore les cartes de transports en commun). Pour l’intégrer au tatouage, les créateurs recréés donc la bobine qui permet la communication NFC via des feuilles d’or pour créer différentes tailles et différentes formes.

Découvrez le nouveau tatouage/interface DuoSkin en action :

Pour le moment le tatouage permet donc 3 applications, mais on imagine que dans quelques temps il sera possible de faire davantage avec cette nouvelle technologie.

D’ailleurs saviez-vous qu’il existe des implants dotés de la technologie NFC. Entre l’implant et le tatouage DuoSkin, lequel choisiriez-vous ?

18 août 2016
Guide : Comment bien choisir son écran de projection ?
Parce que même si le vidéoprojecteur est la pièce maîtresse, l’écran de projection est tout aussi important !

Vous avez déjà certainement vu des dizaines de guides pour choisir correctement votre écran de projection, alors nous allons essayer de synthétiser tout cela pour vous proposer un guide complet et qui vous permettra de vous procurer l’objet tant espéré et qui sera parfaitement adapté à votre matériel. Alors en attendant de pouvoir construire LA salle de cinéma chez vous, on vous donne quelques tuyaux pour avoir une projection digne des plus grandes salles.

Vidéoprojecteur ou écran de projection en premier ?

Dans la logique des choses, c’est le vidéoprojecteur qu’il faut se procurer en premier. En effet, ce sont certaines caractéristiques qui vont servir de base pour l’achat de l’écran de projection, à savoir :
- le format de l’image (4:3, 16:9, 21:9, 1:1, etc.)
- la résolution de l’image (1920x1080p, etc.)
- la technologie du vidéoprojecteur (phosphore laser, LCD, DLP, Tri-Tubes, etc.)
Une fois le vidéoprojecteur choisit, il faut aussi choisir son support. Et là vous avez un large choix : du support fixe à l’ascenseur, c’est un choix à la fois esthétique et pratique qui vous attend.

Vous avez tout ? Et bien on peut se pencher sur le choix de l’écran de projection ! On prend bien en compte les caractéristiques de projection de son vidéoprojecteur et on se lance.

Et si vous voulez une pièce Home Cinéma, on vous conseille avant de passer par le calcul des dimensions pour avoir le meilleur rendu visuel et sonore possible.

Etape 1 : Quel type d’écran de projection ?

On connait tous l’écran de projection qui se déroule vers le bas, mais il en existe d’autres types avec des caractéristiques bien spécifiques :
- les écrans que l’on connait : les enroulables (manuels et électriques, on préférera les écran tensionnés au delà de 2,40m)
- les écrans fixes
- les écrans pull-up (des écrans enroulables qui ne nécessitent pas de fixation au mur ou au plafond)
- et enfin les écrans sur trépieds
Manuel :

Electrique :

Etape 2 : La bonne dimension et le bon format.

Une fois que vous avez choisi le type d’écran que vous vouliez, il vous faut maintenant savoir quelle taille/dimension prendre. Dans ce cas-ci, la taille de l’écran de projection dépend du contenu à projeter, mais aussi du recul des spectateurs et de la distance du vidéoprojecteur. Mais ça c’est déjà fait puisque vous avez déjà calculé les dimensions de la pièce.

Outre la taille de l’écran, il faut aussi choisir le bon format. Attention, dimension et format ne sont pas la même chose, la dimension prend en compte le contenu à projeter et le format quant à lui correspond à l’application du vidéoprojecteur : 1920x1080p, 4K, etc.

Une fois ce calcul fait, la pièce prête et les distances respectées, vous avez donc désormais choisi le bon format de l’écran, qui correspond au format du vidéoprojecteur de préférence.

Etape 3 : La toile d’écran.

Le choix de la toile aura une incidence sur la projection, si elle n’est pas adaptée. Un contenu projeté en 4K par exemple apparaîtra déformé sur une toile tissée, de même pour la fibre de verre. Il faut alors une toile le plus lisse possible pour que les pixels apparaissent correctement.

Mais lorsqu’on parle d’écran de projection on parle aussi d’écran à gain. Pour ceux qui se posent la question, les écrans « à gain » sont considéré comme ajoutant de la puissance à la lumière projetée. Ainsi un écran qui à un gain de 1 sur son ensemble enverra la même quantité de lumière sur tous ses points. Quand un écran de projection à un gain de 10, il renvoie ainsi 10 fois plus de lumière au centre que sur les bords.

On estime donc qu’un écran de projection :
- standard à un gain de 1 à 1.4
- professionnel à un gain de 1.2 à 1.8
- et Home Cinéma à un gain de 0.7 à 1.2
Outre le gain, il faut notamment prêter attention aux bords noir et l’extra-drop (la bande noire plus large qui se situe au dessus et au dessous de l’écran). Les bords noirs permettent d’accentuer la résolution des couleurs du contenu projeté et il existe même des écrans de projection avec ces bord en velours noir, pour éviter les reflets.

Vous avez toutes les clés en main pour trouver l’écran de projection adapté à votre vidéoprojecteur et à votre pièce ! Et si vous souhaitez retrouver les sensations de la salle de cinéma, vous pouvez même opter pour un écran de projection transonore (derrière lequel sont placé les enceintes).

Etape 4 : Et ce n’est pas fini !

Bon le choix de votre écran de projection si, mais l’entretien lui se fait régulièrement. Si vous avez opté pour un écran enroulable dans ce cas, rangez le dès que vous ne l’utilisez pas, cela évitera ainsi qu’il ne jaunisse à cause d’une exposition trop prolongée au soleil par exemple. Pour les écrans non enroulable, vous préférerez une pièce sombre, ou du moins peu exposée.

Même si c’est une toile, la poussière peut l’abîmer, alors on sort les chiffons régulièrement ! Et si jamais il vous arrive d’avoir une tâche sur votre écran de projection, on évite les produits chimiques et on préfère un peu d’eau et de savon.

Voilà, maintenant vous savez tout ! Vous n’avez plus qu’a faire votre choix !
17 août 2016
Les imprévus à l’aéroport de Londres-Heathrow, c’est fini !
Christie réalise encore des exploits à l’aéroport Heathrow !

Avec l’aide de l’intégrateur AJAR-tec, Christie a automatisé l’aéroport de Londres-Heathrow. Juste après avoir enregistré vos bagages et juste avant d’embarquer, le temps peut être long. Vous n’avez plus vos gadgets avec vous et vos téléphones, s’ils ne sont pas éteints, doivent au moins être en mode avion.

Durant ce laps de temps, pourtant, il peut encore se passer des choses : des imprévus dû à la météo, aux avions et leur entretien, la perte d’un sac à main, un enfant qui s’égare, la queue un peu trop longue devant un commerce qui pourrait vous faire rater votre vol, etc. Autant d’imprévus qui n’ont plus leur place à l’aéroport Heathrow !

Oui mais comment on règle ça ?

Et bien on contrôle tout !
Grâce à un tout nouveau centre des opérations aéroportuaires et 48 noeuds Christie Phoenix, l’aéroport d’Heathrow et ses 12,2km² sont surveillés 24/7. Un centre qui reçoit un flux constant d’informations et qui permet ainsi de les analyser et transmettre ces informations directement aux personnes qui en ont besoin au moment le plus opportun.

Et comment ça fonctionne ?

Rappelons déjà ce qu’est le Christie Phoenix : il s’agit tout simplement d’un système d’intégration qui permet d’envoyer des signaux et ainsi contrôler et encoder des informations en temsp réel sur des réseaux IP. L’aéroport d’Heathrow a été équipé de 48 noeuds Christie Phoenix qui permet :
- Pour le personnel au sol, de connaître l’emplacement de chaque avion à n’importe quel moment
- Pour les commerçants, d’adapter leurs effectifs en fonction de la clientèle prévue
- Etc.
Tout peut être prévu et planifier, et il n’y a donc plus aucun risque d’imprévus.

L’intégrateur AJAR-tec a même permit de prévoir la météo !

Un simple bouton (« Chute de neige ») permet d’activer une suite d’écran avant même que le premier flocon de neige ne touche le sol. Un système qui permet de prévoir les transports aérien mais pas uniquement, les restaurants et autres commerces peuvent ainsi proposer des produits adéquat au temps.

Le temps, le trafic, les bagages, tout est contrôlé par pas moins de 98 sources d’informations qui sont ainsi transmises aux bonnes personnes.

Un voyage sans aucun imprévu, ça vous tente ?
16 août 2016
Vous voulez en savoir plus sur nos marques ?

Aujourd’hui, on vous en dit plus sur nos marques !

Key Digital, IC Realtime et Sharp sont à l’honneur aujourd’hui ! Vous pouvez les découvrir en vidéos :

Key Digital at InfoComm 2016 nous présente ses matrices :

IC Realtime nous présente ses solutions IP à traver un webinar :

Et enfin Sharp nous présente ses écrans tactiles :

On compte pas moins de 75 marques partenaires dont 11 marques exclusives.

Et si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poser en commentaires !

15 août 2016
Une soirée à l’Opéra avec Christie
Le Teatro Real s’équipe avec Christie.

L’Opéra madrilène vieux de plus de 160 ans se modernise encore avec trois projecteurs Christie Roadster HD20K-J. Autrefois avec un nombre impressionnants de décors différents, la technologie permet au Théâtre d’offrir une grande variété de décor avec moins de supports.

Une réflexion bien mûrit.

Avant de choisir finalement Christie pour équiper et moderniser ses locaux, le Teatro Real a mis en concurrence pas moins de 9 marques différentes. Et après une batterie de tests, c’est Christie qui l’emporte haut la main.

Des projecteurs fiables, robustes et polyvalents.

Une résolution HD de 1920 x 1080p et une luminosité de 20 000 lumens, de quoi animer l’Opéra avec des décors plus vrais que nature :
- Technologie 3DLP
- Contraste 1600-2000:1
- Une durée de vie de lampe de 750 heures
Et la mise en place ?

Face à la scène, les projecteurs on réalisé une projection frontale sur du tulle semi-transparent quand, dans le même temps, deux autres projecteurs Roadster ont été mis en place pour animé le fond de la scène sur 4 écrans identiques et placés à différents niveaux dans le décor.

Quand, dans les autres opéras il faut plusieurs plateforme pour pouvoir mettre à bonne hauteur les projecteurs, le Teatro Real et ses nouveaux projecteurs Christie n’en a pas eu besoin, effectivement grâce au système d’objectif intelligent Roadster ILS, ils ont pu adapté automatiquement les images à la taille des écrans tout en maintenant l’alignement et le rapport largeur-hauteur.

Le réel et le virtuel se sont confondus lors d’une prestation représentée pendant un mois entier, en rendant ainsi un spectacle unique.

Et vous, vous avez déjà vu un Opéra équipé en technologie numérique ?
12 août 2016
La domotique dans les jardins.

La domotique s’invite de plus en plus dans nos jardins !

Mais avant de parler de la domotique extérieure, nous allons faire un petit rappel sur la domotique.

Bon à savoir :

Vous savez quel est le pays qui est en tête de l’adoption de la domotique ? Vous vous en doutez sûrement mais ce sont les Etats-Unis. Si la France ne figure pas dans le top 5, elle n’en est pas très loin et est en bonne voie pour faire évoluer davantage l’adoption de ces nouvelles technologies dans les foyers.

Credit Abavala

Mais au fait, qu’est-ce que ça comprend la domotique ?

On a tous une idée des technologies qui rentrent plus ou moins dans la domotique, mais est-ce que vous connaissez toutes les technologies inhérentes à ce marché ? Pour rappel, la domotique est une spécialité du bâtiment qui regroupe des techniques qui permettent à la fois de contrôler, automatiser, et programmer un foyer. Et on retrouve donc : l’automatisation du foyer (comme par exemple la possibilité de contrôler tous les éléments numériques), la sécurité (les caméras, alarmes, etc.), le divertissement (les écrans, home-cinéma, VP, etc.), de l’assistance quotidienne (AAL, dans le but de faciliter la vie au maximum surtout pour des personnes à mobilité réduite, etc.) et enfin le contrôle de l’énergie (la capacité de programmer la luminosité d’un foyer et son arrêt, etc.).

En somme la domotique vient nous aider à gérer au mieux notre quotidien afin d’éviter tout désagréments.

A l’intérieur, c’est facile, mais à l’extérieur ?

Les appareils ne sont pas tous équipés pour être installés à l’extérieur, mais depuis quelques temps, la domotique a décidé de passer la porte et de s’installer dans nos jardins.

Comment ? me direz-vous. De plus en plus d’appareils sont travaillés de manière à pouvoir rester en extérieur : appareils de jardinage, écrans, audio et lumières, tout y passe !
Mais avant de se lancer dans l’installation de ces appareils il faut tout de même faire attention ! Domo-Blog vous explique même comment installer certains appareils.

Et ce n’est pas fini !

Vous vous souvenez, nous parlions du Web 3.0 il y a peu de temps, et bien cela rentre dans le domaine de la domotique à l’échelle d’une ville. Nous vous parlions aussi des miroirs magiques et des entrées de bâtiments interactives.

Le monde du futur c’est pour bientôt ! Et vous, vous avez commencer à adopter la domotique ?

11 août 2016
Des réunions avec Skype ?

Au mois de Juillet, Microsoft a lancé Skype Meeting, un nouvel outil dédié aux conférences.

Vous connaissez certainement Skype, cet outil qui permet de passer des appels visio en ligne depuis votre ordinateur. Et bien aujourd’hui, Microsoft créé Skype Meeting, une fonctionnalité qui tend à faciliter l’organisation des conférences.

Vous vous souvenez, on vous parlait de l’audiovisuel dans les salles de réunions début juillet. Et bien c’est dans cette optique que Skype Meeting a vu le jour. Skype Meeting, tout comme Lync (don prédécesseur), permet d’envoyer des messages via sa messagerie directe, de partager des écrans et de présenter des PPT. En somme les mêmes fonctionnalités que l’on connait de skype à savoir l’échange de contenu avec des fonctionnalités de présentations professionnelles en plus.

Organiser une réunion en un clic, désactiver les micros des convives pour être bien entendu, prendre le contrôle de la session, c’est ce que permet Skype Meeting. L’invitation à un meeting se fait très rapidement, une fois que la réunion est créer il suffit d’inviter les collaborateurs et lancer la session.

Et même si Skype Meetings n’est pas encore disponible partout, il a déjà été activé pour remplacer le logiciel collaboratif Lync depuis l’an dernier, pour les entreprise qui possédaient Lync. Même si l’interface de Skype Meeting est restée celle de Lync durant un certain temps, le changement était déjà enclenché, et aujourd’hui si l’interface ne permet pas d’inviter plus de 10 collaborateurs, elle permettra certainement beaucoup plus d’option dans un futur proche !

On passe donc de Lync (à gauche) à Skype Meeting (à droite)

Et n’oubliez pas, si vous n’avez qu’un ordinateur pour une Visio conférence vous pouvez utiliser une interface pour pouvoir afficher l’écran de votre ordinateur et le partager à tous vos collaborateurs présents. Vivitek permet notamment de le faire très facilement avec ses boitier launcher.

Et vous, avec quelle plateforme/quel outil organisez-vous vos réunions/conférences ?

10 août 2016
Les supports d’écran voyagent !
Des supports d’écran sur pieds que vous pouvez emmener partout … Et bien Audipack l’a fait !

Les séries de supports d’écran sur pieds 700, 900 et 900 XL se rangent facilement dans leur caisse de transport Frontloader. Les caisses de transport qui étaient disponible séparément sont maintenant disponible avec leurs supports d’écrans sur pieds !

Pour rappel, les séries 700, 900 et 900XL d’Audipack sont des séries innovantes de la gamme. Les caisses de transports ont été créées pour des applications de location simple. Il existe même une sélection de flightcase standardisés qui correspondent aux écrans.

Les caisses de transports permettent donc de ranger les supports d’écran sur pieds pour les stocker et/ou les transporter. Audipack propose donc 3 packs de ces caisses de transport avec un support d’écran sur pieds.

Les 3 packs :
- La caisse de transport FC-FS700F avec le support d’écran 390701
- La caisse de transport FC-FS9200F avec le support d’écran 390901
- La caisse de transport FC-FS900XLF avec le support d’écran 390942
FC-FS710F + 390710

FC-FS900F + 390901

FC-FS900XLS + 390942

Et si vous avez déjà le support, vous pouvez toujours prendre le caisson à part.

Et vous, vous rangez aussi vos supports d’écran sur pieds ?
9 août 2016
Un mur vidéo 4K sur IP ? Facile !
Lors de l’IFSEC International 2016, Muxlab a fait une démonstration de son dernier mur vidéo sur IP. Une solution qui vous permettra de configurer votre mur d’image depuis une ou plusieurs sources sur un ou plusieurs écrans.

On vous avait déjà parlé des solutions KVM vidéo sur IP, et bien aujourd’hui on s’attarde sur la configuration des murs vidéos en 4K sur IP grâce à Muxlab. La configuration de vos murs d’images devient alors un jeu d’enfant.

Avec un récepteur pour chaque écran, les images peuvent être empilées et / ou prolongées jusqu’à 100 mètres de distance, et ce via un simple câble CAT5 standard.

Ses caractéristiques :
- Permet de configurer un mur d’écran avec près de 100 écrans différents, en fonction de la bande passante
- Supporte les format 4K 30Hz et 1080p 60Hz
- Pas de perte vidéo
- Mode d’utilisation en point à point, point à multipoint et multipoint à multipoint
- Extension jusqu’à 100 mètres via câble CAT5e
- Supporte la RS232 et l’IR
- Alimentation PoE
- Contrôle via appareils connectés (smartphone, tablettes) via le 500811 (Pro Controller Digital Network)
Besoin d’un peu plus de précision ? Alors le schéma ci-dessous devrait vous aider !

Rien de plus simple n’est-ce pas ? C’est à ce jour l’une des meilleurs solutions pour monter son mur vidéo facilement et avec une résolution 4K !

Et vous, comment sont montés vos murs vidéos ?
8 août 2016
Avant le vidéoprojecteur, il y avait quoi ?

Si aujourd’hui vous êtes habitué au vidéoprojecteur, avant, projeter du contenu nécessitait un matériel adapté et spécifique. Alors aujourd’hui, nous avons envie de faire une petit retour dans le temps et de constater l’évolution de ces appareils. Pour certains, cela rappellera des souvenirs, et pour d’autres, un peu d’histoire ça ne fait pas de mal !

Les origines ?

Les jeux de lumières, les prismes, les miroirs magiques, les microscopes, et même le Fantascope sont des facteurs qui ont permis l’évolution des technologies de projection.

Depuis 1550 et Nostradamus, la science s’est intéressée à la projection des images et c’est ce qui a permis de créer les prémices de ce que nous connaissons aujourd’hui.

Les premiers projecteurs.

Même si la projection s’est développée depuis 1550, les projecteurs eux n’ont vu le jour que bien plus tard. A l’époque, la projection ne nécessitait pas de matériel bien spécifique puisqu’elle était surtout effectuée avec des lanternes.

Le premier projecteur fut créé par Eugen Bauer en 1907, il a donc 109 ans ! Destiné aux films de format 35mm et équipé d’un entrainement à croix de malte, d’une manivelle et d’une lampe à lumière froide, c’était une invention spectaculaire pour l’époque ! Le deuxième voit le jour seulement 3 ans plus tard. En 1910, il est désormais doté d’un entraînement électrique, d’une lampe à arc avec électrodes de charbon et de tambours clos anti-incendie. Une véritable évolution par rapport à son petit frère en matière de maniabilité et de sécurité !

D’abord en laiton, ils sont rapidement remplacer par de l’acier (juste avant la première Guerre Mondiale). Et dès 1919, Bauer commercialise son projecteur M5. Et dès 1925, la firme Bosch sort un projecteur, et un seul opérateur suffit donc à manipuler deux projecteurs en continu. Et c’est le début d’une longue évolution des projecteurs.

On passe du cinématographe au projecteur à pellicule, pour finir par les projecteurs que l’on connait. Et ça c’est bien sûr sans compter les rétroprojecteurs dédiés à une autre application que celle du cinéma.

Les rétroprojecteurs.

Ils ont vu le jour un peu avant les projecteurs, à savoir au 19ème siècle. Certains accessoires peuvent se placer sur les projecteurs de l’époque pour dévier le rayon lumineux verticalement avant de le renvoyer à l’horizontal vers un écran. Vient ensuite l’épiscope (1921) un appareil qui permet de projeter l’image de documents opaques.

En 1935, un autre type d’appareil voit le jour : l’appareil de projection d’écriture, dans le but de mettre fin aux tableaux à craies. Et nous arrivons tout doucement à ce que nous avons connu à l’école : l’omniscope.

Muni d’une lampe à miroir dont la lumière est dirigée à la verticale vers un condensateur, et d’une plaque de verre sur laquelle on pose le « transparent » de rétroprojection, il a été créé dans les années 60. Mais ils sont progressivement remplacés par des écrans plats ou des vidéoprojecteurs. C’est vrai que préparer un transparent pour chaque sujet sans compter la taille imposante de ces appareils ne permettaient pas une flexibilité accrue.

Si vous souhaitez décortiquer davantage l’évolution de la projection et de la rétroprojection par chronologie c’est par >> ici <<

Et aujourd’hui ?

Vous le savez certainement, les vidéoprojecteurs ont continué d’évoluer, et font l’objet de mises à jour quasi permanente en fonction des nouvelles technologies qui sont créées (4K, 3D, etc.). Mais et les rétroprojecteurs dans tout ça ? Et bien en tant que tel, ils n’existent plus vraiment, on trouve à la place des visualiseurs, des appareils beaucoup moins encombrant et qui permettent de « rétroprojeter » des contenus provenant de livres ou de documents physiques.

Mais pourquoi conserver vidéoprojecteurs ET visualiseur me direz-vous ?

Et bien tout simplement parce que ces deux appareils se complètent. Là ou le vidéoprojecteur ne permet de projeter que du contenu numérique, le visualiseur quant à lui permet de projeter du contenu physique (qu’il n’a pas été possible de numériser, ou qui n’est pas encore numérisé).

Christie, Optoma, Kindermann, etc. sont des fabricant de vidéoprojecteur assez connu, mais connaissez vous un fabricant de visualiseur ? Allez on vous donne la réponse : Qomo.

Et vous, quels sont les plus anciens rétroprojecteurs et vidéoprojecteurs que vous ayez connu ?

5 août 2016