Le partage d’écran, en salle de réunion ou en salle de classe, est une fonction souvent présente sur les moniteurs collaboratifs. Cependant, elle se fait plus rare sur les vidéoprojecteurs. Et puis il y a de nombreux moniteurs professionnels « nus » auxquelles on ajoute les équipements dont on a besoin. Le Kindermann K-WM ajoute justement le partage d’écran très simplement.
La fonction Klick&Show de Kindermann
Kindermann vous fait bénéficier du partage d’écran via ce boîtier K-WM dans la gamme Klick&Show. Compact, peu énergivore grâce à son alimentation PoE, il se branche tout simplement en HDMI sur un moniteur ou un vidéoprojecteur. Il délivre une image 4K.
Sa double liaison réseau lui permet d’être connecté à la fois au réseau de l’entreprise et de créer un réseau local pour les visiteurs. Cela passe par sa prise RJ45 et ses antennes WiFi. Il fonctionne dans tous les univers : Windows, macOS, Android et iOS/ipadOS.
Les points fort du Kindermann K-WM
Afin d’offrir la meilleue expérience, Kinderammn a doté son boîtier K-WM d’une panoplie de fonctions et de paramètres. Tout d’abord, il est accessible sur le réseau via une interface web afin de pouvoir télécharger les applications nécessaires à sa gestion. Cela permet également à l’organisateur de sélectionner les appareils connectés dont il veut afficher les bureaux (mode animateur). 30 uilisateurs peuvent être enregistrés simultanément, de 1 à 4 bureaux peuvent être affichés sous forme de grille.
Polyvalent, il offre les connectivités AirPlay, Miracast et Chromecast afin qu’aucune installation ne soit nécessaire pour les utilisateurs. Grâce aux ports USB du K-WM et à la fonction Touch-Back, le tactile du moniteur permet de prendre la main sur les appareils partageant leur écran. Cette fonction est indispensable au travail collaboratif !
Le partage d’écran universel avec Kilck&Show de Kindermann
En bref, si cette fonction n’est pas présente dans vos salles de réunion, le boîtier Kindermann K-WM ajoute le partage d’écran. Il dispose de toutes les fonctions que l’on peut attendre d’un tel produit : multi connexion, affichage multi fenêtré, compatible tous standards, hotspot WiFi, et même l’USB HID. Gain de temps, productivité, performances : le BYOD dans vos salles de réunion ou vos salles de classe devient réalité.
Les vidéoprojecteursFujifilm de la série Z intègrent le fameux objectif orientable à 360°. C’est une exclusivité sur le marché, aucun concurrent ne propose de solution identique ou approchante. Elle permet à ces machines de réaliser des installations vidéo inédites, sans contrainte.
Des capacités d’installation sans limite
C’est bien là un avantage de poids pour les Fujifilm FP-Z6000 et FP-Z8000. Ces deux vidéoprojecteurs, qui se différencient par leur puissance lumineuse, bénéficient d’un objectif à la fois à très courte focale et orientable. Ils peuvent donc s’installer à plat, à la verticale ou au plafond, avec l’objectif orienté dans n’importe quelle direction. Aucun autre fabricant n’offre une telle polyvalence. L’illustration ci-dessous montre immédiatement cet avantage : le Fujifilm trouvera sa place partout où les concurrents ne pourront jamais être utilisés.
Quelques exemples d’installations
Afin de bien saisir ce que cela signifie en termes d’installation et de résultats, les exemples suivants vont forcément vous parler. Plusieurs exemplaires de vidéoprojecteurs Fujifilm Z sont mis en œuvre pour réaliser des installations immersives où la technique disparaît.
Dans cette première installation, de multiples Fujifilm Z sont installés au plafond. Positionnés à plat, ils ne dépassent pas et ne gênent en rien la vision et le spectacle. Ils projettent au sol pour peindre numériquement l’intégralité du parcours dans la pièce.Au sein de cette exposition immersive, cette petite pièce en longueur voit ses murs entièrement recouverts d’une œuvre numérique. Cela a été rendu possible grâce à quatre vidéoprojecteurs Fujifilm Z dont seul l’objectif dépasse du plafond.Pour s’immerger dans la forêt à 360°, plafond y compris, plusieurs vidéoprojecteurs Fujifilm Z ont été encastrés dans le faux plafond. Leur objectif traverse de façon très discrète l’image au plafond. Ce qui permet de constituer ce cube sans aucun vidéoprojecteur visible.Dans ce dernier exemple, l’image est projetée sur une vitre pour de la réalité augmentée. La ville au pied de l’immeuble reste visible à travers cette vitre. Afin de parfaire l’expérience et de ne pas gâcher la vue, les deux vidéoprojecteurs Fujifilm Z sont placés au sol, au plus près des vitres.
La plupart des écrans Vestel destinés au travail collaboratif ou à l’affichage dynamique tournent sous Android. Pour aller plus loin, bénéficier de plus de puissance et installer des logiciels complets, Vestel pemert de passer sous Windows grâce à un module OPS qui est en réalité un mini ordinateur.
Un PC Windows dans un écran
Faire tourner Android au sein d’un moniteur demande déjà des capacités de calcul importantes. Pour faire tourner des apps, même les plus complètes, un processeur adapté de type SoC suffit à délivrer les services attendus : tableau blanc, visioconférence, affichage de documents ou de vidéos, etc.
Afin de ne pas augmenter exagérément le prix des moniteurs professionnels, ces derniers ne sont pas assez puissants pour faire tourner Windows. Car cela ne répond pas à tous les cas d’usage. A la place, l’évolution vers Windows est une option que vous pouvez acquérir ou non selon vos besoins. Elle prend la forme d’un module OPS.
Le module OPS Windows, une option universelle
Le module OPS est un format standardisé afin de pouvoir être installé dans tout moniteur compatible. Il peut intégrer différentes fonctions dont va bénéficier le moniteur. Avec le module Vestel OPS CLS1050, on a ici un véritable PC complet sous Windows 11 Pro.
Il est basé sur un processeur Intel Core i5-10210U quadruple core. La carte graphique intégrée gère la 4K. La mémoire vive est de 8 Go, le stockage atteint les 256 Go via un SSD interne. La connectique accessible sur le module OPS lorsqu’il est inséré compte le réseau, de multiples ports USB dont un USB-C, une sortie HDMI et une entrée/sortie audio.
Vestel OPS : passez vos écrans sous Windows
En bref, avec le module Vestel OPS-CL1050, offrez la pleine puissance à vos moniteurs. Un grand nombre de séries d’écrans Vestel possèdent un emplacement pour ce type de module. En outre, comme l’OPS est standardisé, vous pouvez également l’utiliser pour faire évoluer des moniteurs professionnels d’autres fabricants.
Les switchers AV & USB Lightware Taurus s’intègrent désormais nativement dans les salles Microsoft Teams Rooms. Les utilisateurs ont accès aux fonctions de partage d’équipement personnel BYOD et de contrôle de la salle, le tout à partir d’une interface ultra simple accessible depuis l’interface et le PC de la salle.
Partage d’écran
Les interfacesLightware Taurus sont des switchers AV & USB capables de recevoir en entrée de 2 à 4 sources diffusées vers 1 ou 2 écrans. Destinées aux salles de réunion, le but est à la fois de pouvoir connecter les ordinateurs des participants pour qu’ils diffusent leur écran et de partager les équipements USB de la salle entre ces ordinateurs.
En intégrant un switcher Lightware Taurus dans une salle Microsoft Teams Rooms, on multiplie les entrées disponibles. Simultanément, on donne accès à la caméra de la salle à n’importe quel ordinateur d’un participant pouvant prendre la main. Ainsi, la fonction BYOD prend tout son sens dans ce type d’environnement.
Contrôle de la salle
Les switchers Taurus embarquent un automate capable de contrôler un grand nombre de fonctions courantes dans les salles de réunion, en IP, IR, RS232, via des relais. La configuration de tout cela s’effectue via le logiciel Lightware Advanced Room Control (LARA). Ce dernier permet de générer des boutons de commande simples.
Des pages de contrôle seront ajoutées à l’interface de pilotage du système Teams Rooms où se retrouve le contrôle du switcher Taurus. Les utilisateurs pourront ainsi sélectionner l’ordinateur qui doit diffuser son écran vers le moniteur de la salle. D’autre part, ils pourront accéder au contrôle de la salle : éclairage, ouvrants, écran motorisé, allumage/extinction du moniteur ou du vidéoprojecteur…
Améliorez la connectivité et le contrôle avec Microsoft Teams Rooms
En conclusion, ajouter une interface Lightware Taurus dans une salle de réunion avec Microsoft Teams Rooms permet de décupler les fonctionnalités. On multiplie les entrées vidéo tout en introduisant le partage des accessoires USB. Et on rend la salle encore plus simple à utiliser grâce au contrôle des automatismes.
La solution Lightware Taurus pour Teams Rooms simplifie non seulement les aspects techniques de l’organisation des réunions, mais améliore également l’expérience utilisateur globale, permettant aux participants de se concentrer sur l’ordre du jour plutôt que sur la technologie.
Le DisplayPort correspond à un connecteur numérique multibroches capables de transporter les plus hautes résolutions audio et vidéo. Destiné au monde informatique, il se trouve principalement derrière les ordinateurs et les moniteurs. Il ressemble au HDMI, avec lequel il est parfois interchangeable, mais il n’en est pas pour autant identique. Suivez le guide pour tout savoir sur le DisplayPort.
A l’origine du DisplayPort
Le HDMI, pour High Definition Multimedia Interface, existe depuis 2002 dans sa version 1.0. Nous en sommes à la version HDMI 2.1. Il a été lancé par six grands fabricants : Hitachi, Panasonic, Philips, Silicon Image, Sony et Toshiba. Il nécessite une licence pour son utilisation dans les produits.
Le HDMI a remplacé la Péritel et le YUV dans l’audio/vidéo grand public. Il est largement utilisé dans les applications professionnelles également.
Le DisplayPort a été créé et est développé par l’organisme VESA (Video Electronics Standards Association) qui regroupe des dizaines de fabricants. Ce format a débuté en 2006 dans sa version 1.0. aujourd’hui, le DisplayPort en est à la version 2.1 (depuis 2022).
Le DisplayPort a remplacé le VGA et le DVI dans les environnements informatiques afin d’offrir une liaison numérique. Il se destine aux sources informatiques et au gaming.
Le standard DisplayPort
Entre la version initiale 1.0 et l’actuelle 2.1, le DisplayPort a intégré les dernières technologies et a fait grimper la bande passante. Cela lui permet de passer les plus hautes résolutions avec un taux de rafraichissement record. C’est ce qui le différencie, entre autres choses, du HDMI qui n’est pas capable de grimper aussi haut.
Version
Année
Résolutions
Bande passante maximale effective
Classe
1.0
2006
1440p @ 60 Hz
5.18/8.64 Gbps
RBR/HBR
1.1
2007
1440p @ 60 Hz
8.64 Gbps
HBR
1.2
2009
4K @ 60 Hz
17.28 Gbps
HBR2
1.3
2014
4K @ 120 Hz 8K @ 60 Hz (avec DSC)
25.92 Gbps
HBR3
1.4
2016
4K @ 120 Hz 8K @ 60 Hz (avec DSC)
25.92 Gbps
HBR3
1.4a
2018
4K @ 120 Hz 8K @ 60 Hz (avec DSC)
25.92 Gbps
HBR3
2.0
2019
8K @ 60 Hz
77.36 Gbps
UHBR
2.1
2022
8K @ 60 Hz 16K @ 60 Hz (avec DSC)
77.36 Gbps
UHBR10, 13.5, 20
Une liaison DisplayPort utilise quatre lignes parallèles, la bande passante de 80 Gbps correspond globalement à l’assemblage de quatre liaisons de 20 Gbps. Le tableau liste les bandes passantes maximales effectives car une part est dédiée au transfert d’autres informations.
Le DisplayPort sécurise les liaisons grâce au DPCP (chiffrement AES128) ainsi que de façon optionnelle avec le HDCP depuis la version DP 1.4. Le HDR10 est supporté mais pas le Dolby Vision ou le HDR10+.
Côté audio, le multicanal est transporté en parallèle de l’image, et ce jusqu’à 32 canaux si nécessaire.
Quant au DSC, c’est une technologie de compression sans perte spécifique au DisplayPort permettant d’augmenter la fréquence de rafraichissement.
Le format DisplayPort repose historiquement sur un connecteur large asymétrique constitué de 20 broches. Il n’est donc pas interchangeable physiquement avec le HDMI. Le connecteur Mini DisplayPort offre les mêmes caractéristiques dans un format plus compacte utilisé par Apple dès 2006 sur ses ordinateurs. Il a aujourd’hui été abandonné.
Petit à petit le connecteur historique DisplayPort est remplacé dans certains domaines par l’USB-C. Pour cela, il faut que la liaison USB-C soit spécifiquement accompagnée de la fonction « DP Alt Mode ». Ce type de liaison permet de faire passer la vidéo en parallèle des données sur un même câble.
Car il faut savoir que le DisplayPort est un standard de connexion mais aussi un protocole. Rien n’empêche de faire passer le protocole DisplayPort via un cordon USB-C, tant que la bande passante nécessaire est bien présente.
Le connecteur DisplayPort a l’un de ses angles « coupé », tandis que le connecteur HDMI a deux angles coupés. Dans les deux cas, la prise ne peut s’insérer que dans un sens. Un connecteur DP est lié à 20 fils terminés par autant de micro contacts internes.
Ces 20 liaisons sont divisés en quatre fonctions :
4 lignes de données (broches 1 à 13)
2 canaux auxiliaires (broches 14 à 17)
détection de connexion hot plug (broche 18)
alimentation 3,3V (borches 19 à 20)
Un connecteur HDMI comprend 19 broches et propose deux fonctions supplémentaires absentes du DisplayPort : le canal de retour audio (ARC) et la transmission des commandes (CEC).
Les cordons DisplayPort 2.1
Comme nous venons de le voir, le DisplayPort peut transiter via deux types de cordons se terminant soit avec le connecteur traditionnel, soit en USB-C. Pour l’instant, seuls les cordons DisplayPort avec le connecteur idoine sont capables de garantir l’intégralité des données et le respect des plus hautes bandes passantes.
La norme DisplayPort 2.1 offre une bande passante de 80 Gbps au maximum que l’on obtient uniquement avec les cordons DP. Cependant, il existe trois niveaux de bande passante dans la norme 2.1. Lors de l’acquisition des cordons, il faut donc bien vérifier leur capacité maximale à travers l’indication « UHBR ».
UHBR10
40 Gbps
UHBR13.5
54 Gbps
UHBR20
80 Gbps
Les cordons USB-C actuels sont limités à 40 Gbps. Ils correspondent aux dénominations Thunderbolt 4 (macOS) et USB4 1.0 (Windows).
Les prochaines générations seront capables d’atteindre les 80 Gbps grâce au Thunderbolt 5 et à l’USB4 2.0.
Les avantages du DisplayPort
Le standard DisplayPort dédié aux usages informatiques et professionnels présente un certain nombre d’avantages face au plus classique HDMI. C’est pour ces raisons que ces deux liaisons concurrentes n’ont pas fusionné jusqu’ici. Cependant, le HDMI pouvant être remplacé par l’USB-C, et l’USB-C pouvant bientôt passer les 80 Gbps, ce type de cordon pourrait devenir universel à moyen terme.
Le mode de transmission des données
La différence essentielle entre HDMI et DP concerne la façon dont les données sont transmises. Les deux méthodes sont incompatibles entre elles de façon directe.
HDMI
TMDS
Le HDMI utilise la technologie TMDS (Transition Minimized Differential Signaling), ce qui signifie transmission de données en série à haute vitesse. La broche 18 délivre 5V côté source pour initier la liaison lorsque nécessaire.
DisplayPort
LVDS
Le DP utilise pour sa part le LVDS (Low Voltage Differential Signaling) ou transmission différentielle basse-tension. La broche 20 délivre 3,3V côté source pour initier la liaison si besoin.
Les données étant transmises sous forme de paquets en DisplayPort, cela autorise l’utilisation de cordons de plus grandes longueurs sans pertes de données à bande passante équivalente :
15 mètres pour le DP
5 mètres pour le HDMI
Les taux de rafraichissement
La connexion DisplayPort est celle qui offre les plus hauts taux de rafraichissement, aidée en cela par la technique de compression DSC. C’est pour cette raison que le DP représente la liaison de choix dans le monde du gaming. Précisons également que compression ou pas, le DP garantit la restitution d’un espace colorimétrique en 4:4:4 dans tous les cas, un autre atout face au HDMI.
Résolution
Sans compression
Avec compression DSC
16K
30 Hz
60 Hz
8K
60 Hz
120 Hz
4K
144 Hz
240 Hz
1080p
240 Hz
900 Hz
Le chaînage d’écrans
Le standard DisplayPort intègre la possibilité de faire du multi-écrans à partir d’une seule sortie, c’est la fonction Multi-Stream Transport (MST). Deux ou trois écrans peuvent ainsi être branchés en série, ce que ne permet pas le HDMI. Les plus hautes résolutions sont supportées. Voici quelques exemples sans compression, c’est-à-dire sans l’usage de la technologie DSC.
DisplayPort
DisplayPort
DisplayPort
USB-C DP Alt Mode
1 écran
2 écrans
3 écrans
3 écrans
10K @ 60Hz (10240×4320)
4K @ 144Hz (3840×2160)
4K @ 90Hz (3840×2160)
QHD @ 120Hz (2560×1440)
Le connecteur à verrouillage
Le connecteur DisplayPort est équipé d’origine d’un système mécanique de verrouillage. On est ainsi certain que le câble ne se détachera pas ou ne pourra pas facilement être arraché. Deux minuscules griffes mobiles viennent sécuriser le connecteur lorsqu’il est inséré. Pour retirer la prise, il faut appuyer sur le dessus de celle-ci, une bascule mécanique va alors libérer les deux griffes.
Intercompatibilités entre HDMI et DisplayPort
Bien que très similaires dans leurs possibilités, les formats HDMI et DisplayPort ne sont pas compatibles dans les deux sens. Il existe même un risque de griller les composants. Voici ce qu’il est possible de faire et les solutions d’adaptation. Prenez bien conscience que dans le cas de la cohabitation des deux standards, les résolutions et taux de rafraichissement seront au maximum ceux de la norme HDMI.
DisplayPort vers HDMI
Dans ce sens, tout fonctionne très bien avec un câble ou un connecteur équipé d’une prise DP d’un côté et HDMI de l’autre. Ce câble semi-actif utilise les 3,3V en sortie de l’appareil DP et le transforme en 5V et bascule le DisplayPort en mode de compatibilité TMDS. Ce mode a en effet été prévu dans la norme !
Attention, ce type de cordon fonctionne uniquement dans le sens DP > HDMI.
Adaptateur e-Boxx ADPMHDMIF DisplayPort vers HDMIUne matrice Lightware MX2 équipés d’entrées DisplayPort et HDMI toutes converties en sorties HDMI
HDMI vers DisplayPort
C’est ici que tout se complique. Ce type de câble n’existe pas car ces deux formats sont incompatibles dans ce sens : le HDMI n’a pas de mode de compatibilité pour passer de TMDS en LVDS. Une interface de conversion est obligatoirement nécessaire. Elle va transformer le mode de transmission et délivrer 3.3V à partir des 5V en entrée.
Attention, ce type d’interface fonctionne uniquement dans le sens HDMI > DP.
Mais la solution la plus simple aujourd’hui est de passer en IP. Avec un encodeur AV-over-IP DisplayPort, le signal converti en un flux vidéo H.265, JPEG2000, etc. devient indépendant de tout format physique. Avec un signal DP converti en IP, il est donc tout à fait possible de récupérer en sortie un signal IP vers HDMI ! Cela dépend évidemment de la qualité du flux attendu, une liaison sur IP ne permettant pas d’atteindre ls 80 Gbps, même en compression avec perte.
En entreprise, le DisplayPort est essentiellement disponible sur les stations de travail. Mais le HDMI destiné à l’origine au grand public se généralise de plus en plus dans les environnements professionnels et concurrence le DP. Il y a toutefois des situations où les deux formats seront présents. Dans les salles de réunion par exemple où il faut pouvoir accueillir les ordinateurs de tous les participants, quel que soit leur connecteur vidéo. En outre, la majorité des moniteurs et des vidéoprojecteurs professionnels sont équipés au moins d’une entrée DisplayPort.
Le DisplayPort étant associé aux sources informatiques, il va être très courant dans les salles de commande où les opérateurs ont besoin d’accéder aux images provenant de différents ordinateurs. Les murs d’images sont souvent alimentés par des sources en DisplayPort. C’est un connecteur privilégié en sortie des processeurs vidéo et des media server.
Enfin, le DisplayPort se retrouve sur les ordinateurs dédiés au gaming. C’est le connecteur de sortie vidéo choisi par les fabricants de cartes graphiques haut de gamme. Tout simplement car c’est celui qui délivre le plus grand nombre d’images à la seconde, jusqu’à 240 en 4K.
Avec la PowerBOX 4KE WiFi, Netio propose sa multiprise 4 sorties la plus complète. Ce modèle se pilote d’une infinité de façons pour un contrôle total des appareils branchés dessus. Il intègre la lecture de consommation indépendante sur chaque prise.
Multiprise 4 sorties avec RJ45 & WiFi
La PowerBOX 4KE WiFi se présente sous la forme d’une multiprise à poser tout ce qu’il y a de plus classique. La version 4KE indique que les prises sont françaises. Il existe d’autres versions avec prises Schuco (4KF) ou prises anglaises (4KG). Elle sera posée au sol mais il existe des accessoires de montage optionnel en rack ou mural.
Ce qui est beaucoup moins habituel, ce sont cette prise RJ45 d’un côté et l’antenne WiFi de l’autre. Netio connecte vos prises de courant et les rend accessibles sur le réseau. L’objectif est ainsi de pouvoir allumer et éteindre en local comme à distance les appareils branchés dessus. Cela peut se faire de différentes façons : selon un planning, sur détection de blocage ou perte de liaison, à la demande.
Une interface web de configuration complète
La connectivité ne se limite donc pas à donner la possibilité d’allumer et éteindre la multiprise. L’interface web Netio présente les quatre prises de façon indépendante. On peut lire pour chacune les informations de consommation, de charge, de courant. On peut leur donner un nom, modifier la durée de la fonction reboot, décider si chaque prise sera allumée ou éteinte après une coupure de courant.
Le planificateur est indépendant pour chaque prise. Il sert à créer des plages d’allumage, et par conséquent d’extinction, pour chaque jour de la semaine. Ensuite, l’interface donne accès aux fonctions partagées via l’API. C’est cela qui offre la possibilité de contrôler et d’intégrer la multiprise Netio dans un système domotique (Elan/Nice, Crestron, Control4, Savant, RTI, Loxone…) ou dans la gestion technique d’un bâtiment (SNMP, MQTT, Modbus, JSON…).
PowerBOX 4KE WiFi : une multiprise intelligente à multiplier
En bref, grâce à son format classique à poser au sol derrière un meuble ou sous un bureau, la multiprise Netio PowerBOX 4KE WiFi peut s’installer à différents endroits d’un bâtiment pour un contrôle total et une supervision fine des consommations. Le tout sera unifié dans l’interface Netio et l’application mobile du même nom.
Le spécialiste des petits équipements de streaming et de visioconférence AVerMedia propose un condensé de son savoir-faire dans une mini barre vidéo. La PA511D Mingle Bar se présente sous la forme d’un boîtier véritablement compact quand on la compare face à la concurrence. Ce qui ne l’empêche pas d’embarquer de nombreuses fonctionnalités.
Une barre de visio tout-en-un
C’est le concept de la barre de visioconférence, et la AVerMedia PA511D n’y déroge pas. Elle comprend les trois éléments principaux nécessaires à la bonne tenue des sessions de réunion à distance : une caméra, des micros et un haut-parleur. L’ensemble tient dans un châssis de moins de 30 cm de largeur.
La caméra filme en 4K à 30 images/secondes. Elle bénéficie d’un large angle de vision associé à un zoom numérique 4x. Un obturateur mécanique assure le respect de la vie privée. Les deux micros sont capables de capter les voix jusqu’à 4 mètres. Tandis que les 5 Watts de puissance du haut-parleur suffiront à restituer le son dans la salle de réunion.
Des capacités d’adaptation intelligentes
La PA511D sait faire beaucoup de choses de façon automatique afin de vous laisser vous concentrer sur votre réunion. La caméra analyse l’image pour le cadrage automatique et la reconnaissance des gestes. Pour une vision optimale, un réducteur de bruit agit sur les images les plus sombres tandis que l’exposition automatique améliore l’éclairage et plus particulièrement sur les visages.
Les micros ne sont pas en reste avec une réduction du bruit intelligente. L’annulation d’écho est bien entendu de la partie. Tandis que le beamforming garantit que les micros de la PA511D se concentrent sur les échanges des participants et rejette tous les bruits extérieurs.
AVerMedia PA511D : une connectique abondante
Enfin, la barre de visioconférence PA511D comprend une connectique bien plus large que d’autres barres du même niveau. En effet, elle peut à la fois se connecter en USB-C direct vers un ordinateur pour en récupérer toutes les fonctions, vers le moniteur de la salle en HDMI et sur le réseau en RJ45. Vous ne trouverez pas d’autre barre de visio à la fois aussi complète et aussi compacte que la PA511D Mingle Bar !
Avocor a officialisé la Série X d’écrans de très grande taille. Ce sont des modèles dvLED, c’est-à-dire qu’ils sont constitués de panneaux LED, les mêmes que l’on utilise pour créer des murs d’image sur mesure. Sauf qu’ici, ils sont proposés en version intégrée prête à l’emploi, en 132″ ou 138″.
Améliorer l’engagement, captiver l’audience
En créant les écrans de la Série X, Avocor a souhaité proposer des écrans géants de haute qualité avant tout. Les deux modèles mesurent 3 mètres de large. C’est ce qu’il faut pour impliquer les participants dans les réunions grâce à un affichage le plus immersif possible des contenus de travail.
L’image est claire et nette avec un ratio de contraste de 6500:1, une luminosité de 500 cd/m2 et une uniformité de 98%. En outre, les angles de vision sont identiques à ceux d’un moniteur IPS avec 170° dans les deux plans. Les personnes face à l’écran seront forcément captivées par ce qu’il s’affiche.
Des écrans dvLED modulaires
Les AvocorAVX-1320 et AVX-1380 sont proposés en 132″ et 138″ de diagonale. Le premier est un modèle 21/9e avec une définition de 2400×1080 pixels. Le second est plus classiquement au format 16/9e, en 1920×1080 pixels. Le pitch représente 1,27mm pour le 132″ et 1,58mm pour le 138″. On choisira l’un ou l’autre selon les besoins, avec une préférence pour le modèle 21/9e dans les salles de visioconférence.
Ces écrans sont composés d’un assemblage de 20 ou 25 panneaux LED selon le modèle, dans un cadre complet. Il est donc livré en kit, ce qui facilite sa mise en place. La partie basse de l’écran comprend l’électronique de gestion globale ainsi que les haut-parleurs de 2×30 Watts.
La connectique inclue des prises USB-A et USB-C en façade, une prise HDMI en bas et deux prises HDMI internes. La connexion réseau filaire et Wifi donne accès directement au partage d’écran. Avocor précise que la consommation maximale de 1,8kW tourne plutôt autour de 600W en moyenne, ce qui est très raisonnable par rapport à la technologie employée et à la taille d’image.
Avocor 132″ & 138″ : les écrans géants qui vont révolutionner les salles de réunion
En somme, Avocor commercialisera bientôt ces deux écrans de 132″ et 138″ pour répondre aux besoins des plus grandes salles de réunion et de conférence. La facilité d’installation, avec fixation murale ou trolley, leur permet de concurrencer la vidéoprojection. Enfin, Avocor annonce une durée de vie de 100.000 heures. Voilà un investissement pour durer !
Avec la Série X, nous redéfinissons ce qu’est un écran grand format. Il ne s’agit pas seulement d’afficher du contenu, il s’agit de créer une expérience visuelle inoubliable qui épatera chaque public. Sa capacité à fournir un contenu visuel à grande échelle et de haute qualité en fait un choix idéal pour les domaines où un affichage percutant et l’engagement actif du public sont essentiels.
Le CORIOmaster mini est le modèle intermédiaire dans la gamme des processeurs vidéo avancés de tvONE. Il n’en délivre pas moins d’exceptionnelles performances dans un châssis 1U parfaitement optimisé. Il est capable de gérer jusqu’à 4 murs d’images à travers 20 sorties vidéo.
Multi-affichage sur mesure
Les processeurs vidéo CORIOmaster de tvONE permettent de gérer le multi-affichage grâce à de multiples entrées et sorties. Il est ainsi possible de manipuler les sources pour les afficher dans la taille voulue, la découper, modifier son angle, l’étendre sur plusieurs écrans, etc.
Le CORIOmaster mini génère jusqu’à quatre murs d’images au sein desquels il peut y avoir plusieurs sources affichées. Ce sont autant des murs LED que de la vidéoprojection. A ce titre, le processeur gère le edge blending afin de créer des surfaces géantes sans raccord visible.
5 emplacements pour autant de cartes d’entrées ou de sorties
D’origine, le CORIOmaster mini intègre une carte fixe composée de deux entrées DVI. Il dispose de cinq emplacements pour autant de cartes à sélectionner parmi une large variété d’entrées (couleur noire) et de sorties (couleur blanche). Tous les panachages sont possibles ou presque.
Par exemple, on peut utiliser cinq cartes de sortie Quad HDMI afin d’obtenir 20 sorties pour autant d’écrans. Quant aux entrées, elles peuvent atteindre le nombre de 18 au maximum. Là encore, on peut combiner BNC, HDMI, DVI, HDBaseT et streaming selon les besoins du projet.
Le nombre de fenêtres vidéo au sein des canevas varie selon la qualité des sources. Cela va de 4 en 4K jusqu’à 12 en HD. Il sait même faire de la 8K en créant une configuration à 16 sorties 1080p associées sur un mur d’image.
La photo en ouverture de cet article montre un exemple d’application où un CORIOmaster mini gère un canevas géant reproduit grâce à cinq vidéoprojecteurs. Il s’occupe simultanément des moniteurs installés autour des colonnes.
CORIOmaster mini : le top des performances pour les projets de taille moyenne
En conclusion, ce processeur vidéo tvONE est aussi compétent que ses grands frères les CORIOmaster 4U. Ceux-ci bénéficient de bien plus de capacités d’entrées et de sorties. Mais pour des projets plus courants, le modèle mini reprend l’ensemble des fonctions de manipulation des images (murs, découpe, angles, superposition…) pour des affichages qui sortent vraiment de l’ordinaire.
L’iPad est une formidable interface tactile de petite taille. Elle s’adresse à de multiples environnements, du corporate au résidentiel en passant par les points de vente. La société allemande Viveroo fabrique différents supports d’intégration pour iPad très luxueux. Ces produits haut de gamme se répartissent dans quatre séries.
Comment réussir l’intégration d’un iPad
Grâce à ces quatre séries de produits, Viveroo propose différentes façons d’intégrer un iPad de façon fixe ou avec la possibilité de retirer la tablette. Tous les modèles d’iPad sont supportés : du classique au Pro en passant par le mini, ainsi que leurs différentes diagonales. Détaillons ces quatre séries pour en connaître les caractéristiques spécifiques.
Free
Les supports muraux Free comportent un demi cadre fermé sur deux côtés seulement : à vous de choisir si vous l’installez en mode paysage ou en mode portrait. Ainsi, il est facile d’insérer et de retirer l’iPad lorsque cela s’avère nécessaire, une feutrine protégeant le châssis pour ne pas le rayer. Il est possible également de sécuriser l’iPad pour ne pas qu’il puisse être retiré. Viveroo propose cette série de supports iPad dans trois coloris : argent, anthracite et noir.
One
Contrairement au Free, qui porte bien son nom, le support One comprend un cadre complet pour insérer et sécuriser l’iPad. L’objectif est d’assurer une protection totale contre le vol. Des vis de sécurité maintiennent la pièce qui recouvre le connecteur. Viveroo a pensé à tout puisque des micros ouvertures dans la tranche du cadre laissent sortir le son des haut-parleurs de l’iPad, ce qui peut être utile dans certaines situations.
Free Flex
Décliné du modèle Free, le Free Flex est en la version avec support de table. Le cadre est joint à un tube et à une large platine de base. La platine est de la même finition que le reste et peut donc être visible sans problème. Mais il est aussi possible de conserver uniquement le tube qui passera à travers le mobilier. Cette solution s’adresse plus particulièrement aux salles de réunion et au résidentiel premium.
One Kiosk
Le support Free Flex laisse toujours la possibilité de retirer ou non l’iPad. Tandis que le One Kiosk est un cadre fermé pour une sécurisation totale de l’iPad. Grâce à un placement libre, il peut se fixer au mur, sur un meuble ou via un pied de sol. Dans tous les cas, l’iPad est protégé et peut être laissé à la libre disposition des visiteurs ou des clients dans un hall d’accueil, une boutique, etc.
Des supports pour iPad qui gèrent l’alimentation et le réseau
En résumé, ces quatre types de supports couvrent tous les besoins d’intégration pour l’iPad. Les supports Viveroo cachent également le nécessaire pour l’alimentation. Vous êtes certain d’avoir des iPad toujours chargés pour un fonctionnement sans faille. Il existe même en option un adaptateur assurant à la fois la charge et la connexion réseau filaire. Cela permet de désactiver le WiFi sur l’iPad et de passer en Ethernet. Oui, c’est possible avec un iPad !