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  • Philips 86BDL3012 : un écran multitouch 86" simple et efficace

    Philips 86BDL3012 : un écran multitouch 86" simple et efficace

    Philips 86BDL3012 : un écran multitouch 86" simple et efficace

    Philips propose un nouveau moniteur de très grande taille dans la gamme T. Le 86BDL3012 servira avant tout de surface de travail multitouch. Philips l’a débarassé de toute fonctionnalité superflue. C’est à vous de lui connecter les fonctions dont vous avez besoin.

    Grand format, grande luminosité

    Le Philips 86BDL3012 délivre une image très définie en UHD/4K. Sa luminosité est exemplaire avec 410 cd/m2. Le contraste natif se situe à 1200:1. Il grimpe à 500.000:1 en contraste dynamique. Philips a doté cet écran de tout le nécessaire pour une reproduction de qualité de tous les flux. Il dispose en effet d’un système de désentrelacement avec analyse et compensation du mouvement.

    Sa connectique couvre les formats courant : une entrée DisplayPort, une entrée DVI-D, trois entrées HDMI, une entrée VGA et une entrée composantes. Une sortie DisplayPort permettra de chainer plusieurs écrans. Les haut-parleurs intégrés développent 2×10 Watts.

    Quadruple affichage, évolutivité OPS

    La seule fonction avancée CMND intégrée est la fonction Control. Elle permet le pilotage en local ou à distance de l’écran via le réseau. On trouve également le FailOver qui évite tout écran noir : si une source en entrée cesse de fonctionner, le 86BDL3012 bascule automatiquement sur l’entrée suivante prédéfinie. L’emplacement OPS est la bonne solution pour faire évoluer l’écran selon vos besoins. Avec le module Philips CRD50 en option par exemple, il ajoute la fonction Android au moniteur.

    Le très intéressant mode QuadViewer sert à afficher simultanément quatre entrées. Dans le cas d’un usage dans une salle de réunion, quatre utilisateurs pourront partager leur bureau en reliant leur PC ou leur Mac à l’une des sept entrées vidéo.

    Un écran multitouch de 86″ pour quel usage ?

    En résumé, le moniteur Philips 86BDL3012 va à l’essentiel. Il offre une grande surface tactile pour partager une ou quatre images simultanées. Simple à mettre en œuvre, il reste évolutif grâce à son emplacement OPS. Il se destine aux salles de réunion et de formation où sa qualité d’image sans faille permet de l’oublier et de se concentrer sur le travail.

    Plus d’infos : Philips

  • Chief Tempo : un support mural qui ne se fixe pas au mur mais au sol

    Chief Tempo : un support mural qui ne se fixe pas au mur mais au sol

    Chief Tempo : un support mural qui ne se fixe pas au mur mais au sol

    Dans son impressionnant catalogue de supports pour écrans, vidéoprojecteurs et autres appareils électroniques, Chief a toujours le produit original qui répond à un besoin bien précis. Le support Tempo est destiné au montage d’un moniteur en hauteur, sans avoir à percer le mur.

    Aussi fin qu’un support mural

    Plusieurs raisons peuvent empêcher la fixation d’un support mural. Ce sera principalement la structure du mur qui n’est pas assez solide, ou bien l’impossibilité d’un point de vue légal car le lieu en location interdit les trous dans les cloisons.

    Il est alors possible de passer sur un support fixe reposant sur une large plaque au sol pour assurer sa stabilité. La variante sur roulette existe également sous le nom de trolley. Ces deux solutions sont pratiques, mais forcément encombrantes en termes de profondeur. Chief a trouvé la réponse au problème avec le support Tempo (référence AVSFSS). C’est un support au sol de l’épaisseur d’un support mural.

    Fixation au sol

    Le support Chief Tempo se colle au mur puis il se fixe au sol via des équerres solidaires. La partie verticale derrière l’écran ajoute seulement 22 millimètres de sur-épaisseur. C’est sur cette partie que vient se fixer l’un des supports muraux Chief compatibles. La partie basse cachant la fixation au sol mesure 17 cm. Elle est moins discrète mais elle se voit peu. La plaque de finition peut être personnalisée pour s’adapter à la décoration de la pièce.

    Le Tempo peut accueillir les supports muraux Chief suivants :

    • LTM1U
    • MTM1U
    • LSM1U
    • MSM1U
    • RXF2
    • RLF2
    • RMF2

    Le Tempo accepte des écrans jusqu’à 90 kg maximum. La partie centrale peut recevoir des accessoires tels que des tablettes ou une attache pour une barre de son. Au final, selon le support retenu, le centre du moniteur se retrouvera entre 1,3m et 1,7m du sol.

    Un support Chief Tempo pour quels environnements ?

    En résumé, Chief a très bien pensé son concept pour faciliter l’installation de moniteurs de grande taille dans n’importe quel environnement. On pense bien sûr aux salles de réunion, de classe et de formation. Le Tempo est également bien adapté aux hôtels mettant à disposition des pièces de travail, des endroits où la finition est forcément soignée.

    Plus d’infos : Chief

  • Avec la gamme EK, Vivitek propose trois grands tableaux blancs interactifs pour l'éducation

    Avec la gamme EK, Vivitek propose trois grands tableaux blancs interactifs pour l'éducation

    Avec la gamme EK, Vivitek propose trois grands tableaux blancs interactifs pour l'éducation

    Vivitek adresse tous les besoins en termes de moniteurs de grande taille pour le travail collaboratif. Dans cette catégorie très large rentrent les tableaux blancs interactifs, ou TBI. Ils sont largement utilisés par l’Education Nationale, mais ils trouvent leur place dans toute structure de formation en général. Vivitek répond à cette problématique avec la série EK.

    Un TBI multi-fonctions

    Les nouveaux TBI de Vivitek sont suffisamment bien équipés pour couvrir tous les besoins courants, et même plus. Les moniteurs EK sont avant tout des tableaux blancs. Ils permettent de dessiner, d’écrire et d’annoter. Tout ce qui est créé peut être enregistré pour être réutilisé plus tard. Grâce à la fonction NT Live Hub, il est possible de dupliquer un écran vers d’autres écrans Vivitek en direct. C’est idéal pour des classes séparées travaillant sur un même sujet.

    Pour améliorer l’interactivité, il est bien sûr possible d’afficher l’image d’un ordinateur sur le moniteur, image fixe ou animée sur laquelle on pourra travailler. Toutes les actions sauront être enregistrées sous la forme d’une vidéo. Il est possible d’afficher deux images simultanément en split screen. Le moniteur accepte sans aucune connexion l’image provenant d’un PC, d’un Mac, d’un mobile Android ou Apple.

    Trois tailles d’image en 65, 75 et 86″

    Les moniteurs EK sont proposés dans trois tailles d’écran. De 65 à 86″, la surface de travail sera confortable. La résolution est en UHD avec une luminosité de 350 nits et un contraste de 1200:1. La dalle IPS offre un angle de vision de 178° dans les deux plans. La surface tactile est protégée par un verre de 4 mm d’épaisseur.

    Côté entrées, on trouve du HDMI et du VGA ainsi que de nombreux ports USB pour lire du contenu. Les moniteurs EK tournent sous Android 7.0 avec l’accès à de nombreuses applications. A ce propos, Vivitek NovoDS est intégré. Cette application permet de faire de l’affichage dynamique. Dans un environnement scolaire ou de formation, l’idée est de pouvoir afficher des informations pertinentes entre les cours.

    Un TBI dédié autant à l’éducation qu’à la formation

    Bien sûr, un TBI se destine avant tout aux salle de classe. Mais pas seulement. Les multiples fonctionnalités de la série Vivitek EK leur permettent de s’insérer dans tout lieu de formation, et même dans les salles de travail collaboratif dans les entreprises. Sa fonction d’affichage dynamique est également très pratique pour un double usage malin et efficace.

    Plus d’infos : Vivitek

  • Lightware met à jour son mini extendeur HDBaseT HDMI-TPS-96

    Lightware met à jour son mini extendeur HDBaseT HDMI-TPS-96

    Lightware met à jour son mini extendeur HDBaseT HDMI-TPS-96

    Les HDMI-TPS représentent les petits couples d’extendeurs HDBaseT chez Lightware. Ils permettent de transmettre facilement le HDMI (ou le DVI) sur de grandes distances à travers un cordon réseau Catégorie 5e/6/7. Cette nouvelle série HDMI-TPS-96 gagne quelques fonctionnalités bien pratiques.

    Un extendeur compatible 4K

    Le couple Lightware HDMI-TPS-TX96 / HDMI-TPS-RX96 se présente sous la forme de petits boîtiers faciles à intégrer. Ils peuvent se fixer sous un meuble, derrière un écran ou même se monter en rack 19″. Ils transmettent un signal HDMI dans différentes résolutions : de la Full HD en 60 Hz à la 4K en 30 Hz. côté normes, ils respectent le HDMI1.4a et le HDCP2.2.

    Ce sont des modèles dits « 5 play ». En plus de l’audio/vidéo via le HDMI, ils savent transmettre le contrôle, via infrarouge ou RS232 et ce en bidirectionnel. Ils font également passer l’Ethernet et l’alimentation, dans un sens ou dans l’autre.

    Alimentation simplifiée

    Cet extendeur est livré avec deux petits blocs d’alimentation 12V. Dans le cas le plus simple, on alimente chaque boîtier, émetteur et récepteur. Pour simplifier un peu, il est possible de supprimer l’un des deux blocs : un seul bloc fourni le courant aux deux boîtier à travers le câble réseau. Enfin, il est possible de se passer des deux blocs dans un cas précis : lorsque l’on passe à travers une matrice de distribution Lightware HDBaseT. C’est alors la matrice qui alimente les deux boîtiers.

    Il faut savoir que lorsque l’alimentation passe par le câble réseau, la distance maximale est réduite de 20%. Toutefois, le HDMI-TPS-96 autorise des distances déjà confortables : de 70 à 170 mètres selon la résolution et le type de câble utilisé. Lightware conseille le Catégorie 7 en 23AWG de diamètre pour maximiser la distance dans toutes les situations.

    Le mini extendeur HDMI-TPS-96 pour quels usages ?

    En résumé, en mettant à jour ses extendeurs à travers la série 96, Lightware propose des mini modules HDBaseT tout ce qu’il y a de plus pratique pour tous les environnements. Ils savent transmettre toutes les résolutions vidéo courantes mais aussi le contrôle et l’Ethernet. La possibilité de se passer des blocs d’alimentation 12V est un plus. Enfin, grâce au mode « long range », on peut augmenter de 30 à 40 mètres la distance entre émetteur et récepteur en résolution Full HD.

    Plus d’infos : Lightware

  • [Dossier] Quels sont les différents formats et codecs pour la vidéo sur IP ?

    [Dossier] Quels sont les différents formats et codecs pour la vidéo sur IP ?

    [Dossier] Comment fonctionne la vidéo sur IP ?

    La transmission via le réseau informatique est la dernière évolution en date des liaisons audiovisuelles câblées. C’est une révolution qui va petit à petit s’installer pour, peut-être, remplacer à terme tout autre type de liaison. Dans un monde futur idéal, les appareils seront reliés entre eux uniquement via des prises RJ45 ou des fibres optiques. Aujourd’hui, il est encore nécessaire de transformer les liaisons physiques en flux réseau. Cela passe par différentes méthodes de compression concurrentes.

    Point à point ou multi points ?

    Prenons par un exemple un signal audio/vidéo en sortie d’une source HDMI ou DisplayPort. Si l’on souhaite transporter ce signal sur plusieurs dizaines de mètres pour pouvoir le distribuer, il faut changer de câble. Comme nous l’avons déjà vu à travers différents articles, les signaux HDMI et DisplayPort sont très fragiles : ils nécessitent des cordons qui ne mesurent pas plus de 7-8 mètres.

    Le HDBaseT est la solution alternative la plus accessible en terme de budget et de facilité de mise en œuvre. Un extendeur, composé d’un émetteur et d’un récepteur, et un cordon réseau Catégorie 6 entre les deux : le tour est joué. La 4K est supportée, même si elle est compressée. On peut atteindre 30 à 40 mètres de distance entre la source et le diffuseur.

    La vraie limite du HDBaseT, c’est son fonctionnement point à point. La liaison est forcément directe entre l’émetteur et le récepteur. Il est possible de passer par une matrice HDBaseT pour gérer la distribution. Ce qui implique une centralisation.

    Au contraire du HDBaseT, la vidéo sur IP est décentralisée et multi points. Ce sont deux avantages majeurs qui font toute la force de cette technologie. En résumé, HDBaseT et AVoIP ne s’opposent pas : ils se complètent selon les besoins.

    Un exemple d’encodeur HDMI/SDI vers IP chez Theatrixx utilisant le codec H.264/AVC. Il y a d’un côté les entrées vidéo, de l’autre la prise RJ45 pour la liaison au réseau.

    Codec : codage et décodage

    Pour transformer un signal HDMI ou DisplayPort en AVoIP, il faut aussi un extendeur : un émetteur côté source, un récepteur côté diffuseur. Sauf qu’ici, ils changent de nom. On parle d’encodeur (émetteur) et de décodeur (récepteur). L’encodeur transforme le signal HDMI en un flux IP. Le décodeur fait le contraire.

    Il existe différentes solutions logicielles pour encoder et décoder un signal audio/vidéo. On les appelle des codecs, pour COdeur/DECodeur. Le boîtier émetteur/encodeur reçoit une source physique en entrée. Son signal passe par le codec pour être transformer en flux IP. Dans l’autre sens, le récepteur/décodeur reçoit le flux et il le décode pour le délivrer sur sa sortie HDMI ou DisplayPort.

    Comme on parle de flux IP sur un réseau informatique, les boîtiers types extenders encodeur/décodeur peuvent être remplacés par des éléments réseaux. C’est-à-dire qu’un PC peut être un encodeur pour diffuser un flux à travers sa prise réseau. A l’inverse, un moniteur connecté au réseau peut être capable de recevoir et de décoder directement un flux IP pour l’afficher.

    La solution AVoIP Christie Terra utilise le codec SDVoE. Le schéma ci-dessus illustre la communication entre encodeurs et décodeurs à travers un switch réseau.

    Matriçage virtuel via le réseau informatique

    Entre un émetteur et un récepteur HDBaseT, il n’y a qu’un câble sans aucun autre appareil sur leur chemin. Ou éventuellement une matrice de distribution.

    Entre un encodeur et un décodeur AVoIP, il y a un câblage réseau classique. Il peut donc y avoir des switch et un routeur sur le chemin. Ce sont justement eux qui vont jouer le rôle de matrice. Dans le cas de la vidéo sur IP, la matrice est infinie : un signal encodé peut être réceptionné par des dizaines et des dizaines de décodeurs. Et chaque décodeur a potentiellement accès à tous les flux AVoIP qui se promènent sur le réseau.

    Le switch réseau doit être « programmable ». Ceci afin de lui indiquer justement les routes à mettre en place pour ne pas surcharger inutilement le réseau en envoyant des flux vers des appareils n’ayant rien demandé. Les switch réseau de niveau L2/L3 en sont capables. C’est-à-dire des produits assez courants que l’on trouve chez tous les grands fabricants.

    Les différents codecs AVoIP actuels

    Comme dans tous les domaines du monde de la technologie, il n’y a pas qu’une seule solution logicielle. Ce serait trop facile. Il existe différents codecs, concurrents et incompatibles entre eux.

    Voici les principaux codecs actuels :

    Il n’est pas possible de dire qu’un codec est meilleur qu’un autre. Il n’y a donc pas de solution miracle à ce jour. L’appel à tel ou tel codec va dépendre de leurs différentes caractéristiques. Un fabricant va choisir de développer une gamme autour d’un seul codec qu’il aura sélectionné selon ses besoins.

    Les données caractérisant chaque codec sont les suivantes :

    • Résolution : de la HD à la 8K avec ou sans HDR
    • Espace colorimétrique (chroma subsampling) : 4:2:0, 4:2:2, 4:4:4
    • Taux de compression, compression avec ou sans perte
    • Latence
    • Débit nécessaire : Gigabit, 10GbE, fibre optique 20/40GbE
    • Débit adaptatif selon la bande passante disponible
    • Consommation électrique, complexité des composants, mémoire RAM nécessaire…
    • Standardisation SMPTE, ITU, …
    • Licence payante ou gratuite

    Enfin, certains fabricants développent leurs propres codecs basés sur les solutions existantes. Cela rend leurs produits totalement propriétaire. Alors qu’un encodeur AV1, par exemple, est compatible avec le décodeur AV1 de n’importe quel autre fabricant.

    Les futurs codecs AVoIP : VVC, EVC, LCEVC

    Certains de ces codecs sont déjà ancien car ils ont nécessité de longues années de développement avant de parvenir à une standardisation. C’est le cas des H.264 et H.265 par exemple. Le VVC en est une évolution, il devrait d’ailleurs s’appeler H.266 lors de sa disponibilité à la fin de l’année 2020. Le MPEG-5 est l’un de ses futurs concurrents, avec différentes déclinaisons appelées EVC et LCEVC.

    L’objectif de ces nouveaux codecs est avant tout de réduire la bande passante nécessaire sans impacter la qualité du flux vidéo. Le MPEG-5 annonce 30% de compression en plus pour un résultat identique au H.265.

    Cependant, ces avancées technologiques s’accompagnent souvent de puissance de calcul en augmentation. Ce qui augmente mécaniquement la qualité et la quantité des composants, et ainsi le tarif final.

    En conclusion, chaque fabricant sélectionnera toujours le codec présentant la meilleure combinaison qualité/latence/consommation/etc. à ses yeux. Ce qui contribue au développement de solutions concurrentes pour encore longtemps. Ne choisissez pas un codec en particulier, mais la solution répondant à vos besoins de distribution video sur IP.

    Sources :

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  • 230 appartements équipés en multiroom SpeakerCraft en Australie

    230 appartements équipés en multiroom SpeakerCraft en Australie

    230 appartements équipés en multiroom SpeakerCraft en Australie

    Les programmes immobiliers premium sont de mieux en mieux équipés afin d’attirer une clientèle de plus en plus exigeante. C’est le cas dans tous les pays du monde. Il n’y a pas que les maisons qui sont concernées mais aussi les appartements. Parmi tous les équipements qui peuvent faire la différence, il y a la diffusion audio intégrée. Avec du multiroom SpeakerCraft par exemple !

    Prestations haut de gamme

    A travers son programme Midnight, le promoteur australien Geocon a conçu un immeuble mixte rassemblant logements privés et hôtel haut de gamme. Le bâtiment comprend bar, restaurant, spa et salle de sport. Le tout fait appel à des matériaux de qualité mis en œuvre avec des finitions exemplaires.

    Du côté des logements, le projet inclut 224 appartements de 2, 3 ou 4 pièces. Il y a également six duplex aux derniers étages. Le promoteur équipe chaque appartement de double vitrages et d’électroménager SMEG déjà en place à l’arrivée des propriétaires.

    Enceintes intégrées

    En France c’est déjà le cas, la domotique fait son arrivée dans les programmes neufs. Des volets roulants au contrôle du chauffage à distance, de plus en plus de fonctions deviennent automatisées et connectées. Le propriétaire n’a plus à se soucier de l’intégration ou du choix des équipements. Tout est réalisé d’origine, comme dans le monde de l’automobile où l’installation en seconde monte à quasiment disparu tellement les fonctions d’origine sont devenues complètes et complexes.

    Dans le programme Midnight, le promoteur intègre la musique d’origine dans les appartements. Une zone audio équipe chaque 2, 3 ou 4 pièces avec un amplificateur intégré et invisible complété par une paire d’enceintes encastrables SpeakerCraft A6. Dans les duplex, on trouve un amplificateur trois zones et trois paires d’enceintes SpeakerCraft.

    Du multiroom SpeakerCraft pour les logements nefus

    En résumé, voilà un bon exemple d’intégration des nouvelles technologies dans l’habitat neuf. Il est possible d’imaginer des projets multiples et sans limite tellement tout reste à faire encore aujourd’hui. Pour la partie audio plus précisément, la gamme d’enceintes SpeakerCraft est assez large pour couvrir tous les besoins, pour une petite pièce, de multiples pièces ou encore pour le home cinema. Les projets d’équipement pour 230 appartements (et plus) vous tendent les bras !

    Plus d’infos : SpeakerCraft

  • 93 moniteurs en vidéo sur IP dans un bar à Toronto grâce à MuxLab

    93 moniteurs en vidéo sur IP dans un bar à Toronto grâce à MuxLab

    93 moniteurs avec vidéo sur IP dans un bar à Toronto grâce à MuxLab

    A Toronto, l’un des « sports bar » les plus connus a fait confiance à MuxLab pour la diffusion vidéo. Il se situe au milieu des deux stades de la ville où jouent les Blue Jays (MLB – base-ball), les Raptors (NBA – basket-ball) et les Mapple Leaf (NHL – hockey). Les passionnés de sport de la ville ont beaucoup de raisons de venir au Pint Public House ! Ils ne rateront aucun miette de tous ces matchs grâce aux 93 moniteurs installés.

    8 sources, 16 zones, 93 écrans

    Pour alimenter de façon fiable 93 moniteurs sans risquer de mécontenter les clients amateurs de sports, le bar est passé à un système audiovisuel sophistiqué sur IP avec l’aide de MuxLab.

    Ce système se compose de 16 zones distinctes réparties sur plusieurs niveaux. Il y a dix sources à répartir sur 93 écrans. Imaginez la taille de la matrice vidéo nécessaire ! C’est donc la vidéo sur IP qui a été retenue afin de tout passer à travers des switch réseau tout simplement.

    L’installation repose sur des encodeurs et des décodeurs MuxLab 500754. Ils sont PoE, ce sont donc les switch réseau qui les alimentent. Les sources sont huit récepteurs TV, un ordinateur portable et la sortie vidéo de la cabine du DJ.

    Pilotage centralisé grâce au contrôleur MuxLab Pro Digital

    Les zones comprennent le hall d’escalier, l’entrée, les six salles à manger, la salle VIP, deux bars, les toilettes, un patio extérieur, etc. Les sources et les encodeurs se situent dans un rack 19″ centralisé, ainsi que le contrôleur de réseau MuxLab 500811 pour paramétrer tous les extendeurs et les quatre switch PoE. Il y a un switch supplémentaire pour les moniteurs les plus éloignés. Une fibre optique le relie au rack principal.

    Le contrôleur MuxLab s’intégre dans le système d’automation Crestron du pub. Ainsi, les employés peuvent contrôler toutes les fonctions du bâtiment depuis une seule interface, mais aussi sélectionner quelles sources vont dans quelle(s) zone(s).

    Enfin, l’intégrateur en charge du projet conclu : « C’est vraiment un excellent système dont nous sommes extrêmement fiers. De plus, il a répondu à toutes les attentes du client pour une satisfaction totale : bon marché, extensible si nécessaire et facile à utiliser. Un projet gagnant/gagnant ».

    Plus d’infos : MuxLab

  • Tous les avantages des moniteurs motorisés de table Element One

    Tous les avantages des moniteurs motorisés de table Element One

    Tous les avantages des moniteurs motorisés de table Element One

    La gamme de moniteurs motorisés Element One regorge de solutions toutes plus intégrées les unes que les autres. Elles permettent de s’adapter aux besoins et aux contraintes d’installation. Parfois l’écran se replie dans l’épaisseur de la table, parfois il coulisse et se range sous la table. Différentes tailles d’écrans et qualités de finitions viennent parachever un large choix. Voici les avantages d’Element One en termes de caractéristiques particulières qui différencient la marque de ses concurrents.

    Mémorisation de l’inclinaison

    Lorsque les écrans Element One se déploient, ils le font soit du bas vers le haut, soit en se relevant depuis une position à plat. Dans les deux cas, l’écran se retrouve à la verticale, ce qui n’est pas très confortable en termes d’angle de vision.

    Il est donc possible d’incliner l’écran vers l’arrière. Cette position paramétrable s’enregistre en appuyant simultanément sur les deux boutons d’entrée et de sortie de l’écran. Ainsi, la fois suivante, l’écran sortira puis reprendra automatiquement l’angle mémorisé.

    Contrôle IP, RS232 ou via contacts secs

    Les motorisations des écrans Element One se pilotent manuellement via les touches intégrées à la plaque d’encastrement. Mais il est également possible de contrôler les motorisations depuis un moyen décentralisé. Le plus simple passe par les contacts secs : il suffit de faire contact entre les deux connecteurs pour faire sortir ou rentrer l’écran.

    Plus évolué, le port RS232 donne accès à des commandes plus complètes depuis un automate tiers. Le port RJ45 TCP/IP fait de même en passant à travers le réseau. Cette dernière option offre également une vue locale et à distance de l’état de chaque motorisation Element One installée.

    Solution de secours en cas de coupure de courant

    Une motorisation électrique, c’est bien, mais en l’absence de courant, ça fonctionne forcément moins bien. C’est pour cette raison qu’Element One a prévu un moyen de contrôle manuel.

    Pour la sécurité, une vis est intégrée au boîtier. Elle permet de faire sortir et de rentrer l’écran avec un tournevis ou une visseuse sans fil. Ainsi, même si le moteur en panne, vous pourrez toujours utiliser l’écran.

    Les avantages Element One pour des écrans motorisés évolués

    Les écrans motorisés Element One présentent de nombreux avantages en termes de qualité d’écran, de design, d’intégration et de fiabilité. Element One a également pensé aux fonctionnalités secondaires qui rendent ces produits incontournables, pour le confort de vision, le contrôle externe et la sécurité.

    Plus d’infos : Element One

  • Le vidéoprojecteur Christie Captiva à ultra courte focale passe à 4100 lumens

    Le vidéoprojecteur Christie Captiva à ultra courte focale passe à 4100 lumens

    Le vidéoprojecteur Christie Captiva à ultra courte focale passe à 4100 lumens

    La gamme Captiva de Christie évolue et accueille un nouveau modèle, le DHD410S. Comme son nom l’indique, il développe 4100 lumens ISO. Cette gamme comprend des modèles à objectif fixe à ultra courte focale. Ils sont prévus pour être posés sur un meuble ou fixés proche du plafond pour délivrer une très grande image sans contrainte.

    Captiva : de 80 à 100″ de diagonale

    Le DHD410S de Christie se positionne à quelques centimètres du mur. Son objectif fonctionne par rétro-projection. Il est installé dans l’appareil en visant vers l’arrière et l’image est réfléchie sur un miroir. Selon l’éloignement par rapport au mur, l’image mesurera entre 80 et 100″. Soit de quoi couvrir une très grande surface de projection avec un encombrement minimal. Le support mural sous forme de bras est proposé en option.

    Ce type d’appareil remplace en effet à la fois les vidéoprojecteurs classiques installés en fond de salle avec la contrainte du câblage et de l’installation mais aussi les moniteurs de grande taille nécessitant une manutention complexe. Une telle image peut être obtenue par un installateur seul en peu de temps.

    Forte luminosité et option tactile

    Le DHD410S fourni 4100 lumens grâce à une source de lumière laser. Elle passe à travers la puce 1DLP en définition 1920×1080 pixels. La connectique comprend deux entrées HDMI, une VGA, une audio et une entrée vidéo analogique composite. Le vidéprojecteur se pilote en infrarouge avec sa télécommande. Mais aussi en Ethernet ou en RS232 via un automate tiers. Notons le faible bruit de fonctionnement avec 32 dB seulement en mode éco.

    En option, Christie propose de rendre l’image projetée tactile. Pour cela, il faut ajouter un capteur infrarouge appelé Captiva Touch et un stylet infrarouge. L’ensemble sera capable de capter les annotations sur le mur par exemple et de les reproduire à l’écran.

    Un vidéoprojecteur à ultra courte focale pour quel usage ?

    Le Christie DHD410S se destine principalement aux salles de classe, de formation et de réunion. Elle permet de travailler à partir d’un grand écran facilement et rapidement installé. Grâce à l’option infrarouge, l’image projetée devient même virtuellement tactile. Disponible en noir comme en blanc, il pourra s’adapter esthétiquement à tous les environnements.

    Plus d’infos : Christie

  • DisplayShift : un système de coulisse murale universelle pour moniteur chez Kindermann

    DisplayShift : un système de coulisse murale universelle pour moniteur chez Kindermann

    La nécessité de déplacer un moniteur dans une pièce répond à différents besoins. L’objectif est principalement une question de visibilité pour l’ensemble des personnes présentes. Il doit alors être possible de positionner le moniteur plus ou moins haut. Pour cela, il existe différentes solutions, dont le système de coulisse universelle Kindermann DisplayShift.

    Fixation invisible ou fixation sécurisée

    Le système DisplayShift se présente sous la forme d’un boîtier d’une dizaine de centimètres d’épaisseur. Il mesure 67 cm de large pour 82 cm de haut. C’est donc quelque chose d’imposant. Mais rassurez-vous, il sera entièrement caché par le moniteur. Le boîtier dispose de deux grandes barres de support présentant différents écarts VESA, de 300×200 à 800×600.

    On voit que le système se destine avant tout aux grands écrans. Justement, le poids de l’écran doit être compris entre 57 et 90 kg. On parle ici généralement de moniteurs entre 65 et 100″.

    Manipulation aisée

    On peut alors se demander comment un tel système permet de déplacer de si grands moniteurs. C’est justement leur poids important qui va permettre au système de coulisse interne de fonctionner sans peine. Le débattement entre la position basse et la position haute est de 50 cm environ. Il suffit d’attraper le moniteur par le bord et de le pousser vers le haut ou vers le bas sans aucun effort particulier.

    Pour une plus grande rigidité du système en cas de pose sur une cloison trop fragile, des pieds positionnés entre le sol et le bas du support DisplayShift viennent le soutenir.

    Le Kindermann DisplayShift pour quels usages ?

    En résumé, Kindermann propose un support mural coulissant puissant, mais sans aucun moteur dedans. Une économie de moyens pour une installation plus facile. Il sera mis en place essentiellement dans des salles de cours et des salles de réunion. Il permet ainsi de décaler l’écran selon les besoins, le nombre de personnes dans la salle ou le nombre de rangs pour une visibilité toujours optimale.

    Plus d’infos : Kindermann