Le nouveau pupitre de réalisation live Canon RC-IP1000 est prêt à vous aider à gérer la retransmission des événements les plus importants. Il pilote un nombre impressionnant de caméras tout en disposant d’une surface de contrôle rationalisée pour une efficacité maximale.
Contrôle total sur un pupitre compact
Avec des fonctionnalités complètes pour toute réalisation vidéo live, le pupitre Canon RC-IP1000 reste néanmoins compact. Il consomme aussi très peu de courant puisqu’on peut l’alimenter à travers une connexion PoE+. Sa connectique semble également limitée : elle est simplement adaptée aux besoins actuels.
Les caméras numériques sur IP deviennent la norme. Il n’y a donc pas besoin de liaison directe de chaque caméra vers le pupitre, la communication s’effectue à travers le réseau. Cependant, Canon a tout de même prévu une entrée 12G-SDI, dont on peut afficher le contenu sur l’écran du pupitre, ainsi que cinq ports de contrôle RS422 pour les caméras pilotables de cette façon.
Des commandes précises et ergonomiques
Le pupitre est organisé autour d’un écran tactile central de 7″. Il peut afficher plusieurs caméras simultanément en grille 2×2 ou 3×3 parmi les 200 que le RC-IP1000 peut piloter. Pour sélectionner les caméras, un clavier à 10 touches permet de choisir 10 caméras organisées dans 20 groupes. Ces mêmes touches servent à lancer les présélections : jusqu’à 100 par caméra.
On retrouve les différentes commandes des caméras PTZ répondant au standard de contrôle XC en IP, ou UC en RS422 : le joystick pour les déplacements, la touche à bascule (rocker) pour le zoom, des molettes pour le focus, le gain, la vitesse, etc. On peut également effectuer le cadrage et la mise au point directement sur l’écran tactile. Enfin, Canon a prévu quatre touches personnalisables pour l’utilisateur.
Canon RC-IP1000 : un pupitre professionnel sans avoir besoin d’un ordinateur
En bref, ce pupitre Canon met à disposition de l’opérateur toutes les fonctions dont il a besoin pour une réalisation rapide et efficace. Par exemple, l’ajout de caméras ne nécessite aucune configuration depuis un ordinateur : tout se passe sur l’écran du RC-IP1000. La sortie « programme » est disponible sur une prise HDMI et une prise 12G-SDI.
Participez à la formation Canon by EAVS le 26 avril
Le vendredi 26 avril prochain se déroulera une formation technique dédiée à Canon, et plus particulièrement à la dernière génération de caméras et de contrôleurs PTZ. Ce sera l’occasion de poser toutes vos questions à propos du pupitre RC-IP1000.
Cette formation débutera dès 9h00 dans les locaux d’EAVS Groupe, à Bonneuil-sur-Marne (94380). Voici son déroulé :
09h00 – 10h00 – accueil et petit déjeuner
10h00 – 11h00 – formation théorique
11h00 – 12h00 – démonstration pratique
Si vous ne pouvez pas vous déplacer le 26 avril, vous aurez la possibilité de suivre cette formation à distance en live sur la chaîne YouTube EAVS Groupe.
Mimo Monitors a lancé récemment une étude auprès d’une centaine d’intégrateurs audiovisuel afin de cerner l’évolution de leur métier et leurs attentes en 2024. Il en ressort un fort besoin d’accompagnement dans un domaine en perpétuelmouvement. Cet accompagnement, Mimo Monitors s’est toujours engagé à le proposer, sous différentes formes.
L’évolution du métier d’intégrateur
Dans un monde technologique évoluant rapidement, le rôle de l’intégrateur AV est devenu central. Son métier est aussi devenu incroyablement complexe. Se tenir au courant de tout ce qui se fait et ce que cela lui apporte a un impact majeur sur son activité. L’objectif est de rester à jour continuellement, autant pour lui-même que pour les systèmes de ses clients.
D’après l’étude de Mimo Monitors, l’évolution parfois trop rapide des produits et des technologies est le sujet qui inquiète 58% des intégrateurs en leur ajoutant une charge mentale. C’est une couche supplémentaire de stress à un métier à multiples facettes. Les intégrateurs sont concernés dans tous les domaines d’application, que ce soit l’éducation, le corporate, les commerces ou le médical. Ils doivent à la fois s’adapter aux normes qui évoluent et aux attentes nouvelles des clients. Ces attentes précises et exigeantes peuvent avoir dans certains cas un impact très important sur le bon fonctionnement d’une entreprise, la sécurité ou la santé des personnes, etc.
Formation continue
Les intégrateurs se forment en continu : c’est une obligation pour se tenir au courant de ce qui existe, des évolutions, des nouvelles normes… D’après l’étude de Mimo Monitors, ce sont même 63% des intégrateurs qui se trouvent dans une logique de formation professionnelle en continu. Autant de temps qu’il faut arriver à organiser en parallèle de l’activité d’installation, au sens large.
Cela ne va pas sans poser de problème de gestion de temps. Que ce soit pour suivre une formation en ligne ou tester sur du matériel de démonstration les dernières mises à jour logicielles. C’est sans compter les déplacements pour se rendre à certaines formations obligatoires ou pour aller à la rencontre des fabricants et partenaires sur les salons.
Mimo Monitors : un support total dédié aux intégrateurs
A travers notre partenariat avec Mimo Monitors, nous vous faisons bénéficier de tout ce qu’ils ont mis en place pour aider les intégrateurs. Cette étude n’a fait que confirmer que les actions de support mises en place répondaient à une attente forte. Tout ce qui peut aider et faire gagner du temps aux intégrateurs ne doit pas être négligé. Voici les points forts du support Mimo Monitors :
un site Internet complet avec des pages produits comprenant toutes les caractéristiques, les fiches techniques, les notices d’installation
un support client qui parle 7 langues et disponible à toute heure pour répondre à toutes les problématiques, même lorsqu’elles impliquent la connexion à des produits d’autres marques
de nouvelles vidéo ajoutées régulièrement pour montrer les différentes gammes d’écran en situation
Dahua propose une gamme complète de moniteurs tactiles interactifs pour le corporate. Ces écrans tout en un sont capables de répondre à tous les besoins d’une salle de réunion. Les Dahua MC410 existent dans quatre diagonales. Ils peuvent tourner sous les deux systèmes d’exploitation les plus utilisés : Android et Windows.
Écran interactif tout en un
La gamme MC410 de Dahua compte quatre références pour autant de diagonales différentes : 55, 65, 75 et 86″. Ce sont les tailles standards qui répondent aux contraintes des pièces qui les accueillent en termes de recul et de nombre de participants.
Les quatre modèles affichent une image 4K. La luminosité de leur dalle LCD IPS à éclairage direct LED va de 300 cd/m2 à 400 cd/m2 selon leur diagonale. Le contraste natif est élevé avec 1500:1 sur toutes les références. Cela permet de les utiliser sans contraintes dans des pièces avec beaucoup de lumière. Autre avantage et non des moindres : Dahua annonce une durée de vie de 50.000 heures.
Android ou Windows
Pour tout ce qui concerne plus spécifiquement les réunions, il est possible de partager sans fil l’écran de son ordinateur avec les Dahua MC410. Les applications de visio installées profiteront de la caméra intégrée de 5MP avec large angle de vision et du faisceau de micros avec annulation d’écho.
Tout cela est utilisable depuis Android par défaut, ou avec Windows via l’ajout d’un module OPS. L’écran d’accueil est personnalisable pour mettre en avant ses propres applications métier. Tandis que la dalle tactile accepte jusqu’à 20 points de contact, indifféremment avec les doigts ou des stylets. Deux emplacements aimantés en façade sont là pour les accueillir.
Dahua MC410 : des écrans tactiles interactifs plus que complets
En résumé, les écrans Dahua MC410 sont équipés de tout ce dont on a besoin dans une salle de réunion moderne. Toutes les fonctions attendues présentes participent à renforcer la collaboration et l’efficacité, sans perte de temps, branchements et autres installations hasardeuses. Le point d’accès WiFi est même intégré pour que les personnes présentes puissent partager l’écran de leurs appareils personnels.
L’ultra courte focale fait définitivement partie du paysage. Cette méthode de projection au plus près de l’écran concurrence à la fois la vidéoprojection classique et les moniteurs de grande taille. Le compromis est très intéressant, pas seulement pour le monde l’éducation où ils se sont déjà imposés. Ce dossier va vous permettre de tout savoir au sujet des vidéoprojecteurs à ultra courte focale.
Une histoire de ratio et d’optique
Les vidéoprojecteurs classiques à technologie LCD ou DLP utilisent un système optique complexe destiné à projeter une image vers un écran. L’emplacement du projecteur varie en fonction des besoins, que ce soit suspendu au plafond pour une grande salle de conférence ou monté plus près de l’écran pour une salle de formation. Le ratio de projection peut être fixe ou ajustable via un zoom, déterminant la distance nécessaire pour afficher une image pour une diagonale donnée. Les optiques à ultracourtes focales gagnent en popularité pour leur capacité à projeter de grandes images à partir d’une distance réduite, offrant ainsi une solution pratique et flexible pour divers scénarios d’utilisation.
Tout se joue sur la question du ratio de projection lié à l’optique. Un ratio de 1:1 signifie que le recul du vidéoprojecteur par rapport à l’écran équivaut à la taille de l’image obtenue. Un projecteur avec optique 1:1 positionné à 2 mètres de l’écran donnera une image de 2 mètres. Si le ratio augmente, on doit reculer le vidéoprojecteur. Un modèle avec ratio de projection de 1:2 placé doit être installé à 4 mètres pour donner une image de 2 mètres. Dans l’autre sens, si l’on réduit le ratio, on peut rapprocher le vidéoprojecteur de l’écran. C’est justement le fonctionnement des vidéoprojecteurs à ultra courte focale. Un modèle avec optique 0.25:1 n’a besoin que de 25 cm de recul pour afficher une image de 1 mètre.
Comment fonctionne un vidéoprojecteur à focale ultra courte ?
Cette famille de vidéoprojecteur n’a en réalité rien de vraiment très spécial par rapport à des modèles classiques. Le fonctionnement de base reste le même. Une image est affichée par une puce DLP ou un mini écran LCD traversé par une lumière de forte puissance. Cette source lumineuse peut être une lampe ou un laser, bien que le laser se soit totalement imposé dans le monde de la vidéoprojection à ultra courte focale. Ensuite, l’image projetée par la lumière traverse le chemin optique constitué de lentilles.
Ce qui différencie le projecteur UST d’un modèle classique, c’est son optique finale par laquelle sort l’image. Comme dans la photographie, il suffit d’utiliser un objectif grand angle pour voir le plus large possible sans avoir besoin de reculer encore plus. C’est la technique la plus utilisée au sein des vidéoprojecteurs professionnels capable de générer des images très lumineuses. Pour des machines moins puissantes ou plus compactes, un système de miroir en rétro-projection accompagne l’optique à ultra courte focale. C’est-à-dire que l’optique installée à l’intérieur du vidéoprojecteur, et donc invisible, va projeter vers l’arrière de l’appareil, contre un miroir qui va renvoyer l’image vers l’avant. On augmente mécaniquement la taille de l’image sans augmenter le recul.
Les vidéoprojecteurs UST ont besoin d’un écran comme les autres, sauf dans le cas du projection mapping évidemment. Mais dans une salle de classe ou de réunion, l’écran est obligatoire. Il existe par ailleurs des écrans techniques capables de prendre en compte le fait que la lumière arrive de très proche avec un angle important depuis le haut ou le bas. Ce type d’écran pour projecteurs UST comporte des rainures orientées, invisibles à l’œil nu, qui maximisent la lumière reçue du projecteur tout en rejetant la lumière ambiante venant inonder l’écran depuis un angle différent.
Quand doit-on utiliser un vidéoprojecteur à ultra courte focale ?
Un modèle à ultra courte focale ne vient pas forcément en concurrence avec un vidéoprojecteur à l’optique plus classique. C’est en réalité les besoins qui vont dicter le choix. Dans certains cas, le modèle à focale ultra courte sera adapté, dans d’autres pas. Cependant, la qualité et la puissance des modèles actuels les rendent de plus en plus polyvalents. Quand il y a quelques années on choisissait forcément un appareil de fond de salle, aujourd’hui un vidéoprojecteur UST peut répondre aux exigences dans des conditions identiques en apportant quelques avantages.
Typiquement, ce type de vidéoprojecteur s’adresse au monde de l’éducation. Installé au-dessus d’un tableau blanc, il permet de réaliser une installation simple dans des tailles d’image classiques : de 80 à 120″ environ. Il présente un avantage indéniable fort utile dans l’enseignement : il supprime tout problème d’ombre. C’est-à-dire que personne ne peut passer entre le projecteur et la surface de projection. Contrairement à un appareil installé au plafond ou posé sur une une table. C’est appréciable quand la vidéoprojection sert ici de tableau blanc interactif, avec un enseignant et des élèves venant participer au tableau qui sont donc amenés à se déplacer. Le résultat est très proche d’un écran tactile interactif.
Cet avantage peut se mettre en pratique dans différents autres types d’environnements. Le corporate qui utilise de la projection en salle de réunion a également tout intérêt à éviter les ombres en optant pour le vidéoprojecteur UST. Dans le cadre de la muséographie et de l’événementiel, c’est là encore un avantage : tous les visiteurs profitent d’une image devant laquelle personne ne viendra passer. L’avantage lié concerne la sécurité. Lorsque l’objectif du vidéoprojecteur est à quelques centimètres du mur, personne ne peut regarder par inadvertance, ou volontairement, droit vers l’objectif. Ce qui est une action préjudiciable pour les yeux.
Les concurrents de la projection à ultra courte focale
Aujourd’hui, grâce aux sources lumineuses laser, les vidéoprojecteurs UST sont capables de délivrer des images aussi puissantes que leurs concurrents à focale classique. Ils viennent donc marcher sur leurs plates-bandes. Cependant, il existe des cas où le vidéoprojecteur UST ne peut être retenu. Dans certains lieux, on ne veut pas que le projecteur soit visible. Installé au-dessus de l’écran, il devient compliqué de le faire disparaître. De plus, il reste facilement accessible et manipulable, contrairement à un vidéoprojecteur fixé au bout d’une potence à 3 mètres du sol qui assure automatiquement sa sécurisation.
Mais les concurrents les plus féroces des vidéoprojecteurs à ultra courte focale sont les moniteurs de grande taille. Leurs tarifs baissent autant que leurs diagonales augmentent. En outre, ils sont autonomes et tout-en-un, quand un vidéoprojecteur a forcément besoin d’un écran de projection en plus. Pourtant, il y a un point qui fait la différence : la facilité d’installation. Un vidéoprojecteur UST a besoin d’un support de type potence ou peut se poser sur un meuble bas. Tandis que le moniteur de 86, 98 ou 105″ pèse plusieurs dizaines de kilos et nécessite l’intervention de 2 à 3 personnes pour sa mise en place. Problématique à laquelle il faut ajouter le support mural suffisamment sécurisé à installer sur une cloison qui ne peut être constitué de simples plaques de plâtre.
Avantages et inconvénients de l’ultra courte focale
On notera toutefois que l’installation d’un vidéoprojecteur UST n’est pas si simple. Tout d’abord, il doit être placé au millimètre près en termes de recul pour obtenir la taille d’image souhaitée. Le moindre défaut d’alignement ou de parallélisme sera immédiatement visible. Ces projecteurs sont donc équipés de système de correction pour obtenir une image sans déformation, ce qui est un véritable challenge pour ce type d’appareil. En effet, il était difficile sur les premiers modèles d’obtenir une image aussi bien alignée en haut qu’en bas, ou vice-versa. Mais tout cela est maintenant de l’histoire ancienne, avec parfois des réglages automatiques obtenus grâce à un capteur d’inclinaison intégré.
Enfin, les vidéoprojecteurs à focale ultra courte sont bien plus abordables que des moniteurs de grande taille. Ces projecteurs peuvent même créer des images bien plus grande, avec un encombrement toujours minimal. Ils sont évidement disponibles en définition 4K. De plus, leur source laser leur offre généralement une durée de vie de 20 à 30.000 heures, sans dégradation et sans maintenance.
Quelques exemples de solutions à ultra courte focale
EIKI
Compact et léger, le EIKI EK-360UST utilise le système de la rétro-projection. Avec un ratio de 0.238:1, il s’installe au plus près du mur.
Parmi ses différentes optiques, Christie propose le modèle fixe UST ILS1 en 0.37:1. Orienté à 90°, il facilite l’installation du vidéoprojecteur de la gamme GS qui peut l’accueillir.
Le FP-Z8000 est le vidéoprojecteur star à focale ultra courte de Fujifilm. Son objectif pivote à 360° pour que la machine puisse prendre place dans n’importe quelle situation.
Avec le DU775Z-UST, Vivitek a conçu un modèle à la fois puissant et silencieux. Il est idéal aussi bien pour l’événementiel que pour l’éducation grâce à sa caméra optionnelle pour un mode tableau blanc interactif.
Les petits écrans tactiles informatifs sont utilisés dans les environnements de bureau, la muséographie, l’hôtellerie ou encore les commerces. Ils mettent à disposition des visiteurs et clients une interface numérique de consultation. Il faut pouvoir installer de façon sécurisée ce type d’écran, le support Edbak STD04 permet de le faire n’importe où.
Un support élégant en métal
Le support Edbak STD04 est constitué d’un tube en aluminium chromé qui se termine par une lourde base de sol noire. En effet, le support sans écran mesure 1m10 de haut tandis que l’ensemble pèse pas moins de 18 kg. Cela lui assure une stabilité sans faille.
Pour la sécurité, Edbak a équipé la base de quatre trous de fixation afin de l’arrimer au sol et d’éviter ainsi tout basculement. La hauteur est idéale pour une excellente visibilité et mettre l’écran en situation de borne informative au-dessus de laquelle on se penche. Il n’est plus nécessaire de prévoir une fixation murale, le STD04 autorise une pose libre.
Des écrans de 19 à 32″
Le STD04 a été conçu pour accueillir des écrans de taille petite à moyenne. 32″ représentent déjà une grande taille d’image pour de la consultation proche. Pour la fixation, une plaque VESA fournie intègre les entraxes 75×75 et 100×100. Il est possible d’adapter par dessus d’autres plaques Edbak pour les plus grands écrans.
Ce support livré en kit ne nécessite que quelques minutes pour l’assembler. Le tube fait corps avec la base grâce à seulement deux vis. L’attache de la plaque VESA sur le tube passe par un pivot réglable afin d’offrir le meilleur angle de vue.
Edbak STD04 : un support idéal pour des bornes d’information légères
En bref, le support STD04 est une bonne alternative aux kiosques et autres totems. Capable d’accueillir des écrans de taille moyenne, il met à disposition des visiteurs et des clients toutes les informations nécessaires. Ultra stable, il repose sur une base en métal d’un centimètre d’épaisseur que l’on peut boulonner au sol. On peut même imaginer lui attacher des écrans de plus petite taille (entre 10 et 19″) qui seront tout aussi bien sécurisés.
Pandoras Box est l’outil logiciel de Christie pour la gestion et la diffusion de médias. Vous pouvez acquérir le logiciel seul et l’installer sur votre propre machine. Ou vous pouvez l’associer au Pandoras Box Server R5, le puissant serveur proposé par Christie pour de l’affichage dynamique haut de gamme.
Des caractéristiques de haut niveau
Le Christie Pandoras Box R5 prend la forme d’un serveur rackable 4U. Un mini afficheur en façade permet de vérifier l’état de certaines fonctionnalités. Le plus important se passe dedans. Il embarque un processeur Intel Xeon associé à une ou deux cartes vidéo Nvidia RTX. Du côté du stockage, vous avez le choix entre trois possibilités : 960 Go, 7,68 To ou 30,72 To.
Les sorties vidéo passent par du DisplayPort 1.4. Elles sont 4 ou 8 selon la carte vidéo retenue. Le serveur R5 gère jusqu’à la 8K et des images jusqu’à une fréquence de 240 Hz. En dehors de l’USB présent en face avant comme en face arrière et de la connectivité réseau 10 GbE, il est possible de sélectionner les cartes d’entrées selon ses besoins. Deux emplacements sont disponibles pour du SDI, du HDMI, du DisplayPort et même de la vidéo sur IP SDVoE.
Un puissant logiciel de mapping
Pandoras Box est un logiciel de gestion de contenus et de show control via une ligne de temps. Il gère aussi bien de l’affichage dynamique simple en mono ou multi-fenêtrage. Mais il permet également de faire du projection mapping en adaptant l’image à n’importe quelle surface non plane.
Lors de l’ISE 2024, Christie projetait des contenus sur sept hexagones cote à cote, mais décalés les uns des autres. Cela permettait de vérifier qu’il était très simple de diffuser sept flux distincts en s’adaptant parfaitement aux contraintes et aux formes, le tout depuis un seul vidéoprojecteur Christie.
Un serveur Pandoras Box R5 pour tous les projets de projection mapping
En résumé, le logiciel Pandoras Box est l’outil indispensable pour créer du projection mapping avec les vidéoprojecteurs Christie, surtout lorsqu’il est utilisé conjointement au Pandoras Box Server R5. En plus de gérer des contenus en ultra haute résolution et de s’adapter à l’affichage en volume, il s’occupe aussi des fonctions de show control avec des compatibilités multi protocoles : DMX, Art-Net, Midi, NDI, Dante… Pour les projets les plus ambitieux, il est possible de synchroniser parfaitement plusieurs serveurs R5.
Le nouveau SMQ-7501 rejoint la gamme des moniteurs dédiés principalement à la vidéosurveillance. Ce qui est plutôt exceptionnel avec une diagonale de 75″ ! Il a été conçu avec précision pour améliorer l’efficacité dans les salles de contrôle. A ce titre, il supporte aussi bien les systèmes de caméras analogiques que numériques.
Un écran dédié à la sécurité
Avec une définition de 3840×2160 pixels, le AG Neovo SMQ-7501 affiche le moindre détail capté par les caméras. Les opérateurs peuvent ainsi zoomer sans aucune perte de qualité d’image. Conçu pour un usage professionnel, il est prévu pour tourner 24h/24 avec le mode Anti Burn-In pour éviter tout marquage.
Il bénéficie des dernières technologies d’image d’AG Neovo. Il y a par exemple différents modes d’amélioration de la dynamique de l’image pour ne rater aucun élément dans les zones les plus sombres. Ce sont les modes CCTV, de gamma amélioré et de gestion du niveau des noirs.
Pour les caméras analogiques et numériques
La présence d’une entrée BNC est inédite sur un écran de cette taille. Elle permet de relier les caméras analogiques utilisant classiquement ce connecteur. Simultanément, les entrées numériques HDMI peuvent recevoir l’image provenant de caméras plus récentes ou la sortie d’un enregistreur.
Le SMQ-7501 est bien évidemment équipé de PID Command & Ctrl qui permet de prendre la main sur l’écran en local comme à distance. Cela signifie que l’on peut piloter un ou plusieurs écrans AG Neovo depuis une interface commune mais également que l’on peut les intégrer dans un système plus large via un automate tiers.
AG Neovo SMQ-7501 : le futur de la vidéosurveillance
En conclusion, le AG Neovo SMQ-7501 va sans doute faire évoluer tout ce que vous pensiez des écrans dédiés à la vidéosurveillance. Une si grande diagonale permet de profiter de multiples fenêtres sans perte de détail, tout en acceptant les caméras analogiques comme numériques. Toutes les technologies qu’il embarque vous permettent de compter sur lui pendant très longtemps, en termes de fiabilité comme de suivi et de maintenance.
Lightware ne cesse d’étoffer la gamme de produits Taurus pour les salles de réunion. Avec la nouvelle proposition prenant la forme du bundle TPX-2×1-TX20-RX107, vous allez pouvoir connecter, étendre et automatiser les petites salles équipées de deux sources, d’un écran et de multiples accessoires.
Deux sources : USB-C & HDMI
Le but de ce bundle TPX-2×1-TX20-RX107 est de permettre dans un premier temps de relier deux sources à un afficheur dans une salle de réunion. La première est au format USB-C, ce sera donc un ordinateur portable en général. Rappelons que cette prise permet de récupérer l’image, les données, le réseau et, simultanément, de recharger l’appareil relié jusqu’à 100W. La seconde sera reliée en HDMI et associée à un port USB-B.
La présence de l’USB n’est pas anodine. Car en plus d’être un switch vidéo, cet émetteur Lightware Taurus est également un distributeur USB. Les deux sources connectées ont accès aux équipements USB reliés à ce même système. Ils peuvent être connectés indifféremment au boîtier émetteur ou au boîtier récepteur. Il y a à chaque fois quatre ports USB-A à disposition.
Transmission point à point en SDVoE
Le bundle fonctionne donc sous la forme d’un couple émetteur/récepteur. L’émetteur se place sur ou sous la table de réunion. Le récepteur s’installe derrière l’afficheur de la salle, que ce soit un moniteur ou un vidéoprojecteur. Entre les deux, un câble réseau capable de passer du Gigabit Ethernet suffit à transmettre l’image en 4K ainsi que le réseau, l’USB et le RS232 de façon bidirectionnelle. La liaison s’effectue selon la norme SDVoE, en point à point.
En parallèle de l’image, il est possible d’extraire le son des entrées pour le rediriger vers deux sorties audio : une sur l’émetteur, une sur le récepteur. On choisit ainsi où l’on connecte le système de reproduction sonore de la salle. Enfin, grâce aux ports GPIO, l’émetteur intègre des fonctions d’automatisation pour les équipements de la salle tel que l’éclairage, les ouvrants ou les motorisations d’écrans.
Lightware TPX-2×1-TX20-RX107 : un bundle de sélection et de transmission pour petites salles
En bref, à côté d’autres solutions plus conséquentes, telle que le bundle Taurus TPX 4×3 (quatre sources vers trois afficheurs), Lightware vous propose cette version adaptée aux petites salles. Avec deux sources pour un écran, cela correspond à un très grand nombre de situations. Grâce au transport de l’USB-C, au partage des équipements USB-A et aux ports de contrôle pour l’automatisation, ce bundle se suffit à lui-même. Ses fonctions peuvent même être intégrées dans certains systèmes de visioconférence évolués comme Cisco Webex.
Audipack présente deux nouveaux trolleys pour des écrans de très grande taille, ce qui se fait de plus grand actuellement. Ces supports mobiles ultra modernes embarquent une motorisation invisible. Ils permettent ainsi de placer l’image à la hauteur voulue.
Des supports pour écrans de 100 à 200″
Les modèles Audipack LSW se différencient par la taille des écrans qu’ils peuvent accueillir. Le LSW-T10150W est prévu pour des modèles de 100 à 150″. Tandis que le LSW-T15200W supporte les écrans qui mesurent de 150 à 200″. Bien entendu, tout est prévu pour résister au poids important de ce type de moniteur.
La motorisation verticale a deux objectifs. D’une part, de pouvoir monter l’écran jusqu’à 2 mètres de haut afin d’assurer la meilleure vision pour toutes les personnes présentes. D’autre part, de baisser l’écran au maximum afin que l’ensemble support et écran occupe le moins d’espace possible lors du transport.
6 emplacements pour des plastrons de type D
En plus d’une conception solide et bien pensée pour soutenir des écrans de 5 mètres de diagonale, les supportsAudipack LSW sont équipés d’une gestion des câbles parfaite. Tout d’abord, ils vont pouvoir passer à l’arrière des tubes verticaux pour être invisible des spectateurs. Ensuite, ils rentrent dans la base du support pour se terminer par des connecteurs.
De cette façon, il n’y a absolument aucun câble volant ni visible. Les prises femelles à la base accueilleront les câbles de la salle. Audipack a choisi les plastrons de type D classiques que l’on trouve pas exemple chez Neutrik. Ces connecteurs existent pour la plupart en version verrouillable : powerCON pour l’arrivée électrique, RJ45 pour le réseau, HDMI pour les sources, etc.
Les modèles LSW Audipack supportent les plus grands écrans
En bref, Audipack a la solution idéale pour mettre en place des écrans de très grande taille. Malgré leur encombrement, ces supports sont mobiles et motorisés. Le côté visuel n’a pas été oublié avec une gestion intelligente du câblage. Il existe des références spécifiques pour certains modèles d’écrans chez Philips et Optoma.
Pour compléter efficacement ses gammes de moniteurs interactifs, ProDVX dévoile son API. Celle-ci a pour but d’offrir tous les outils pour contrôler les écrans depuis des applications tierces. Ou comment assurer parfaitement la compatibilité entre le logiciel et le matériel.
Pourquoi cette API ?
Une API correspond à une suite de commande mises à disposition pour contrôler un appareil ou un logiciel. Cela signifie que l’on peut marier deux univers, deux marques, deux applications provenant de sociétés différentes.
Dans le cas de ProDVX, la marque a souhaité laisser la possibilité de prendre la main sur ses écrans en back office. C’est-à-dire la possibilité de commander le fonctionnement des moniteurs ProDVX depuis les applications que l’on installe dessus.
Les avantages de l’API ProDVX
Grâce à cette communication entre l’applicatif et le matériel, ProDVX peut garantir que les logiciels tourneront de façon transparente, quelle que soit la version Android de l’écran. La communication repose sur l’architecture REST en utilisant les méthodes standards HTTP. Il n’y a donc rien de compliqué ou de propriétaire : c’est un langage bien connu des développeurs qui s’appuieront sur cette API.
L’objectif de cette API est également de vous faire gagner du temps. L’intégration sera fluide et transparente afin de faciliter l’usage des moniteurs ProDVX et de vous faire choisir cette marque plutôt qu’une autre. C’est pourquoi cette API est disponible gratuitement.
ProDVX API : pour des applications adaptées à tous les écrans de la marque
En conclusion, l’API facilite le développement d’applications métier tirant partie des capacités des écrans ProDVX. Grâce à elle, vous êtes certain que vos applications tourneront de la même façon sur tous les écrans ProDVX Android.