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  • LG 55EF5E : l’écran flexible à courber vous-même

    LG 55EF5E : l’écran flexible à courber vous-même

    LG 55EF5E-P : l'écran flexible à courber vous-même

    LG propose un grand nombre de types d’écrans pour l’affichage dynamique : LCD, OLED, plats ou courbes. Par sa spécificité différenciante, l’écran courbe attire le regard. Mais on peut aller beaucoup plus loin ! Avec des courbes personnalisables et un nombre d’écrans sans limite, vous pouvez imaginer toutes les formes d’affichage les plus originales et les plus captivantes. L’écran OLED 55EF5E flexible a été créé pour cela.

    Le LG OLED 55EF5E se courbe littéralement comme une feuille de papier. Il est livré à plat, à vous de le courber selon votre projet. Pour cela, une machine spécifique disponible auprès de LG est nécessaire : c’est le Curvature Calibrator

    Comment donner une forme à un écran flexible ?

    Cette machine permet de créer la courbure voulue en réglant son plateau en conséquence le plus précisément possible. La valeur à régler sur la machine s’obtient via une feuille de calcul Excel. Lorsque la machine affiche la courbure voulue, la dalle OLED55EF5E peut être posée dessus. Des pinces permettent à la dalle d’épouser la forme.

    Ensuite, deux supports flexibles se fixent à l’arrière de la dalle. Ils viennent s’accrocher grâce à une quinzaine de vis. Une fois toutes ces vis serrées, la dalle OLED conserve la courbure voulue. Les pinces peuvent être retirées.

    La dalle mesure seulement 12,4 millimètres d’épaisseur. L’électronique de gestion et les entrées/sorties ne peuvent y trouver leur place. Un boîtier séparé vient se fixer à l’arrière, au centre de la dalle. Il est connecté à cette dernière via quatre nappes ultra fines. L’écran est alors prêt à être installé à sa place définitive. 

    Le Curvature Calibrator courbe l’écran dans les deux directions, convexe ou concave, en mode portrait ou en mode paysage. Tout est possible ! Une fois le mur d’images construit, l’écart entre chaque image ne dépasse pas les 15mm.

    Contrôle via le réseau grâce à LG SuperSign

    Les contenus à afficher seront stockés dans une machine contrôleur équipée du logiciel LG SuperSign. Chaque écran 55EF5E dispose de la puissance nécessaire pour communiquer avec SuperSign à travers le réseau. Afin de faciliter la création de grands murs d’images, le 55EF5E intègre deux ports Ethernet, le second servant à chaîner chaque écran avec le suivant.

    Côté connectique, cet écran LG est particulièrement bien loti avec une entrée HDMI, une entrées/sortie DisplayPort, deux ports USB, une entrée/sortie RS232, une entrée/sortie audio.

    Le 55EF5E repose sur une dalle OLED, la spécialité de LG. Ce type de dalle offre un contraste infini, des noirs profonds, des couleurs éclatantes, un large angle de vision. Tout ce qu’il faut pour afficher des vidéos destinées à capter l’attention des visiteurs.

    Un écran flexible pour quels usages ?

    En résumé, LG propose le seul écran OLED que vous pouvez courber vous-même. Le 55EF5E se destine aux applications d’affichage dynamique ou pour l’événementiel où les écrans s’intègrent dans l’environnement. Suivre la courbure des murs, créer des espaces virtuels, délimiter l’espace avec style… tout devient envisageable. En dehors de pouvoir créer des formats d’affichage inédits, cette technologie innovante a pour avantage indéniable d’attirer l’œil des visiteurs directement sur l’objet écran courbe et donc sur le contenu qu’il affiche. 

    Plus d’infos : LG OLED

  • Les écrans OLED deviennent transparents !

    Les écrans OLED deviennent transparents !

    Un écran OLED de 77″ et transparent ? C’est la dernière innovation LG !

     

    LG transparent

     

    LG continue d’innover et développe actuellement un écran OLED transparent de 77″. Doté d’une résolution UHD de 3840 x 2160, d’une transparence de 40% et d’une courbure de 80 degrés sans en affecté l’image.

    Le Coréen avait déjà dévoilé un écran similaire en 2014, puis en 2016, mais cette année, il va plus loin. L’écran peut davantage être courbé et améliore sa résolution pour correspondre au contenu de qualité actuel !

     

    Depuis 2013, LG travaille activement sur la gamme d’écran OLED, conservant son avance dans ce domaine. Des écrans qui permettent ainsi un affichage optimal et ce, peu importe son application !

     

  • EAVS GROUPE : Votre nouveau partenaire LG !

    EAVS GROUPE : Votre nouveau partenaire LG !

    EAVS partenaire de LG

     

    Fondée en 1958, LG est devenu un précurseur dans l’industrie de l’électronique grâce à une expertise technologique acquise par la fabrication de nombreux appareils.

    LG (Lucky Goldstar) rejoint donc dès à présent les rangs d’EAVS, désormais partenaire du Coréen et de ses technologies aussi futuristes que performantes !

     

    Des technologies qui s’adaptent à tout type d’application, pour des images de qualité et un rendu optimal !

    LG OLED LG Miroir LG Transparent

     

    Découvrez toute la gamme d’écrans LG sur notre site internet ! 

  • L’Ultra HD Premium, c’est quoi ?

    L’Ultra HD Premium, c’est quoi ?

    Vous allez le voir de plus en plus, le logo « Ultra HD Premium ».

    Nous vous en parlions il y a quelques semaines déjà, à l’occasion de la journée de formation Gefen, de cette nouvelle norme dans l’audiovisuel qui permet de choisir ses appareils afin de pouvoir afficher la 4K.

     

    La norme Ultra HD Premium :

    HO&A_037_UHDA_LOGO_FINAL_v6Vous verrez bientôt ce logo envahir vos magasins, si ce n’est pas déjà le cas. L’Ultra HD Premium a été lancée lors du Consumer Electronics Show de Las Vegas en janvier de cette année par l’Alliance UHD. Le but de cette norme est de pouvoir certifier du respect des obligations concernant la diffusion 4K, mais aussi de pouvoir vous permettre de repérer en un seul coup d’œil les téléviseurs et lecteurs Blu-ray qui disposent de cette norme.

    Appareils et services de VOD pourront ainsi être soumis à cette norme.

     

    Mais alors comment obtenir cette norme ?

    Pour obtenir le fameux logo, il faut remplir certaines conditions, pour les appareils :

    • Une résolution d’image de 3 840 x 2160
    • Une profondeur de couleur 10 bits
    • Une large gamme de couleurs, les appareils comme les services de VOD doivent supporter le Rec 2020, et doivent notamment être capable de recréer plus de 90% de la gamme de couleur P3 utilisée dans les salles de cinéma.
    • Un contraste HDR (High Dynamic Range) aux normes SMPTE ST2084 EOTF.
    • Et enfin une combinaison de pics de luminosité et de niveaux de noir au ratio : 1000/0.05 ou 540/0.0005.

    Et pour les services de VOD, les conditions sont les mêmes à l’exception du ratio de luminosité et de niveaux de noir qui ne figure pas dans les critères.

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    Pics de luminosité et niveaux de noir ?

    Ces deux ratio n’ont pas été choisi au hasard, quand l’un permet un meilleur affichage sur des écrans LED/LCD mais avec un niveau de noir plutôt faible, l’autre ratio quant à lui offre favorise l’affichage sur les écrans OLED, pas aussi lumineux que leurs cousins, mais qui permettent des niveaux de noir plus profond.

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    Mais …

    Si vous ne voyez pas le logo sur l’écran que vous convoitez, point de panique ! Cette norme n’est pas obligatoire. Il se peut donc qu’un écran corresponde tout à fait aux critères de certification, mais qu’il n’ait pas suivi le processus de certification de la norme Ultra HD Premium.

    Vous vous demanderez certainement, pourquoi ? Et bien tout simplement parce que les fabricants qui ne se sont pas encore prêté au processus de certification estiment qu’il manque encore de précision par rapport aux technologies de leurs écrans.

     

    Maintenant que vous savez tout, vous pouvez vérifier si votre écran ou votre lecteur Blu-ray est adapté à la norme Ultra HD Premium.

  • Et si vous rangiez votre TV en la roulant ?

    Et si vous rangiez votre TV en la roulant ?

    unnamedLors de la Display Week 2016 à San Francisco, Samsung a présenté sa dernière invention : la TV (ou la tablette) enroulable. Mais comment est-ce possible me demanderez-vous ?

    Avant de s’attaquer à l’aspect technique ce de nouvel écran, il faut savoir que les prototypes de ce genre ont vu le jour en 2013. Le premier du genre a été le LG 18-in-roll-up OLED, présenté en 2014.

    Mais Samsung, toujours à la pointe de la technologie et des dernières tendances nous présente aujourd’hui les tous premiers écrans enroulable. Une série d’écrans LED dédiés aux salons qui peuvent être pliés ou roulés, mais aussi des écrans OLED dédiés à la réalité virtuelle pour les gadgets ou les écrans de voitures, ainsi que des écrans transparents et réfléchissants pour projeter de la 3D semblable à un hologramme.

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    Les écrans enroulable de Samsung ne pèsent que 5 grammes et font seulement 0.3 mms de largeur et peuvent aussi être incurvés jusqu’à 10 degrés pour pouvoir les enrouler.

    Grâce à ses nouveaux écrans, Samsung à fait un bon dans le futur !

     

    Et vous, que pensez-vous de ces nouveaux écrans enroulable ?

  • 10 idées reçues sur les écrans

    10 idées reçues sur les écrans

    On entend parfois des affirmations qui semblent des évidences : un écran mat est toujours mieux qu’un écran brillant, un taux de rafraîchissement plus élevé est important, un rétroéclairage par LED est plus flatteur que par LCD… mais que se cache-t-il réellement derrière ces sentences et reflètent-elles vraiment la réalité ?

    Nos camarades de Tomshardware ont passé en revue une dizaine d’idées reçues sur les écrans (principalement sur des moniteurs PC destinés au Gaming)

     

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    Le temps de rémanence c’est important

    Quand on envisage de s’acheter un PC, on pense surtout aux composants internes et à leurs performances. Ce faisant, il arrive que l’on néglige les périphériques, pourtant tout aussi essentiels au quotidien. Clavier, souris, écrans, ces éléments doivent aussi être choisis avec soin : d’eux dépendront l’agrément d’utilisation, la fatigue musculaire ou visuelle. Or, s’il est facile de comparer deux processeurs avec un benchmark, évaluer deux écrans est plus délicat. Dans les pages qui viennent, nous allons essayer de vous simplifier la tâche en passant en revue dix idées reçues sur les moniteurs. Première en lice : l’importance du temps de latence.

    Dans les années 2000, le premier critère de choix d’un écran LCD était le temps de latence, c’est-à-dire le temps que mettent les pixels de l’écran pour changer de couleur d’une image à une autre. A l’époque, il pouvait atteindre 30 ms, ce qui se traduisait par des traînées gênantes derrière les objets en mouvement. Aujourd’hui, il est pratiquement impossible de trouver un écran dépassant 15 ms, la majorité étant donnée pour moins de 8 ms, ce qui ne pose presque plus de problèmes. Le temps de rémanence n’est donc plus un critère de premier plan. Les joueurs préféreront tout de même un écran très rapide (les meilleurs descendent à 2 ou 3 ms en pratique).

    10 idées reçues sur les écrans

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    Un écran mat c’est mieux ? Pas toujours !

    Au commencement, les écrans LCD étaient mats. Puis les constructeurs s’entichèrent des écrans brillants plus design. Pendant quelques années, le brillant éclipsa le mat, au grand désarroi d’une partie des utilisateurs. Depuis, la roue a tourné de nouveau et la plupart des écrans PC sont redevenus mats. Mais le mat est vraiment mieux que le brillant ?

    La critique principale faite aux écrans brillants est qu’ils génèrent plus de reflets, reflets qui gênent la visibilité des contenus affichés. C’est une réalité, mais il faut relativiser son importance. Ce phénomène est surtout gênant sur les écrans de PC portables, lorsque le visage de l’utilisateur et une source lumineuse (plafonnier, soleil) se trouvent alignés. Sur un moniteur de bureau, vertical, les reflets sont bien moindres. Et si l’on soigne son installation pour éviter qu’une source lumineuse se reflète directement dans l’écran, on peut préférer les dalles brillantes : l’absence de traitement antireflet augmente naturellement le contraste.

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    Faut-il un écran IPS pour afficher des couleurs justes ? Non.

    Si vous cherchez un écran pour faire des travaux sensibles à la couleur, vous avez sans doute lu ce conseil : “prends un écran IPS”. Toutefois, il ne faut pas croire que les autres technologies de dalles soient intrinsèquement incapables d’afficher des couleurs justes. C’est absolument faux ! Mais les dalles IPS furent les premières adaptées aux photographes et graphistes et gardent cet avantage historique.

    Il est également vrai que les moniteurs TN sont moins adaptés, à cause de leurs faibles angles de vision et d’un encodage sur 6 bits seulement. Ainsi, les couleurs ne sont justes que vues parfaitement de face ; pire sur les grandes diagonales, on ne voit pas exactement la même teinte selon qu’on regarde au centre de l’écran ou sur les bords. Si les TN restent à éviter, les autres dalles aux angles de vision ouverts (VA, PLS, PSA, etc.) peuvent être de bons choix.

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    L’éclairage bleu est mauvais pour les yeux

    Assez récemment, on a attribué aux écrans un tort nouveau : ils seraient mauvais pour les yeux à cause de leur lumière bleue. Le raisonnement est le suivant : la lumière émise par les écrans contient une plus grande part de bleu que la lumière naturelle. Comme, on passe de plus en plus de temps les yeux devant un écran, on subit une exposition proportionnellement plus forte à la lumière bleue. Or cette lumière bleue est la plus énergétique. Les cellules rétiniennes sont donc soumises à un surplus de stress, qui pourrait accélérer leur vieillissement. Il n’y a pour le moment aucune preuve solide de cet effet chez l’homme, ni même chez le singe. Mais cela n’a pas empêché les constructeurs de s’emparer de l’argument.

    Faut-il par précaution acheter un écran doté d’un système antilumière bleue ? Non. D’une part parce que le danger n’est pas avéré. D’autre part, parce que faute de test indépendant, l’efficacité de ces systèmes est peut-être totalement nulle. Enfin, parce qu’on peut limiter soi-même la quantité de lumière bleue émise par son écran, simplement en baissant sa température de couleur manuellement (comme illustré ci-contre par Eizo). Plutôt que de rester bloqué sur la température de 6500 K héritée d’un choix de standardisation dans l’industrie télévisuelle, on peut tout à fait opter pour une température plus “chaude”, plus jaune, et donc moins bleue.

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    Un écran tactile est-il forcément brillant ? Non.

    Depuis l’iPhone, la mode est aux écrans tactiles protégés par une dalle de verre : iPhone mais aussi iPad et la quasi-totalité des smartphones et tablettes concurrents utilisent cette conception. Les PC ont résisté longtemps à la mode, mais depuis Windows 8, Microsoft aussi bien qu’Intel ont poussé les constructeurs à employer des écrans tactiles sous verre. Or, qui dit dalle de verre, dit écran brillant. Mais n’y a-t-il pas moyen de créer des écrans tactiles mats ?

    Si bien sûr ! D’une part, on peut recourir à des technologies tactiles différentes : écrans à capteurs infrarouges, écrans résistifs, etc. Même sur les écrans capacitifs, la capacité à détecter le toucher d’un doigt n’est pas liée à la présence d’une dalle en verre. Et même s’ils sont beaucoup moins répandus que leurs homologues brillants, les écrans tactiles mats existent (ci-contre le Lenovo M93z) ! Toutefois, comme nous l’avons dit précédemment, une dalle brillante n’est pas nécessairement un défaut, tout dépend de l’environnement de travail.

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    L’OLED vaut-il le coup ? Oui.

    Depuis des temps immémoriaux… non pas tout à fait. Depuis une vingtaine d’années, une technologie d’affichage promet monts et merveilles : les diodes organiques luminescentes, autrement dit les OLED. Malheureusement, depuis une vingtaine d’années, ces promesses sont restées en l’air, aucun constructeur ne parvenant à résoudre les défis posés par la production à grande échelle des composés OLED. Heureusement, depuis l’année dernière les frères ennemis coréens Samsung et LG ont lancé la commercialisation de leurs premiers téléviseurs OLED. Malgré leurs prix élitistes, ces produits ont permis de vérifier sur pièce si l’OLED tenait bien toutes les promesses qu’il nous a faites depuis si longtemps.

    En un mot : oui. Temps de réponse instantané, angles de vision totaux, contraste infini, uniformité parfaite… les OLED corrigent tous les défauts des écrans LCD et offrent une qualité d’image presque sans défaut. Ne reste plus qu’à patienter jusqu’à ce que les prix rejoignent des niveaux raisonnables. Mais nous ne sommes plus à quelques années près…

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    Le taux de rafraîchissement à 75 Hz c’est mieux ? Non. Et à 144 Hz ?

    Lorsque les écrans étaient encore à tubes cathodiques, une des caractéristiques les plus importantes était la fréquence du balayage. A 50 ou 60 Hz, on voyait flou, il fallait investir dans un écran à 75 Hz au moins pour être sûr de voir une image stable, sans scintillement. Sur les écrans LCD, ce raisonnement est inapplicable puisqu’il n’y a plus de balayage progressif des pixels de haut en bas et de gauche à droite, mais un rafraîchissement simultané de tous les pixels. Cette subtilité technique a cependant échappé à bon nombre de consommateurs qui, gardant leurs vieux réflexes, règlent toujours leurs écrans LCD à 75 Hz plutôt qu’à 60 Hz.

    L’évolution technologique ne manque toutefois pas d’humour puisque la fréquence de rafraîchissement est redevenue ces dernières années, un critère d’achat. Vers 2008, sous l’impulsion de Nvidia qui promouvait sa 3D Vision, les constructeurs ont commencé à sortir des écrans à 120 Hz. Plus récemment, on a vu apparaître des écrans à 144 Hz. Inutiles ? Non, car les dalles capables de tenir des fréquences de rafraîchissement aussi rapides sont aussi celles offrant le temps de latence le plus faible. En attendant les moniteurs OLED, les LCD à 144 Hz sont bien le meilleur choix pour qui recherche la fluidité d’affichage, dans les jeux ou dans les films.

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    Le LED c’est mieux que le LCD ? Non.

    Mettre la technologie compréhensible au plus grand nombre est une tâche ardue, dans laquelle les journalistes que nous sommes ne sont pas toujours aidés par les constructeurs et revendeurs. Ces derniers se plaisent parfois à semer la confusion dans l’esprit du consommateur. Ainsi n’est-il pas rare d’entendre dire que tel ou tel écran est « un LED », intrinsèquement meilleur qu’un « LCD ». Permettez-nous de saisir notre bâton de pèlerin pour rétablir la vérité sur ce point : les écrans LED sont aussi des écrans LCD !

    Les LED en question sont en effet la source lumineuse qui éclaire en transparence la couche de cristaux liquides sur laquelle est formée l’image. Les écrans LED sont donc des LCD à LED, par opposition aux LCD « CCFL », qui utilisent comme rétroéclairage des tubes fluorescents. Les LED ont de nombreux avantages, comme un encombrement réduit et un allumage instantané. Avec le temps, plusieurs générations de LED sont apparues : RGB LED, W-LED, GB-LED, etc. Mais fondamentalement, l’écran reste un LCD.

     

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    L’input lag, c’est grave docteur ?

    L’input lag, ou retard à l’entrée, n’est pas une maladie grave. Elle ne concerne qu’une minorité de joueurs, adeptes des FPS multijoueurs en ligne et très exigeants. L’input lag est le temps supplémentaire mis par les écrans LCD à afficher réellement une image par rapport à un écran CRT. Il est dû aux multiples traitements que les écrans LCD appliquent à l’image et peut atteindre ou dépasser, dans les cas les plus sérieux, 32 ms. Compte tenu d’une fréquence d’affichage de 60 Hz, 32 ms sont l’équivalent de 2 images de retard. Autrement dit, le joueur sur l’écran LCD verra l’action se dérouler avec 2 images de retard par rapport au joueur sur l’écran CRT. Pour la majorité ce n’est pas un souci. Pour une minorité, c’est inadmissible. Ceux-là devront se tourner vers les écrans offrant un input lag minimal, de moins de 16 ms (soit moins d’une image d’écart). Par une heureuse coïncidence, les écrans pour joueurs (faible temps de latence des pixels, rafraîchissement à 144 Hz) sont ceux sur lesquels l’input lag est le plus réduit.

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    Un écran 4K/Ultra HD, c’est forcément mieux

    Impossible de parler d’écrans en 2014 sans aborder l’Ultra HD. C’est le mot clé de l’année, la nouveauté sur laquelle se battent les marques. Mais faut-il vraiment faire de l’Ultra HD un critère de choix ? Sur un écran de bureau de petite diagonale (24 ou 28″), l’Ultra HD n’a pas vraiment  d’intérêt. Utilisé en définition native (3840 x 2160 pixels), un tel écran réduit beaucoup trop les éléments de l’interface graphique. Pour leur redonner une taille confortable, il faut recourir à une mise à l’échelle de l’interface du système d’exploitation ou des applications. Sous Windows cette mise à l’échelle n’est pas très bien gérée (on peut se retrouver avec des boîtes de dialogue pixelisées, des textes trop gros pour leur bouton, ou des menus non mis à l’échelle, selon l’application). Sous Mac OS c’est mieux mais on n’a que le choix d’un agrandissement x2, ce qui ramène l’écran en Full HD. Certes on conserve la finesse d’affichage due aux pixels très petits, mais on perd la surface d’affichage supérieure.

    L’Ultra HD devient visuellement utilisable et intéressante à partir d’une diagonale de 32″. Reste encore le problème de la surcharge que ces pixels plus nombreux font peser sur la carte graphique. Pour jouer en Ultra HD, une configuration bi-GPU est plus que conseillée !

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    source : Tomshardware

     

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  • CES : Les téléviseurs incurvés font leur star

    CES : Les téléviseurs incurvés font leur star

    HIGH-TECH – Les rois du salon au CES de Las Vegas, ce sont eux cette année: les téléviseurs dits «incurvés»…

    Le «curved» star du salon. Au CES de Las Vegas, les téléviseurs «incurvés», dont l’écran affiche une légère courbure, attirent tous les regards. «Ils ne sont plus réservés à quelques modèles exclusifs. Il s’agit désormais d’une tendance lourde et ils représentent une vraie famille produits avec plusieurs marques concernées», constate Frank Ladoire, rédacteur en chef du site spécialisé AVCesar.com. LG, Samsung, mais aussi Haier, TCL… les modèles affluent.

    D’abord pour l’OLED

    LG, qui revendique la paternité de l’écran incurvé, met en avant l’immersion offerte par ces nouveaux téléviseurs au design si flatteur. «L’incurvé se justifie d’abord avec les images exceptionnelles des téléviseurs OLED qui offrent une incroyable sensation de profondeur», explique Patrick Chardin, directeur général de LG France. «Lorsque l’on évoque le concept des TV incurvées, le gens se disent intéressés. Lorsqu’ils voient les appareils, ils les veulent», s’enthousiasme Nicolas Ferry, directeur marketing de la division brun chez Samsung France. Du côté du chinois Haier, on y croit aussi. «De part leur forme, les écrans sont aussi plus solides», précise Christophe Chancesnest, directeur marketing de Haier Europe. Et même son de cloche chez TCL/Thomson: «L’incurvé se plie davantage aux exigences de l’oeil humain, avec une approche plus fine de son angle de vision», explique Arnaud Rabel, responsable des ventes auprès du constructeur.

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    Sur le stand LG, ce prototype d’écran incurvé LED 4K au format 21/9e mesure 267 cm de diagonale. Immersion assurée!

    Sony n’y croit pas

    Seule voix dissonante dans ce concert de louanges, celle de Sony. «On n’y croit pas, l’expérience de la 4K ne nécessite pas d’écran incurvé. Mais il ne faut jamais dire «jamais»», indique Stephane Labrousse, directeur du marketing chez Sony France. Alors, phénomène de mode? «Oui», répond clairement Patrick Chardin de LG, précisant que le téléviseur incurvé affiche un surcoût de 10 à 15% à taille égale pour le consommateur. Et l’engouement risque de ne pas s’arrêter là. Des écrans incurvés de petite taille, avec une simple définition Full HD, seront prochainement lancés. Pour le patron, de LG France, « une TV LED incurvée qui n’a pas au moins une définition 4K n’a aucun sens, ce n’est que du marketing »…

    Prototypes

    Pour mettre en avant la sensation d’immersion de leurs téléviseurs incurvés, LG et Samsung présentent l’un et l’autre des prototypes d’écrans courbes d’une diagonale de 105’’ (267 cm) au format cinéma 21/9e. Non moins spectaculaires sur le CES: des téléviseurs OLED et 4K souples, qui passent du stade d’écran plat à celui d’écran incurvé d’un clic de télécommande.

    source : 20minutes

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  • CES 2013 : Bilan des prochaines tendances

    CES 2013 : Bilan des prochaines tendances

    Quelles sont les grandes tendances à venir en termes de high-tech cette année ? A l’issue du célèbre Consumer Electronics Show (CES) qui vient de s’achever à Las Vegas, voici un petit bilan de ce qui nous attend dans les mois à venir.

    Comme chaque année, le Consumer Electronics Show s’est clôturé sur de très nombreuses annonces en matière d’électronique grand public. 20.000 produits présentés, dont une grand partie d’innovations, 3250 exposants venus du monde entier et 150.000 visiteurs ont foulé les longues allées du Convention Center de Las Vegas.

    – Le vrai lancement des télévisions avec une qualité d’images décuplée. Qu’il s’agisse d’ultra haute définition ou de technologie OLED, les premiers exemplaires seront dans les rayons d’ici la fin du premier semestre, à des prix commençant autour de 4-5000 euros. Cher ? Oui mais rien à voir avec les 20.000 euros de l’an passé.

    Le fabricant Sharp présentait ses nouveaux téléviseurs de très grande taille et extrêmement fins. Il a également présenté à nouveau son prototype 8K (huit fois la définition de la full HD) pour lequel seules quelques caméras hors de prix du groupe de télévision japonais NHK sont capables de fournir des images. Photo : F.Santrot/Metro
    Le fabricant Sharp présentait ses nouveaux téléviseurs de très grande taille et extrêmement fins. Il a également présenté à nouveau son prototype 8K (huit fois la définition de la full HD) pour lequel seules quelques caméras hors de prix du groupe de télévision japonais NHK sont capables de fournir des images. Photo : F.Santrot/Metro

    – Les enceintes sans-fil font la nique à Apple. Les fabricants ont mal digéré le changement de connecteur de la part d’Apple et ont tous fait un virage vers le Bluetooth. Ce dernier a l’avantage de rendre une enceinte compatible avec n’importe quelle marque de smartphone, tablette ou ordinateur. Certains ont même combiné cela avec du NFC qui permet de faire communiquer deux appareils compatibles d’un rapide contact.

    Cette année au CES, les enceintes sans fil étaient définitivement à la fête. Le changement de connecteur par Apple a incité les fabricants à passer au NFC, au Bluetooth et au Wi-Fi (avec la norme AirPlay pour les produits Apple). Voici un bon exemple avec cette enceinte LG dotée d'une puissance de 30W et connectable en Bluetooth, la rendant compatible avec la plupart des appareils mobiles du marché. Photo : F.Santrot/Metro
    Cette année au CES, les enceintes sans fil étaient définitivement à la fête. Le changement de connecteur par Apple a incité les fabricants à passer au NFC, au Bluetooth et au Wi-Fi (avec la norme AirPlay pour les produits Apple). Voici un bon exemple avec cette enceinte LG dotée d’une puissance de 30W et connectable en Bluetooth, la rendant compatible avec la plupart des appareils mobiles du marché. Photo : F.Santrot/Metro

    – Les capteurs en tous genres confirment leur bonne santé.Que ce soit pour mesurer son niveau d’activité au quotidien, pour être alerté si sa plante verte à soif ou pour connaître le degré de pollution des pièces de son foyer, les initiatives se multiplient, toutes reliées au smartphone via une application.

    Lapka est un ensemble de petits capteurs qui permettent de mesurer la qualité de l'environnement, la température, la concentration de particules radioactives, le taux d'humidité, la concentration de nitrates… Les adeptes du monitoring précis de leur environnement vont apprécier ces petits cubes bourrés d'électronique. L'ensemble des données récupérées sont ensuite envoyées vers une application iOS particulièrement design. Le produit, commercialisé aux Etats-Unis, est vendu 170 euros. Il devrait arriver en Europe d'ici la fin du premier trimestre. Photo : F.Santrot/Metro
    Lapka est un ensemble de petits capteurs qui permettent de mesurer la qualité de l’environnement, la température, la concentration de particules radioactives, le taux d’humidité, la concentration de nitrates… Les adeptes du monitoring précis de leur environnement vont apprécier ces petits cubes bourrés d’électronique. L’ensemble des données récupérées sont ensuite envoyées vers une application iOS particulièrement design. Le produit, commercialisé aux Etats-Unis, est vendu 170 euros. Il devrait arriver en Europe d’ici la fin du premier trimestre. Photo : F.Santrot/Metro

    – Les mini caméras sportives se mutliplient comme des petits pains. Dans la lignée du succès de GoPro, les mini caméras de poche et leur équipement étanche et durci ont le vent en poupe. Les marques, plus ou moins connues (Sony, Polaroid…), se positionnent sur ce marché en pleine explosion.

    La marque Polaroid a décidé de largement se diversifier. Cela passe par les tablettes, y compris durcies pour enfants, mais aussi par des mini caméras de poche pour sport extrême, un marché en forte expansion. En voici une fixée sur un casque
    La marque Polaroid a décidé de largement se diversifier. Cela passe par les tablettes, y compris durcies pour enfants, mais aussi par des mini caméras de poche pour sport extrême, un marché en forte expansion. En voici une fixée sur un casque

    – La domination des appareils mobiles ne fait plus aucun doute. Tablettes et smartphones sont les deux grands gagnants d’un marché high-tech en recul général. Le téléphone prend de plus en plus une place centrale dans notre quotidien et devient la télécommande de notre vie.

    Un iPhone 5 ? Un nouveau smartphone Samsung ? Non, un petit mix signé du chinois Huawei. Voici l'Ascend D2, quad core, écran 5 pouces IPS Super Retina (443 ppi), appareil photo de 13 Mpix, 2 GB de RAM, batterie de 3000 mAh (!), résistant à la poussière et aux projections d'eau, Android 4.1, Dolby Surround et aux dimensions de 140x71x9,4 mm. Bref, une petite bombe qui méritera un test s'il est un jour lancé en France. Photo : F.Santrot/Metro
    Un iPhone 5 ? Un nouveau smartphone Samsung ? Non, un petit mix signé du chinois Huawei. Voici l’Ascend D2, quad core, écran 5 pouces IPS Super Retina (443 ppi), appareil photo de 13 Mpix, 2 GB de RAM, batterie de 3000 mAh (!), résistant à la poussière et aux projections d’eau, Android 4.1, Dolby Surround et aux dimensions de 140x71x9,4 mm. Bref, une petite bombe qui méritera un test s’il est un jour lancé en France. Photo : F.Santrot/Metro

    – La 3D qui tombe à plat… Qui aurait pu l’imaginer il y a deux-trois ans, quand l’ensemble des constructeurs s’est lancé dans la technologie en relief. La 3D n’est pas pour autant abandonnée – elle est désormais intégrée dans la plupart des téléviseurs – mais elle n’est certainement plus un argument de vente. À croire que porter des lunettes sombres devant sa TV n’était pas une si bonne idée.

    A part LG qui mettait un peu en avant la 3D sur son stand, la technologie est plutôt passée inaperçue au CES de Las Vegas cette année. Photo : DAVID BECKER / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP

    source : metrofrance.com

  • CES 2013 : la High-Tech de demain

    CES 2013 : la High-Tech de demain

    Le CES (Consumer Electronics Show), le plus grand salon de l’électronique mondial, ouvre ses portes ce lundi 7 janvier à Las Vegas, et nous permet de découvrir les technologies et d’identifier les grandes tendances des années à venir.

    Les téléviseurs: 4K vs OLED

    Deux technologies joueront les vedettes: l’Oled (des diodes électroluminescentes qui ne nécessitent pas de rétroéclairage et permettent d’obtenir des TV ultra fines avec une qualité d’image et de contrastes remarquable) et la 4K (ou ultra-haute définition, avec quatre fois plus de pixels que le 1080p). Déjà montrées l’an dernier, ces avancées ont pris du retard et 2013 ne sera pas encore l’heure du grand public, avec des téléviseurs qui devraient coûter aussi chers qu’une petite voiture. Pour les années suivantes, l’Oled dispose d’un avantage: la beauté de l’image saute aux yeux. Pour le 4K, les contenus sont encore inexistants. Et même en misant sur l’interpolation (une solution logicielle pour «calculer» les pixels supplémentaires depuis un signal HD), la finesse de la résolution a tendance à disparaître quand on se tient loin, assis sur le canapé.

    La «smart TV» se cherche encore

    Personne n’a encore trouvé la recette magique. Malgré de nettes améliorations et des partenaires plus nombreux, Google TV n’a jusqu’ici pas réussi à décoller. L’Apple TV est limitée et l’iTV reste une créature aussi mythologique que le yéti. En attendant, des «petits» acteurs comme Roku et Boxee ont réussi à se créer une place et les solutions les plus conviviales restent encore la Xbox ou la PS3. En face, les apps et les solutions de «magic remote» chez LG ou de contrôle vocal/gestuel chez Samsung partent de loin et devraient s’améliorer cette année sans complètement devenir incontournables. Car ceux qui tiennent les clés de la révolution sont toujours les fournisseurs de contenus et les câblo-opérateurs. Ces derniers privilégient les accords au compte-gouttes par peur de détruire leur juteux modèle, surtout aux Etats-Unis.

    Les appareils photos hybrides à la conquête du marché

    Ces appareils «sans miroir», avec le corps d’un compact mais des objectifs interchangeables, arrivent à maturité et les nouveautés devraient pleuvoir, surtout dans la gamme 500-1.500 euros. Sony a frappé fort fin 2012 avec le RX1, un point&shoot avec un capteur photo «full frame» (plein format) sacré «appareil photo de l’année» par plusieurs sites spécialisés. Le hic: il coûte 2.800 dollars aux Etats-Unis. Des rumeurs persistantes misent sur des annonces d’hybrides full frame à Las Vegas, qui pourraient bien achever les reflex.

    La guerre du contrôle gestuel

    Au CES, il fait bon traîner dans le coin des start-ups. L’an dernier, Tobii Technologies avait bluffé tout le monde avec son contrôle oculaire par infrarouges, notamment de Windows 8. Cette année, l’entreprise suédoise devrait passer du prototype au modèle commercial. Leap Motion sera également dans les allées et va présenter un partenariat avec Asus permettant de contrôler son ordinateur comme Tom Cruise dans Minority Report. L’entreprise devra affronter la concurrence de PrimeSense, derrière l’un des capteurs de Kinect, qui veut mettre de telles puces partout, comme le montre la vidéo concept ci-dessous:


    Le reste

    Samsung devrait présenter un prototype plus avancé d’écran Oled flexible. Sauf surprise, il faudra sans doute attendre 2014 avant de pouvoir laisser échapper son smartphone sans pleurer. Toyota va faire le point sur les voitures autonomes et se frotter à la «Google car». Internet va envahir un peu plus les habitacles. Enfin, les smartphones et tablettes sont en train de devenir un centre névralgique pour tout contrôler, de la voiture jusqu’aux ampoules de la maison.

    source : 20minutes.fr

  • Les écrans de demain au CES (suite)

    Les écrans de demain au CES (suite)

    CES Las Vegas 2012

     

     

     

     

    Le CES de Las Vegas est l’occasion pour les fabricants de dévoiler leurs dernières innovations et de découvrir les tendances de l’électronique High-Tech Grand Public de demain.

    Nouvelle technologie d’affichage, définition d’image ultra élevée ou contrôle par la voix et les mouvements, la télévision nouvelle génération s’expose à Las Vegas.

    OLED, par ici le futur des écrans !

    Lors du CES de Las Vegas, deux téléviseurs OLED nous étaient présentés. Contrairement au LCD, l’OLED émet sa propre lumière. Il n’a donc pas besoin de rétroéclairage ce qui lui permet d’offrir une finesse record de 4 mm.

    L’un était sur le stand de LG (ci-dessus) et l’autre nous était présenté chez Samsung (ci-dessous). Les deux sont compatibles 3D, l’un actif chez Samsung, l’autre passif chez LG.

    Cette technologie est vouée à remplacer les téléviseurs LCD et Plasma car elle reprend les points forts de chacune d’entre elle sans avoir leurs inconvénients.
    Elle affiche une qualité d’image exceptionnelle avec des noirs profonds, des angles de visions très ouverts, tout en gardant une consommation d’énergie équivalente à celle des téléviseurs LED.

    Seul problème : les premiers téléviseurs de ce type seront disponibles à partir de 8000 euros. Il faudra attendre 2014 pour qu’ils soient plus abordables, certains constructeurs estimant qu’à cette date, les TV OLED auront atteint un niveau de prix équivalent au milieu/haut de gamme LCD LED actuel, soit entre 1500 et 3000 euros en fonction des tailles.

    Quad HD, l’après Full HD

    Le CES était également l’occasion pour les constructeurs de nous présenter les téléviseurs affichant une définition Quad HD (3640 x 2160 pixels) soit 4 fois le Full HD (1920 x 1080 pixels). Aujourd’hui, nos téléviseurs affiche 2 millions de pixels, quand le Qiad HD en promet 8 millions.

    Le plus intéressant des modèles exposés, à nos yeux, se trouvait sur le stand de LG. Il mesure 84 pouces, soit 213 cm de diagonale. C’est très impressionnant !

    L’augmentation du nombre de pixels rajoute du réalisme à la vidéo. D’autant plus que ce téléviseur est 3D. Autant dire que l’on s’y croirait. C’est sans conteste à ce jour la plus belle 3D que nous ayons vue sur un produit destiné au salon.

    Ce type de téléviseur est prévu pour cette année, au prix de 8000 euros, comme l’OLED vu plus haut. Un premier lancement sera effectué un peu avant les JO de 2012, mais l’envoi massif devrait se faire après l’été. Peut-être avec une petite baisse de prix qui sait ?

    Ma TV au doigt et à la voix

    L’une des nouveautés du salon est le pilotage des téléviseurs par la voix et le geste. La solution la plus aboutie (sur un produit fini) pour l’instant est celle de Samsung.

    Il est ainsi possible de piloter le téléviseur par la voix : allumage, extinction, contrôle du volume et des chaines, démarrage du Smart TV (l’interface dotée d’applications des TV Samsung)… et bientôt le lancement des différentes applications.

    Après un simple coucou de la main face au téléviseur, le programme de reconnaissance de mouvements se met en route. Un pointeur s’affiche ensuite à l’écran. Il suffit de le déplacer à l’endroit voulu puis de fermer le poing pour valider l’action.

    Il est ainsi possible de changer de chaine, de faire varier le volume sonore ou encore de lancer des applications si on se trouve dans le menu du Smart TV. La gestuelle peut être souple, le système de reconnaissance étant assez performant. Et tout ceci arrive dès cette année sur le très haut de gamme Samsung !

    Chez LG en revanche (photo ci-dessus), l’équivalent (via une télécommande intélligente Magic Remote avec micro et capteur de mouvements) mérite des réglages car les approximations sont nombreuses.

    Source : Tech’ you !

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