Étiquette : DisplayPort

  • 5 raisons d’adopter le vidéoprojecteur Fujifilm FP-Z6000 pour des projections inégalées !

    5 raisons d’adopter le vidéoprojecteur Fujifilm FP-Z6000 pour des projections inégalées !

    Le vidéoprojecteur Fujifilm FP-Z6000 se distingue par ses caractéristiques innovantes qui répondent aux besoins des professionnels exigeants. Voici cinq raisons pour lesquelles ce projecteur mérite votre attention :

    1. Objectif à focale ultra-courte avec lentille rotative

    Le FP-Z6000 est équipé d’un objectif à focale ultra-courte doté d’une lentille rotative unique. Cette conception permet de projeter des images de grande taille à partir d’une distance minimale, offrant une flexibilité d’installation exceptionnelle. La lentille peut pivoter de 0 à 90° et tourner à 360°, permettant une projection dans presque toutes les directions sans déplacer l’appareil.

    2. Flexibilité d’installation inégalée

    L’objectif orientable du FP-Z6000, combiné à un lens-shift puissant (+/-70% en vertical et +/-35% en horizontal), offre une liberté d’installation sans précédent. Que ce soit au plafond, au sol ou sur le côté, ce projecteur s’adapte à diverses configurations, facilitant son intégration dans des espaces restreints ou atypiques.

    3. Qualité d’image exceptionnelle

    Grâce à la technologie de projection laser mono DLP et à une résolution WUXGA (1920×1200 pixels), le FP-Z6000 offre des images nettes et détaillées. La source lumineuse laser assure une reproduction des couleurs précise et une luminosité élevée. Elle est idéale pour les environnements professionnels nécessitant une qualité d’image irréprochable.

    4. Design compact et discret

    Malgré ses performances élevées, le FP-Z6000 présente un design compact qui s’intègre harmonieusement dans divers environnements. Disponible en noir ou en blanc, il peut se fondre discrètement dans le décor. Un avantage particulièrement apprécié dans les musées, les galeries d’art ou les salles de réunion haut de gamme.

    5. Connectivité étendue et compatibilité 4K

    Le FP-Z6000 est doté de multiples options de connectivité, notamment HDMI, DisplayPort, 3G-SDI et HDBaseT, acceptant des signaux jusqu’à la 4K en entrée. Cette polyvalence garantit une intégration aisée avec divers équipements audiovisuels, répondant aux besoins des installations modernes et assurant une diffusion de contenu de haute qualité.

  • Tout savoir sur le DisplayPort

    Tout savoir sur le DisplayPort

    Tout savoir sur le DisplayPort

    Le DisplayPort correspond à un connecteur numérique multibroches capables de transporter les plus hautes résolutions audio et vidéo. Destiné au monde informatique, il se trouve principalement derrière les ordinateurs et les moniteurs. Il ressemble au HDMI, avec lequel il est parfois interchangeable, mais il n’en est pas pour autant identique. Suivez le guide pour tout savoir sur le DisplayPort.

    A l’origine du DisplayPort

    Le HDMI, pour High Definition Multimedia Interface, existe depuis 2002 dans sa version 1.0. Nous en sommes à la version HDMI 2.1. Il a été lancé par six grands fabricants : Hitachi, Panasonic, Philips, Silicon Image, Sony et Toshiba. Il nécessite une licence pour son utilisation dans les produits.

    Le HDMI a remplacé la Péritel et le YUV dans l’audio/vidéo grand public. Il est largement utilisé dans les applications professionnelles également.

    Le DisplayPort a été créé et est développé par l’organisme VESA (Video Electronics Standards Association) qui regroupe des dizaines de fabricants. Ce format a débuté en 2006 dans sa version 1.0. aujourd’hui, le DisplayPort en est à la version 2.1 (depuis 2022).

    Le DisplayPort a remplacé le VGA et le DVI dans les environnements informatiques afin d’offrir une liaison numérique. Il se destine aux sources informatiques et au gaming.

    Le standard DisplayPort

    Entre la version initiale 1.0 et l’actuelle 2.1, le DisplayPort a intégré les dernières technologies et a fait grimper la bande passante. Cela lui permet de passer les plus hautes résolutions avec un taux de rafraichissement record. C’est ce qui le différencie, entre autres choses, du HDMI qui n’est pas capable de grimper aussi haut.

    VersionAnnéeRésolutionsBande passante
    maximale effective
    Classe
    1.020061440p @ 60 Hz5.18/8.64 GbpsRBR/HBR
    1.120071440p @ 60 Hz8.64 GbpsHBR
    1.220094K @ 60 Hz17.28 GbpsHBR2
    1.320144K @ 120 Hz
    8K @ 60 Hz (avec DSC)
    25.92 GbpsHBR3
    1.420164K @ 120 Hz
    8K @ 60 Hz (avec DSC)
    25.92 GbpsHBR3
    1.4a20184K @ 120 Hz
    8K @ 60 Hz (avec DSC)
    25.92 GbpsHBR3
    2.020198K @ 60 Hz77.36 GbpsUHBR
    2.120228K @ 60 Hz
    16K @ 60 Hz (avec DSC)
    77.36 GbpsUHBR10, 13.5, 20

    Une liaison DisplayPort utilise quatre lignes parallèles, la bande passante de 80 Gbps correspond globalement à l’assemblage de quatre liaisons de 20 Gbps. Le tableau liste les bandes passantes maximales effectives car une part est dédiée au transfert d’autres informations.

    Le DisplayPort sécurise les liaisons grâce au DPCP (chiffrement AES128) ainsi que de façon optionnelle avec le HDCP depuis la version DP 1.4. Le HDR10 est supporté mais pas le Dolby Vision ou le HDR10+.

    Côté audio, le multicanal est transporté en parallèle de l’image, et ce jusqu’à 32 canaux si nécessaire.

    Quant au DSC, c’est une technologie de compression sans perte spécifique au DisplayPort permettant d’augmenter la fréquence de rafraichissement.

    Evolution de la norme DisplayPort – ©VESA

    Les types de connecteurs DisplayPort

    Le format DisplayPort repose historiquement sur un connecteur large asymétrique constitué de 20 broches. Il n’est donc pas interchangeable physiquement avec le HDMI. Le connecteur Mini DisplayPort offre les mêmes caractéristiques dans un format plus compacte utilisé par Apple dès 2006 sur ses ordinateurs. Il a aujourd’hui été abandonné.

    Petit à petit le connecteur historique DisplayPort est remplacé dans certains domaines par l’USB-C. Pour cela, il faut que la liaison USB-C soit spécifiquement accompagnée de la fonction « DP Alt Mode ». Ce type de liaison permet de faire passer la vidéo en parallèle des données sur un même câble.

    Car il faut savoir que le DisplayPort est un standard de connexion mais aussi un protocole. Rien n’empêche de faire passer le protocole DisplayPort via un cordon USB-C, tant que la bande passante nécessaire est bien présente.

    ©DisplayPort.org

    Le connecteur DisplayPort standard

    Le connecteur DisplayPort a l’un de ses angles « coupé », tandis que le connecteur HDMI a deux angles coupés. Dans les deux cas, la prise ne peut s’insérer que dans un sens. Un connecteur DP est lié à 20 fils terminés par autant de micro contacts internes.

    Ces 20 liaisons sont divisés en quatre fonctions :

    • 4 lignes de données (broches 1 à 13)
    • 2 canaux auxiliaires (broches 14 à 17)
    • détection de connexion hot plug (broche 18)
    • alimentation 3,3V (borches 19 à 20)

    Un connecteur HDMI comprend 19 broches et propose deux fonctions supplémentaires absentes du DisplayPort : le canal de retour audio (ARC) et la transmission des commandes (CEC).

    Les cordons DisplayPort 2.1

    Comme nous venons de le voir, le DisplayPort peut transiter via deux types de cordons se terminant soit avec le connecteur traditionnel, soit en USB-C. Pour l’instant, seuls les cordons DisplayPort avec le connecteur idoine sont capables de garantir l’intégralité des données et le respect des plus hautes bandes passantes.

    La norme DisplayPort 2.1 offre une bande passante de 80 Gbps au maximum que l’on obtient uniquement avec les cordons DP. Cependant, il existe trois niveaux de bande passante dans la norme 2.1. Lors de l’acquisition des cordons, il faut donc bien vérifier leur capacité maximale à travers l’indication « UHBR ».

    UHBR1040 Gbps
    UHBR13.554 Gbps
    UHBR2080 Gbps

    Les cordons USB-C actuels sont limités à 40 Gbps. Ils correspondent aux dénominations Thunderbolt 4 (macOS) et USB4 1.0 (Windows).

    Les prochaines générations seront capables d’atteindre les 80 Gbps grâce au Thunderbolt 5 et à l’USB4 2.0.

    Les avantages du DisplayPort

    Le standard DisplayPort dédié aux usages informatiques et professionnels présente un certain nombre d’avantages face au plus classique HDMI. C’est pour ces raisons que ces deux liaisons concurrentes n’ont pas fusionné jusqu’ici. Cependant, le HDMI pouvant être remplacé par l’USB-C, et l’USB-C pouvant bientôt passer les 80 Gbps, ce type de cordon pourrait devenir universel à moyen terme.

    Le mode de transmission des données

    La différence essentielle entre HDMI et DP concerne la façon dont les données sont transmises. Les deux méthodes sont incompatibles entre elles de façon directe.

    HDMITMDSLe HDMI utilise la technologie TMDS (Transition Minimized Differential Signaling), ce qui signifie transmission de données en série à haute vitesse. La broche 18 délivre 5V côté source pour initier la liaison lorsque nécessaire.
    DisplayPortLVDSLe DP utilise pour sa part le LVDS (Low Voltage Differential Signaling) ou transmission différentielle basse-tension. La broche 20 délivre 3,3V côté source pour initier la liaison si besoin.

    Les données étant transmises sous forme de paquets en DisplayPort, cela autorise l’utilisation de cordons de plus grandes longueurs sans pertes de données à bande passante équivalente :

    • 15 mètres pour le DP
    • 5 mètres pour le HDMI

    Les taux de rafraichissement

    La connexion DisplayPort est celle qui offre les plus hauts taux de rafraichissement, aidée en cela par la technique de compression DSC. C’est pour cette raison que le DP représente la liaison de choix dans le monde du gaming. Précisons également que compression ou pas, le DP garantit la restitution d’un espace colorimétrique en 4:4:4 dans tous les cas, un autre atout face au HDMI.

    RésolutionSans compressionAvec compression DSC
    16K30 Hz60 Hz
    8K60 Hz120 Hz
    4K144 Hz240 Hz
    1080p240 Hz900 Hz

    Le chaînage d’écrans

    Le standard DisplayPort intègre la possibilité de faire du multi-écrans à partir d’une seule sortie, c’est la fonction Multi-Stream Transport (MST). Deux ou trois écrans peuvent ainsi être branchés en série, ce que ne permet pas le HDMI. Les plus hautes résolutions sont supportées. Voici quelques exemples sans compression, c’est-à-dire sans l’usage de la technologie DSC.

    DisplayPortDisplayPortDisplayPortUSB-C DP Alt Mode
    1 écran2 écrans3 écrans3 écrans
    10K @ 60Hz
    (10240×4320)
    4K @ 144Hz
    (3840×2160)
    4K @ 90Hz
    (3840×2160)
    QHD @ 120Hz
    (2560×1440)

    Le connecteur à verrouillage

    Le connecteur DisplayPort est équipé d’origine d’un système mécanique de verrouillage. On est ainsi certain que le câble ne se détachera pas ou ne pourra pas facilement être arraché. Deux minuscules griffes mobiles viennent sécuriser le connecteur lorsqu’il est inséré. Pour retirer la prise, il faut appuyer sur le dessus de celle-ci, une bascule mécanique va alors libérer les deux griffes.

    Intercompatibilités entre HDMI et DisplayPort

    Bien que très similaires dans leurs possibilités, les formats HDMI et DisplayPort ne sont pas compatibles dans les deux sens. Il existe même un risque de griller les composants. Voici ce qu’il est possible de faire et les solutions d’adaptation. Prenez bien conscience que dans le cas de la cohabitation des deux standards, les résolutions et taux de rafraichissement seront au maximum ceux de la norme HDMI.

    DisplayPort vers HDMI

    Dans ce sens, tout fonctionne très bien avec un câble ou un connecteur équipé d’une prise DP d’un côté et HDMI de l’autre. Ce câble semi-actif utilise les 3,3V en sortie de l’appareil DP et le transforme en 5V et bascule le DisplayPort en mode de compatibilité TMDS. Ce mode a en effet été prévu dans la norme !

    Attention, ce type de cordon fonctionne uniquement dans le sens DP > HDMI.

    Adaptateur e-Boxx ADPMHDMIF DisplayPort vers HDMI
    Une matrice Lightware MX2 équipés d’entrées DisplayPort et HDMI toutes converties en sorties HDMI

    HDMI vers DisplayPort

    C’est ici que tout se complique. Ce type de câble n’existe pas car ces deux formats sont incompatibles dans ce sens : le HDMI n’a pas de mode de compatibilité pour passer de TMDS en LVDS. Une interface de conversion est obligatoirement nécessaire. Elle va transformer le mode de transmission et délivrer 3.3V à partir des 5V en entrée.

    Attention, ce type d’interface fonctionne uniquement dans le sens HDMI > DP.

    Mais la solution la plus simple aujourd’hui est de passer en IP. Avec un encodeur AV-over-IP DisplayPort, le signal converti en un flux vidéo H.265, JPEG2000, etc. devient indépendant de tout format physique. Avec un signal DP converti en IP, il est donc tout à fait possible de récupérer en sortie un signal IP vers HDMI ! Cela dépend évidemment de la qualité du flux attendu, une liaison sur IP ne permettant pas d’atteindre ls 80 Gbps, même en compression avec perte.

    Un extendeur DisplayPort 4K ultra complet et en PoE chez Gefen
    L’encodeur AV-over-IP DisplayPort EXT-DPKA-LANS-TX chez Gefen

    Où utiliser le DisplayPort ?

    En entreprise, le DisplayPort est essentiellement disponible sur les stations de travail. Mais le HDMI destiné à l’origine au grand public se généralise de plus en plus dans les environnements professionnels et concurrence le DP. Il y a toutefois des situations où les deux formats seront présents. Dans les salles de réunion par exemple où il faut pouvoir accueillir les ordinateurs de tous les participants, quel que soit leur connecteur vidéo. En outre, la majorité des moniteurs et des vidéoprojecteurs professionnels sont équipés au moins d’une entrée DisplayPort.

    Le DisplayPort étant associé aux sources informatiques, il va être très courant dans les salles de commande où les opérateurs ont besoin d’accéder aux images provenant de différents ordinateurs. Les murs d’images sont souvent alimentés par des sources en DisplayPort. C’est un connecteur privilégié en sortie des processeurs vidéo et des media server.

    Enfin, le DisplayPort se retrouve sur les ordinateurs dédiés au gaming. C’est le connecteur de sortie vidéo choisi par les fabricants de cartes graphiques haut de gamme. Tout simplement car c’est celui qui délivre le plus grand nombre d’images à la seconde, jusqu’à 240 en 4K.

    Sources :

  • Câbles VGA, DVI, SDI, HDMI, DP, USB-C… On vous explique tout !

    Câbles VGA, DVI, SDI, HDMI, DP, USB-C… On vous explique tout !

    Câbles VGA, DVI, SDI, HDMI, DP, USB-C... On vous explique tout !

    Il existe de nombreuses manières de connecter des sources vidéo à un moniteur ou à un vidéoprojecteur de nos jours. Mais cette multitude de choix peut rapidement devenir un casse-tête étant donné le nombre de ports et de connecteurs devenant obsolètes avec le temps. Et donc au final ? Quelles sont les différences entre toutes ces connexions ? Laquelle doit-on privilégier ? Explications !

    Les câbles VGA

    vga

    Le Video Graphics Array, plus connu sous l’acronyme VGA, est le type de connexion standard le plus ancien que nous connaissons. On pouvait le trouver partout à l’époque de la vidéo analogique. Développé à l’origine par IBM, et commercialisé en 1987 pour la première fois, cette norme a été largement utilisée pour les cartes vidéos, les téléviseurs, les ordinateurs fixe et portables, et les moniteurs.

    La résolution peut aller jusqu’à 640×480 pixels avec 16 couleurs, ou bien 256 couleurs en baissant la résolution à 320×200. Cette résolution est d’ailleurs connue sous le nom de mode 13h et correspond à la résolution utilisée pour le démarrage de votre ordinateur lorsqu’il est en mode sans échec. Il a été utilisé couramment dans les jeux PC de la fin des années 1980 et jusqu’en début 1990. Autant dire que tous les jeux dit d’arcades étaient concernés.

    La particularité du câble VGA est qu’il peut transporter des signaux vidéo répartis sur les cinq canaux RGBHV : Rouge, Vert, Bleu, synchro Horizontale et synchro Verticale. Le connecteur VGA se compose de 15 broches que l’on décompose en trois rangées de cinq broches, et généralement de couleur bleue. De chaque côté de la prise on retrouve deux vis permettant ainsi de fixer solidement le câble à l’appareil concerné.

    Aujourd’hui, il est rarement utilisé et est considéré comme ancien, puisque remplacé par les câbles numériques DVI, DisplayPort et HDMI.

    Les câbles RCA

    3-5mm-jack-to-3-rca-phono-lead-audio-video-av-cable-black-6348391944275987501

    Vous connaissez certainement ces fameux câbles rouge, blanc et jaune ! Il était autrefois le type de connexion le plus populaire pour les dispositifs visuels et audio. Vous savez, ceux que vous retrouviez derrière vos écrans de télévision cathodiques.

    L’appellation RCA fait référence à des connecteurs en métal à l’extrémité des câbles qui trouve son origine dans le nom Radio Corporation of America, l’initiateur de cette connexion. Les câbles rouges et blanc correspondent à l’audio quand le câble jaune correspond quant à lui à la vidéo. Utilisés ensembles, ils permettent donc de transmettre l’audio stéréo et la vidéo jusqu’à 480i ou 576i (le « i » fait référence ici à « Interlaced video », ou vidéo entrelacée).

    Mais comme le VGA, les câbles RCA ont été remplacé petit à petit par les liaisons numériques pour disparaître totalement aujourd’hui.

    Les câbles SDI

    La version professionnelle du câble RCA correspond au câble coaxial terminé par des prises BNC. Il utilise le standard SDI. Ces câbles utilisés depuis très longtemps fonctionnaient à l’origine en analogique. Puis ils sont passé au numérique, toujours sur le même câble. La norme SDI évolue avec des débits équivalents à ceux du HDMI ou du DisplayPort. Pour cela, il faut des appareils compatibles, un câble coaxial de qualité et des terminaisons parfaitement réalisées.

    Le SDI est utilisé principalement dans le milieu broadcast car il est immunisé aux interférences et autres parasites. De plus, il fonctionne sur de très grandes longueurs. Enfin, le connecteur BNC à verrouillage assure une fiabilité totale en évitant tout débranchement intempestif.

    Le SDI est de moins en moins présent, remplacé par les autres types de câbles numériques ci-dessous.

    Les câbles DVI

    dvi-shutterstock

    Près de 10 ans après l’apparition du VGA par IBM, le groupe lance son successeur en 1999 : le DVI. La nouvelle connexion Digital Visual Interface permet de transmettre la vidéo numérique non compressée via l’un des trois modes différents suivant :

    • DVI-I (Intégré), il combine à la fois numérique et analogique dans le même connecteur
    • DVI-D (numérique), il prend en charge les signaux numériques uniquement
    • DIV-A (analogique), il prend en charge l’analogique uniquement

    Les modes DVI-I et DVI-D quant à eux peuvent être de deux types : mono ou dual-link. Le mono peut supporter les résolution jusqu’à 1920 x 1200p à 60Hz, tout en ajoutant un deuxième émetteur numérique. Le Dual-link quant à lui permet d’augmenter la résolution jusqu’à 2560 x 1600p à 60Hz. Développé pour parer à l’obsolescence du VGA, le DVI permet de conserver les connexion analogique via le DVI-A, et peuvent même être rétro-compatibles avec les connexions VGA !

    Et après le DVI, je demande le mini-DVI !

    mini-dvi-vers-hdmi-femelle-convertisseur-cable-15c

    Vous ne voyez pas ? Il s’agissait pourtant de la connexion des ordinateurs Apple jusqu’en 2008. A la place du mini-VGA, ils ont donc développé le mini-DVI pour l’inclure dans les iMac et MacBook. Il ne permet pas de prendre en charge les connexions dual-link et se limite donc à des résolutions de 1920×1200 pixels. Depuis son arrêt en 2008, le mini-DVI a été remplacé par le mini-DisplayPort.

    Les câbles HDMI

    hdmi-shutterstock

    Le câble High Definition Media Input permet le transfert de vidéo propriétaire, mais on ne vous le présente plus étant donné son succès. Créé par un groupe de fabricants de produits électroniques, tels que Sony, Sanyo ou encore Toshiba, il permet de transférer la vidéo et l’audio non-compressé pour les ordinateurs, les téléviseurs, les lecteurs DVD/Blu-Ray, etc.

    La norme HDMI évolue régulièrement et nous en sommes à la version 2.1. Cette dernière permet la prise en charge de la 8K non compressée à 48 Gbps, ainsi que l’audio en haute résolution en 24 bit à 192kHz. Les versions inférieures encore largement utilisées sont compatibles avec la 4K et l’UHD. L’HDMI utilise par ailleurs les même formats vidéo standard que le DVI et permet donc la compatibilité avec ce dernier. Et puisque aucune conversion de signal n’est nécessaire, il n’y a pas non plus de perte de qualité !

    Saviez qu’il existe trois connecteurs HDMI ?

    • Le HDMI classique (type A) est utilisé sur la plupart des produits audiovisuels, sources comme afficheurs,
    • le Mini-HDMI (type C), correspond à la connexion utilisé sur les ordinateurs portables et les tablettes,
    • le Micro-HDMI (type D) quant à lui est utilisé principalement sur les appareils mobiles ou les caméras.

    Les câbles DisplayPort

    displayport-shutterstock

    Il s’agit d’une interface d’affichage numérique développé par la VESA (Video Electronics Standards Association). Elle sait transporter la vidéo et l’audio numérique, ce qui le rend similaire au HDMI. Toutefois, le DisplayPort est réservé au monde informatique et aux appareils professionnels. Il n’est jamais utilisé sur les téléviseurs et autres appareils grand public.

    Le DisplayPort 1.4 permet de transporter les signaux jusqu’à la 8K (7680 x 4320p) à 60Hz. Il est notamment possible de connecter ensemble des périphériques DisplayPort et HDMI via un adaptateur Dual-Mode.

    Et son petit frère ? Le Mini DisplayPort ?

    Comme nous l’avons vu avant avec le mini-VGA, c’est Apple qui a créé ce format de connexion et qui a donc été remplacé par le mini-DVI. Mais même si c’est à Apple que l’on doit cette innovation, c’est la VESA qui l’a introduit sur le marché en 2009. Il a par la suite été largement utilisé dans le monde Windows, essentiellement sur les ordinateurs portables.

    Lire aussi : HDMI vs. DisplayPort : quelles différences, quels usages ?

    Les câbles Thunderbolt 2

    apple-11q3-thunderboltcable-angle-lg

    Thunderbolt est une interface utilisée pour connecter des périphériques à un ordinateur. Il a été initialement développé par Intel sous le nom de Light Peak avec des câbles optiques utilisés pour le transfert de données, d’où son nom. Après des tests approfondis, Intel a constaté qu’ils pouvaient faire moins cher avec des câbles en cuivre sans affecter les performances. Cette fois-ci Apple n’a rien à voir avec la création de la connexion, mais il est le premier à avoir introduit le Thunderbolt via ses ordinateurs portables MacBook en 2011.

    Et le plus important dans tout ça, c’est que la connexion Thunderbolt est rétro-compatible avec le Mini DisplayPort car elle utilise le même connecteur. La différence se situe au niveau du petit logo : les câbles Thunderbolt ont forcément un petit éclair qui les caractérise. Ce type de connexion permet une vitesse élevée de transfert de données au taux de 20Gb/s.

    Avec l’utilisation d’un port Thunderbolt, il est possible de connecter jusqu’à six périphériques grâce à un branchement en cascade, ce qui réduit la quantité de ports nécessaires sur un périphérique.

    Les cables USB-C

    L’USB-C est un connecteur informatique qui remplace l’USB-A. Il est plus compact et n’a pas de sens, contrairement à l’USB classique. L’USB-C permet donc le transfert de données entre un équipement et un ordinateur. Il est également capable d’intégrer le standard DisplayPort. A ce titre, un câble USB-C peut être un câble uniquement vidéo. Attention, la longueur est limitée à moins de deux mètres et la qualité de fabrication doit être au rendez-vous.

    USB-C et Thunderbolt 3

    Chez Apple, l’USB-C s’appelle Thunderbolt 3 et maintenant Thunderbolt 4, avec l’usage d’un connecteur identique. Le Thunderbolt 3/4 permet d’augmenter le débit jusqu’à 40Gb/s.

    Il existe différents types de câbles USB-C/Thunderbolt 3/4 qui n’ont pas tous la même fonction ni les mêmes capacités :

    • données uniquement,
    • vidéo uniquement (standard DisplayPort),
    • données & vidéo,
    • recharge d’appareil uniquement, car le câble USB-C peut aussi être un câble d’alimentation.

    Lire aussi : Les avantages et les contraintes de l’USB-C

    Les câbles Ethernet

    Il ne vous aura pas échappé que la totalité des câbles listés précédemment peuvent être remplacés par un seul et unique modèle : le câble Ethernet. Grâce à la transmission audio/vidéo sur paires torsadées ou sur IP, le câble réseau basique offre exactement les mêmes capacités, le côté pratique en plus.

    Tous les câbles vidéo ont une longueur limitée, très limitée pour les plus performants, de l’ordre de deux mètres maximum. Tandis que le câble réseau autorise des liaisons jusqu’à 100 mètres sans aucun problème. La connectique est simple, les câbles peuvent être terminés sur place avec des outils que possèdent tous les électriciens.

    Le câble réseau pour la vidéo est utilisé de deux façons possibles :

    • point à point – utilise les paires torsadées, comme le HDBaseT par exemple
    • multipoints – utilise la technologie IP des réseaux informatiques, comme le NDI ou le SDVoE par exemple

    1 Gb ou 10 Gb ?

    Afin de faire passer le débit nécessaire sur les câbles réseau en mode IP, il faut tabler sur un réseau 1 Gigabit Ethernet. Cela permet de faire passer la Full HD ou la 4K compressée. Pour de la Full HD non compressée, un réseau 2×10 Gb sera nécessaire ou bien il faudra passer sur de la fibre optique. Mais c’est une autre histoire !

    Lire aussi : Le HDBaseT c’est quoi ? Ou comment transmettre le HDMI sur un câble réseau

  • [Dossier]Les connecteurs vidéos numériques : DVI, HDMI, DisplayPort, USB-C

    [Dossier]Les connecteurs vidéos numériques : DVI, HDMI, DisplayPort, USB-C

    [Dossier]Les connecteurs vidéos numériques : DVI, HDMI, DisplayPort, USB-C

    Les connecteurs vidéo numériques ont beaucoup évolué au fil des années. Combinés aux cordons auxquels ils sont rattachés, ils offrent toujours plus de bande passante pour s’adapter aux dernières hautes résolutions : 4K, 5K, 8K. Ils se réduisent également en taille, pour le plus grand bonheur des intégrateurs, comme l’USB-C par exemple.

    DVI : le premier connecteur vidéo numérique

    Le DVI est arrivé sur le marché en 1999. Son but était de supplanter le VGA analogique. Pour gérer la transition, trois modèles ont été créés.

    Normes DVI

    • DVI-A – connecteur dit numérique mais transmission analogique équivalente au VGA
    • DVI-D – connecteur numérique, disponible en simple ou double débit (single-link = 3,7 Gbps, dual-link = 7,4 Gbps)
    • DVI-I – un mix des DVI-A et DVI-D, compatible avec les signaux analogiques et numériques
    ©Wikipedia – les différents types de connecteurs DVI

    Le connecteur DVI est assez gros et lourd, pas forcément facile à installer. Sa longueur maximale conseillée est de 5 mètres. Il est utilisé essentiellement dans le domaine informatique, mais on peut le retrouver dans d’autres environnements. 

    Il tend à disparaître, mais les fabricants le conserve sur les processeurs vidéo et autres scalers ainsi que sur beaucoup de moniteurs vidéos et vidéoprojecteurs.

    Le DVI-D est parfaitement compatible avec le HDMI via de simples adaptateurs. Il ne transporte pas le son. La résolution maximale est le WQUXGA, soit 3840×2400 pixels.

    HDMI : le connecteur vidéo grand public

    Le HDMI est arrivé en 2003 sur les premiers appareils grand public comme les lecteurs DVD (puis les lecteurs Blu-ray) et les écrans plats LCD et plasma. Il a remplacé la connexion analogique composantes YUV.

    Le connecteur n’a pas changé depuis 2003, mais la norme a évolué, ainsi que les capacités des cordons utilisés.

    Normes HDMI principales

    • HDMI 1.0 – le tout premier, équivalent au DVI pour la partie vidéo, avec un flux audio 7.1 en plus, débit = 4,9 Gbps
    • HDMI 2.0a – utilisé actuellement pour l’UHD/4K, le HDR et l’audio immersif (Dolby Atmos, DTS:X), débit = 18 Gbps
    ©Wikipedia – connecteur HDMI

    Le HDMI possède un connecteur plus petit que le DVI, avec moins de broches (19 contre 29). La résolution maximale de la norme 2.0a est la 4K : 4096×2160 pixels à 60 Hz.

    Il est un tout petit peu moins sensible que le DVI sur les grandes longueurs de câbles. La 4K passe sur des cordons HDMI de 7-8 mètres de longueur. Au-delà, on prend le risque de perdre le signal selon la qualité du cordon utilisé.

    Grand public à l’origine, il est aussi largement utilisé dans les environnements professionnels en parallèle du DVI au départ, en parallèle du DisplayPort désormais.

    DisplayPort : l’évolution haute définition du DVI

    Le DisplayPort est entré en production en 2008. Essentiellement tourné vers l’informatique, il vise à remplacer le DVI. Il est constitué de 20 broches.

    Normes DisplayPort principales

    • DisplayPort 1.0 – débit = 10,8 Gbps, canal auxiliaire de 1 Mbps
    • DisplayPort 1.2 – utilisé actuellement, débit = 21,6 Gbps, le canal auxiliaire passe à 720 Mbps 
    ©Wikipedia – DisplayPort à gauche, Mini DisplayPort (ou Thunderbolt 2) à droite

    Le DisplayPort est compatible avec le DVI et le HDMI via des adaptateurs passifs. Son connecteur possède une taille équivalente à celui du HDMI.

    Tout comme le DVI, le DisplayPort ne transmet pas le son, ce qui laisse plus de place à l’image. En revanche, on trouve un canal auxiliaire bidirectionnel pouvant transmettre les données d’écran tactile, de l’USB ou de l’Ethernet.

    Il est de plus en plus intégré ces dernières années dans les équipements vidéo professionnels. Seul Apple l’utilise dans le grand public, sous le format mini DisplayPort renommé en Thunderbolt 2.

    Attention, le Thunderbolt 2 propriétaire sait passer autre chose que la vidéo : des données pour le stockage, de l’audio pour les applications studio, etc.

    USB-C : le remplaçant du DisplayPort

    Le connecteur USB-C est très récent, il a été validé en 2014. Il est capable de transporter la vidéo et l’audio, mais aussi de remplacer toute les applications USB classiques.

    Norme USB-C actuelle

    • USB-C – nouveau connecteur de la norme DisplayPort 1.3, débit = 32,4 Gbps, compatible 4K à 120 Hz, 5K (5120 × 2880) et 8K (7680 × 4320) à 60 Hz
    ©Wikipedia – connecteur USB-C (ou Thunderbolt 3 chez Apple)

    Le connecteur USB-C est tout petit, plus petit qu’un connecteur USB classique. Il contient pourtant 24 broches. Il sait tout transmettre : audio multicanaux comme le HDMI, USB classique, stockage, recharge… L’USB-C est compatible HDMI 2.0a via un adaptateur. 

    Il est plus facile à installer que le DVI, le HDMI et le DisplayPort, mais sa longueur est limitée. Chez Apple, l’USB-C se nomme Thunderbolt 3 avec des fonctionnalités propriétaires supplémentaires.

    Attention, les cordons USB-C ne sont pas tous équivalents. Essentiellement en fonction du diamètre du cordon, ils vont être capables de passer plus ou moins de puissance. Cela est important selon si l’on cherche à recharger un smartphone ou un ordinateur portable.

    L’USB-C va-t-il devenir le connecteur universel ?

    Les ordinateurs portables d’Apple n’ont plus que des prises USB-C. De plus en plus de smartphones sont passés en USB-C, tout comme le dernier iPad Pro. Les spécialistes des interfaces de table pour les salles de réunion commencent à mettre de l’USB-C. Dans le domaine de l’audio pro, les interfaces physiques avec les logiciels d’acquisition, de mixage et de montage passent toutes en USB-C. Les appareils photos haut de gamme ont des prises USB-C. De plus en plus de moniteurs informatiques délaissent le DisplayPort au bénéfice de l’USB-C. Neutrik vient même d’ajouter un connecteur sécurisé USB-C à son catalogue.

    Avec Lightware, ajoutez de multiples entrées vidéo aux systèmes de visio et de téléprésence Cisco Webex
    Le boîtier de table Lightware UMX-HDMI-140 propose du VGA, du HDMI, du DisplayPort et de l’USB-C/Tunderbolt 3

    L’USB-C pourrait potentiellement remplacer tous les connecteurs vidéo, audio et informatique existants, à l’exception des câbles réseau. Il va supplanter le DisplayPort qui était lui-même une évolution du DVI. 

    Le HDMI fait de la résistance. Sa prochaine version 2.1, qui devrait être disponible sur le marché en 2019, aura des capacités légèrement supérieures au USB-C avec 48 Gbps de débit contre 32,4 Gbps.

    Au final, il ne va subsister en concurrence que l’USB-C et le HDMI. Si ces deux organisations pouvaient s’entendre, il ne pourrait rester plus qu’un seul connecteur pour nous simplifier la vie. L’USB-C a trois avantages indéniables sur le HDMI : la petite taille de son connecteur, il est moins fragile que le HDMI, et il n’a pas de sens d’insertion. Ce dernier point devrait à lui seul favoriser l’adhésion de tout le monde !

    Tableau comparatif des connecteurs vidéo numériques

    tableau comparatif dvi hdmi displayport usb-c
    ©EAVS – novembre 2018


  • Des écrans impressionnants par leurs performances !

    Des écrans impressionnants par leurs performances !

    AG NEOVO innove avec des écrans à la taille impressionnante et ultra performante !

    AG Neovo

     

    La série QD fait son entrée dans la gamme des écrans AG NEOVO avec l’introduction du QD-series 4K UHD. Doté d’un taux de rafraîchissement allant jusqu’à 120Hz, il offre une expérience visuelle incomparable, capable de fonctionner 24/7 en mode portrait ou paysage, il est un atout de taille pour les application d’affichage dynamique et/ou de conférences.

    Polyvalente, la série QD peut être facilement installée pour produire des images de qualité partout et quelle qu’elle soit. Compétent à la fois comme affichage autonome et pour mosaïques vidéo allant jusqu’à  une configuration en 10 x 15, il est livré avec une interface DisplayPort 1.2 pour sécuriser une bande passante supérieure et y transférer du contenu afin de rendre les images 4K à 60Hz par un seul câble. En outre, la capacité Picture-by-Picture et quatre entrées permettent à la série QD de présenter plusieurs écrans dans un seul écran, ce qui en fait une option judicieuse pour les centres de contrôle, les salles de réunion et autres paramètres publics en général.

    En plus d’une vaste gamme d’options de connectivité (DisplayPort, HDMI, VGA, DVI, CVBS et Component), la série QD est construite avec la technologie Anti-Burn-in ™ pour protéger contre les fantômes et disposer d’un capteur EcoSmart pour les bas- consommation de puissance watt, les deux essentiels pour qu’il reste en service sans arrêt. En plus de la télécommande via la boucle IR, le contenu multimédia est beaucoup plus facile grâce à leur slot OPS et leur port USB.

  • Le 4K n’aura jamais été aussi simple à étendre !

    Le 4K n’aura jamais été aussi simple à étendre !

    Muxlab, c’est avant tout des interfaces à valeur ajoutée, innovantes et toujours à la pointe de la technologie, afin de s’adapter aux nouveautés qui émergent chaque jour !

     

    Extendeur Muxlab 500760

     

    Et aujourd’hui, c’est le kit d’extendeur 500760 que nous vous présentons. Une extension sur IP non compressée et qui supporte les résolutions jusqu’à la 4K, permettant aux appareils avec une source HDMI et DisplayPort d’être étendues pour créer un mur d’image d’une qualité optimale ! Et avec une matrice et un splitter adaptés, les extendeurs peuvent transmettre un signal sans perte jusqu’à 100 écrans, en fonction bien évidemment de la disponibilité de la bande passante. Et ils peuvent être ainsi connectés via un câble CAT5e-6 jusqu’à 100 mètres !

    L’émetteur et le récepteur disposent chacun d’une alimentation, d’un émetteur infrarouge et d’un capteur infrarouge pour les applications de télécommande à base d’infrarouge, d’un kit de fixation mural pour fixer l’unité à un mur et d’un connecteur à bornes à 4 broches pour la connectivité RS232.

    Et pour rendre votre installation encore plus optimale, il est possible de rajouter le contrôleur de réseau numérique MuxLab Pro (500811) pour simplifier la configuration et le contrôle centralisés, les mises à jour logicielles et la gestion des smartphones et des tablettes tiers.

    Schéma Extendeur Muxlab 500760

     

    Restez connectés, il arrive bientôt sur notre site internet ! 

  • Une performance dans l’affichage numérique !

    Une performance dans l’affichage numérique !

    La série PS d’AG Neovo, ce sont des écrans avec une haute luminosité à rétroéclairage LED doté d’un emplacement OPS, parfaitement adaptés aux applications de signalisation numériques professionnelles !

     

    ps55

    Dans la série PS, je demande le 55 » …

    Conçu autour d’une dalle à rétroéclairage LED à haute capacité lumineuse de 700 nits, le PS-55 offre un rendu saisissant de réalisme des couleurs et des détails sans être affecté par la lumière ambiante. Parfaitement adapté à une multitude d’environnements, cet écran peut s’utiliser en mode portrait ou paysage. De plus, grâce à sa fente OPS et à ses fonctions de contrôle à distance RJ-45/RS-232, le PS-55 est le choix par excellence pour une intégration multimédia et une maintenance aisées. Enfin, la technologie Anti-Burn-In™ et le capteur HeatControl garantissent des performances optimales 24/7 dans les environnements de signalisation numérique professionnels.

     

    … et son petit frère, tout aussi performant !

    L’écran de 46 » n’a rien à envier au 55 », dotés des mêmes technologies, il affiche une résolution de 1920 x 1080p. Un cadre fin de 15,8 mm, une fonction mosaïque, un programmateur intégré, excepté leurs tailles, ils sont identiques !

    Vous pourrez ainsi trouver la dimension la plus adaptées pour vos affichages numériques !

     

    Leurs caractéristiques :

    • Technologie de rétroéclairage LED à résolution FHD de 1920 x 1080
    • Haute luminosité de 700 nits
    • Dalle de qualité premium pour une fiabilité extrême et une durée de vie optimale
    • Technologie Anti-Burn-in™
    • Technologie AIP : Filtre-peigne 3D / Désentrelacement / réduction du bruit / PIP et PBP
    • Le capteur EcoSmart détecte la lumière ambiante et règle automatiquement la luminosité du rétroéclairage pour diminuer la consommation électrique
    • Connectivité polyvalente : VGA, DVI, HDMI, CVBS, YPbPr, DisplayPort
    • Connexion en guirlande possible : VGA, DVI, RS-232
    • RS-232 et RJ45 pour un contrôle à distance programmable
    • Cadre de 15,8mm et fonction d’affichage en mosaïque pour un montage mural aisé (prend en charge une configuration jusqu’à 5 x 5)
    • Planificateur intégré pour une multitude de programmations possibles
    • Capteur de contrôle de la chaleur HeatControl pour activer automatiquement le ventilateur de refroidissement interne afin d’abaisser la température
    • Fente OPS pour l’intégration fluide d’un lecteur multimédia
    • Haut-parleurs intégrés
    • Commutation rapide entre les haut-parleurs internes et externes
    • Orientation de l’affichage flexible : portrait et paysage
    • Sélection rigoureuse des composants pour les applications vitales 24/7

     

    Source : AG Neovo

  • Une gamme d’interfaces plus complète que jamais.

    Une gamme d’interfaces plus complète que jamais.

    E-Boxx étoffe sa gamme d’interface afin réaliser toutes vos installations !

     

    e-boxx

    L’univers E-Boxx, c’est une large gamme d’appareils, de supports, de cordons et câbles afin de vous permettre de réaliser une installation dans sa globalité. Avec des produits à la fois performants et ultra compétitifs.

    Mais E-Boxx a notamment fait évoluer sa gamme d’interfaces afin de correspondre toujours plus aux innovations en termes d’affichage audiovisuel.

     

    Une gamme plus que complète !

    Que ce soient des convertisseurs, des scalers, des distributeurs, des switchers, des extendeurs, des adaptateurs, ou encore des matrices, vous trouverez forcément l’interface qui vous convient et ce, pour tous les types de formats et de connectiques !

    Pour le broadcast, le corporate, le résidentiel, la vidéosurveillance, et même l’éducation, les nouvelles interfaces peuvent notamment s’adapter à tout type d’applications.

     

    Une expertise.

    Spécialisé dans la production d’interfaces HDMI et HDBaseT, E-Boxx investit toujours plus dans l’innovation de ses produits depuis plus de 10 ans.

     

    07

     

    Découvrez l’intégralité de la gamme E-Boxx sur notre site internet ! 

  • Kindermann étoffe sa gamme d’interfaces !

    Le fabricant allemand propose désormais 3 nouvelles interfaces.

    unnamed-2

    Le MultiShare 31

    Il dispose de 3 entrées HDMI, displayport et VGA, ainsi qu’une sortie HDBaseT pour les transmission de signal via Cat6/7 sur paire torsadées. Cette nouvelle interface a été conçue pour être utilisée comme point de connexion entre différents équipements audio-vidéo pour les environnements professionnels, les salles de classes et autres environnements similaires.

    Il prend notamment en charge des signaux vidéo mobiles et les transmet jusqu’à une distance de 70m, et il est possible de configurer les signaux d’entrée pour qu’ils s’effectuent automatiquement ou manuellement.

    unnamed-3

     

    Le MultiShare 41 automatic

    Le switcher doté de plusieurs options de contrôle dispose de 4 entrées vidéo : 2 HDMI, 1 Displayport et 1 VGA, ainsi qu’une entrée audio jack 3,5 mm. La sortie HDMI permet par ailleurs le de-embedding du signal audio via la prise jack 3,5.

    L’interface peut notamment être utilisée comme un multi-format, avec une connexion point un unique et de l’audio embedded pour répondre à toutes vos attentes.

    unnamed-4

    unnamed-6

     

    Le HDMI Share 41 automatic 2.0

    Il s’agit ici d’un switcher 4K UHD et audio embedded ultra compact automatique et avec option de contrôle RS232. Il dispose de 4 entrées et sorties HDMI, d’une sortie jack 3,5 mm. Tout comme les autres interfaces, le HDMI Share automatic 2.0 est conçu pour les environnements professionnels et éducation, mais aussi pour l’affichage numérique ou encore les applications de home cinéma.

    unnamed-5unnamed-8

  • Philips présente un écran 5k « abordable »

    Philips présente un écran 5k « abordable »

    D’ici quelques mois, Apple sera sans doute le seul constructeur à ne pas proposer de moniteur externe muni d’une dalle de 4 ou 5k à son catalogue !

    Durant l’IFA, Philips a en effet présenté son écran utra-haute définition, affichant 5120×2880 pixels sur 27″, soit la même résolution que l’iMac Retina. Seul hic, il faudra le brancher sur 2 ports DisplayPort, le moniteur ne prenant pas en charge le Thunderbolt 3 (seule connectique à même d’encaisser le débit nécessaire pour de la 5k à 60Hz). Certains attendent d’ailleurs avec impatience le modèle de Cupertino, capable de faire transiter tous les signaux (USB, Ethernet, Thunderbolt, audio…) avec un seul et même câble.

    Côté spécifications, on retrouve un temps de réponse de 8ms, une luminosité de 300cd/m², un contraste de 1000:1 et des angles de vision de 178° en H/V. Côté consommation, comptez entre 40 et 70 Watts.

    Le tarif est fixé à 1600€, un prix plutôt abordable par rapport à la concurrence et qui nous fait aussi relativiser le facture de l’iMac Retina.

    source : mac4ever
    logo philips

    Retrouvez la gamme PHILIPS sur  www.eavs-groupe.fr