Les hôtels proches des aéroports sont souvent équipés de salles de réunion et de salles de meeting. Cela permet à des collaborateurs provenant de différents pays de se retrouver facilement pour travailler. Les temps de chacun sont souvent limités, la technique ne doit surtout pas être un frein. Le Vivitek LauncherPlus répond parfaitement à cette problématique.
Six salles de réunion utilisées tout au long de l’année
L’hôtel Hyatt tout proche de l’aéroport Schipol d’Amsterdam a ouvert il y a 5 ans. Il reçoit plus de 120.000 personnes chaque années, dans ses 330 chambres et six salles de réunion. Paul Dirksen, directeur commercial de l’hôtel, s’était rendu compte que l’équipement des salles de réunion posait problème aux utilisateurs. Chaque salle contient un vidéoprojecteur, un écran et un système audio. A chaque fois, les utilisateurs devaient trouver les prises et les bons cordons pour relier leurs ordinateurs.
« C’était frustrant de devoir attendre 10 à 15 minutes d’organiser des réunions car cela affectait la productivité. Bien sûr, nous pourrions installer le projecteur et le appareils 10 à 15 minutes plus tôt que la réunion. »
Les temps de réunion impliquant plusieurs personnes venant de différents pays est compté. Chaque personne doit repartir à des horaires différents. 10 à 15 minutes perdues n’était pas un bon signal envoyé aux clients professionnels de l’hôtel.
LauncherPlus : connexion rapide pour le partage d’écran
Puis Paul Dirksen a découvert la solution LauncherPlus de Vivitek. Ce petit boîtier se relie en USB, ou en USB-C selon le modèle, aux ordinateurs des participants. Il peut y avoir quatre LauncherPlus reliés simultanément. Chacun des quatre utilisateurs peut afficher le bureau de son ordinateur en plein écran. Il est aussi possible de diviser l’écran en quatre pour afficher les quatre ordinateurs simultanément. Des boutons numérotés de 1 à 4 sur le boîtier permettent de sélectionner sa position d’affichage.
Au final, les utilisateurs ont juste besoin de relier le boîtier à leur ordinateur. Il n’y a aucune connexion vidéo (VGA, HDMI, DisplayPort, USB-C), ni aucune connexion réseau au WiFi de l’hôtel. Les boîtiers LauncherPlus se connectent directement au récepteur Vivitek NovoPro, lui-même relié en entrée du vidéoprojecteur
Cette solution a permis d’accroître la qualité de service de l’hôtel, si bien que d’autres hôtels du groupe Hyatt vont prendre exemple et mettre en place eux aussi des LauncherPlus.
« Nous aimons gâter nos clients et, à cette fin, ils s’attendent à ce que le service et la technologie fonctionnent. Lorsqu’ils réservent une salle de réunion, ils s’attendent à juste titre à ce que tout fonctionne sans effort. Notre objectif est de créer une expérience événementielle transparente et LauncherPlus nous aide à tenir cette promesse envers nos clients. »
LG propose un grand nombre de types d’écrans pour l’affichage dynamique : LCD, OLED, plats ou courbes. Par sa spécificité différenciante, l’écran courbe attire le regard. Mais on peut aller beaucoup plus loin ! Avec des courbes personnalisables et un nombre d’écrans sans limite, vous pouvez imaginer toutes les formes d’affichage les plus originales et les plus captivantes. L’écran OLED 55EF5E flexible a été créé pour cela.
Le LG OLED 55EF5E se courbe littéralement comme une feuille de papier. Il est livré à plat, à vous de le courber selon votre projet. Pour cela, une machine spécifique disponible auprès de LG est nécessaire : c’est le Curvature Calibrator.
Comment donner une forme à un écran flexible ?
Cette machine permet de créer la courbure voulue en réglant son plateau en conséquence le plus précisément possible. La valeur à régler sur la machine s’obtient via une feuille de calcul Excel. Lorsque la machine affiche la courbure voulue, la dalle OLED55EF5E peut être posée dessus. Des pinces permettent à la dalle d’épouser la forme.
Ensuite, deux supports flexibles se fixent à l’arrière de la dalle. Ils viennent s’accrocher grâce à une quinzaine de vis. Une fois toutes ces vis serrées, la dalle OLED conserve la courbure voulue. Les pinces peuvent être retirées.
La dalle mesure seulement 12,4 millimètres d’épaisseur. L’électronique de gestion et les entrées/sorties ne peuvent y trouver leur place. Un boîtier séparé vient se fixer à l’arrière, au centre de la dalle. Il est connecté à cette dernière via quatre nappes ultra fines. L’écran est alors prêt à être installé à sa place définitive.
Le Curvature Calibrator courbe l’écran dans les deux directions, convexe ou concave, en mode portrait ou en mode paysage. Tout est possible ! Une fois le mur d’images construit, l’écart entre chaque image ne dépasse pas les 15mm.
Contrôle via le réseau grâce à LG SuperSign
Les contenus à afficher seront stockés dans une machine contrôleur équipée du logiciel LG SuperSign. Chaque écran 55EF5E dispose de la puissance nécessaire pour communiquer avec SuperSign à travers le réseau. Afin de faciliter la création de grands murs d’images, le 55EF5E intègre deux ports Ethernet, le second servant à chaîner chaque écran avec le suivant.
Côté connectique, cet écran LG est particulièrement bien loti avec une entrée HDMI, une entrées/sortie DisplayPort, deux ports USB, une entrée/sortie RS232, une entrée/sortie audio.
Le 55EF5E repose sur une dalle OLED, la spécialité de LG. Ce type de dalle offre un contraste infini, des noirs profonds, des couleurs éclatantes, un large angle de vision. Tout ce qu’il faut pour afficher des vidéos destinées à capter l’attention des visiteurs.
Un écran flexible pour quels usages ?
En résumé, LG propose le seul écran OLED que vous pouvez courber vous-même. Le 55EF5E se destine aux applications d’affichage dynamique ou pour l’événementiel où les écrans s’intègrent dans l’environnement. Suivre la courbure des murs, créer des espaces virtuels, délimiter l’espace avec style… tout devient envisageable. En dehors de pouvoir créer des formats d’affichage inédits, cette technologie innovante a pour avantage indéniable d’attirer l’œil des visiteurs directement sur l’objet écran courbe et donc sur le contenu qu’il affiche.
Les connecteurs vidéo numériques ont beaucoup évolué au fil des années. Combinés aux cordons auxquels ils sont rattachés, ils offrent toujours plus de bande passante pour s’adapter aux dernières hautes résolutions : 4K, 5K, 8K. Ils se réduisent également en taille, pour le plus grand bonheur des intégrateurs, comme l’USB-C par exemple.
DVI : le premier connecteur vidéo numérique
Le DVI est arrivé sur le marché en 1999. Son but était de supplanter le VGA analogique. Pour gérer la transition, trois modèles ont été créés.
Normes DVI
DVI-A – connecteur dit numérique mais transmission analogique équivalente au VGA
DVI-D – connecteur numérique, disponible en simple ou double débit (single-link = 3,7 Gbps, dual-link = 7,4 Gbps)
DVI-I – un mix des DVI-A et DVI-D, compatible avec les signaux analogiques et numériques
Le connecteur DVI est assez gros et lourd, pas forcément facile à installer. Sa longueur maximale conseillée est de 5 mètres. Il est utilisé essentiellement dans le domaine informatique, mais on peut le retrouver dans d’autres environnements.
Il tend à disparaître, mais les fabricants le conserve sur les processeurs vidéo et autres scalers ainsi que sur beaucoup de moniteurs vidéos et vidéoprojecteurs.
Le DVI-D est parfaitement compatible avec le HDMI via de simples adaptateurs. Il ne transporte pas le son. La résolution maximale est le WQUXGA, soit 3840×2400 pixels.
HDMI : le connecteur vidéo grand public
Le HDMI est arrivé en 2003 sur les premiers appareils grand public comme les lecteurs DVD (puis les lecteurs Blu-ray) et les écrans plats LCD et plasma. Il a remplacé la connexion analogique composantes YUV.
Le connecteur n’a pas changé depuis 2003, mais la norme a évolué, ainsi que les capacités des cordons utilisés.
Normes HDMI principales
HDMI 1.0 – le tout premier, équivalent au DVI pour la partie vidéo, avec un flux audio 7.1 en plus, débit = 4,9 Gbps
HDMI 2.0a – utilisé actuellement pour l’UHD/4K, le HDR et l’audio immersif (Dolby Atmos, DTS:X), débit = 18 Gbps
Le HDMI possède un connecteur plus petit que le DVI, avec moins de broches (19 contre 29). La résolution maximale de la norme 2.0a est la 4K : 4096×2160 pixels à 60 Hz.
Il est un tout petit peu moins sensible que le DVI sur les grandes longueurs de câbles. La 4K passe sur des cordons HDMI de 7-8 mètres de longueur. Au-delà, on prend le risque de perdre le signal selon la qualité du cordon utilisé.
Grand public à l’origine, il est aussi largement utilisé dans les environnements professionnels en parallèle du DVI au départ, en parallèle du DisplayPort désormais.
DisplayPort : l’évolution haute définition du DVI
Le DisplayPort est entré en production en 2008. Essentiellement tourné vers l’informatique, il vise à remplacer le DVI. Il est constitué de 20 broches.
DisplayPort 1.2 – utilisé actuellement, débit = 21,6 Gbps, le canal auxiliaire passe à 720 Mbps
Le DisplayPort est compatible avec le DVI et le HDMI via des adaptateurs passifs. Son connecteur possède une taille équivalente à celui du HDMI.
Tout comme le DVI, le DisplayPort ne transmet pas le son, ce qui laisse plus de place à l’image. En revanche, on trouve un canal auxiliaire bidirectionnel pouvant transmettre les données d’écran tactile, de l’USB ou de l’Ethernet.
Il est de plus en plus intégré ces dernières années dans les équipements vidéo professionnels. Seul Apple l’utilise dans le grand public, sous le format mini DisplayPort renommé en Thunderbolt 2.
Attention, le Thunderbolt 2 propriétaire sait passer autre chose que la vidéo : des données pour le stockage, de l’audio pour les applications studio, etc.
USB-C : le remplaçant du DisplayPort
Le connecteur USB-C est très récent, il a été validé en 2014. Il est capable de transporter la vidéo et l’audio, mais aussi de remplacer toute les applications USB classiques.
Norme USB-C actuelle
USB-C – nouveau connecteur de la norme DisplayPort 1.3, débit = 32,4 Gbps, compatible 4K à 120 Hz, 5K (5120 × 2880) et 8K (7680 × 4320) à 60 Hz
Le connecteur USB-C est tout petit, plus petit qu’un connecteur USB classique. Il contient pourtant 24 broches. Il sait tout transmettre : audio multicanaux comme le HDMI, USB classique, stockage, recharge… L’USB-C est compatible HDMI 2.0a via un adaptateur.
Il est plus facile à installer que le DVI, le HDMI et le DisplayPort, mais sa longueur est limitée. Chez Apple, l’USB-C se nomme Thunderbolt 3 avec des fonctionnalités propriétaires supplémentaires.
Attention, les cordons USB-C ne sont pas tous équivalents. Essentiellement en fonction du diamètre du cordon, ils vont être capables de passer plus ou moins de puissance. Cela est important selon si l’on cherche à recharger un smartphone ou un ordinateur portable.
L’USB-C va-t-il devenir le connecteur universel ?
Les ordinateurs portables d’Apple n’ont plus que des prises USB-C. De plus en plus de smartphones sont passés en USB-C, tout comme le dernier iPad Pro. Les spécialistes des interfaces de table pour les salles de réunion commencent à mettre de l’USB-C. Dans le domaine de l’audio pro, les interfaces physiques avec les logiciels d’acquisition, de mixage et de montage passent toutes en USB-C. Les appareils photos haut de gamme ont des prises USB-C. De plus en plus de moniteurs informatiques délaissent le DisplayPort au bénéfice de l’USB-C. Neutrik vient même d’ajouter un connecteur sécurisé USB-C à son catalogue.
L’USB-C pourrait potentiellement remplacer tous les connecteurs vidéo, audio et informatique existants, à l’exception des câbles réseau. Il va supplanter le DisplayPort qui était lui-même une évolution du DVI.
Le HDMI fait de la résistance. Sa prochaine version 2.1, qui devrait être disponible sur le marché en 2019, aura des capacités légèrement supérieures au USB-C avec 48 Gbps de débit contre 32,4 Gbps.
Au final, il ne va subsister en concurrence que l’USB-C et le HDMI. Si ces deux organisations pouvaient s’entendre, il ne pourrait rester plus qu’un seul connecteur pour nous simplifier la vie. L’USB-C a trois avantages indéniables sur le HDMI : la petite taille de son connecteur, il est moins fragile que le HDMI, et il n’a pas de sens d’insertion. Ce dernier point devrait à lui seul favoriser l’adhésion de tout le monde !
Tableau comparatif des connecteurs vidéo numériques
Christie vient d’ajouter à son catalogue le Mirage SST. Un appareil de très haute puissance reproduisant des images plus vraies que nature. Ce tri-DLP repose sur le châssis électronique TruLife et il fait appel à un triple laser RGB en tant que source lumineuse.
Une source laser RGB séparée du projecteur
Son format est relativement compact pour un appareil de ce calibre. Il mesure 680 x 597 x 305mm et ne pèse que 50 kg. Le Mirage SST peut être installé dans toutes les directions, pour projeter sur une surface au plafond par exemple. Il est aussi très silencieux pour une installation au plus près des spectateurs sans bruit de ventilateur gênant.
Cela est rendu possible par la conception en deux morceaux du Mirage SST Laser RGB. En effet, toute la partie laser réside dans un autre boîtier bien plus gros, lourd (150 kg) et bruyant, mais qui peut être installé dans un lieu différent. Une grosse fibre optique relie les deux éléments. La source laser représente ce qui se fait de mieux dans le domaine avec les trois couleurs primaires séparées rouge-verte-bleue. Les vidéoprojecteurs laser classiques ne possèdent qu’un laser bleu, ou un double laser bleu/rouge comme les modèles ChristieBoldColor.
240 Hz en 4K et 30.000 lumens ANSI
Le Mirage SST RGB repose sur la plateforme TruLife capable de gérer la très haute définition mais aussi les hautes fréquences de rafraîchissement. Il sait donc afficher la 4K bien sûr, mais il sait aussi l’afficher à 240 images/seconde, ou à 480 images/seconde en 2K ! Rien de mieux pour rendre les images les plus réalistes possibles.
Ce vidéoprojecteur délivre 30.000 lumens ANSI. Il dispose d’un contraste montant à 5000:1 et il couvre l’espace colorimétrique Rec. 2020 à 90%. Des chiffres rarement vus jusqu’ici. Sa durée de vie est estimée à 30.000 heures avec la luminosité réglée à 80%.
Ses entrées comprennent du HDMI 2.0, du DisplayPort 1.2, du 12G-SDI, du HDBaseT et de la fibre QSFP+ à utiliser avec un transmetteur Christie. En option, il est possible d’ajouter des entrées, dont de la vidéo sur IP au format SDVoE. Enfin, huit optiques différentes sont proposées.
Quels usages pour ce vidéoprojecteur laser RGB ?
Le Mirage SST Laser RGB est un produit exceptionnel, pour des usages exceptionnels. Il se retrouvera dans les parcs d’attraction, les dômes ou les planétariums. Il peut être utilisés en plusieurs exemplaires afin de créer des images aux formes sur mesure grâce au puissant processeur de découpe d’images Christie Mystique.
Kindermann propose désormais un outil en ligne bien pratique. Il vous aide à composer vos boîtiers de table en sélectionnant les plastrons de votre choix. Il n’est disponible qu’en allemand, mais il est possible d’utiliser le configurateur de boîtiers Kindermann facilement sans connaître la langue.
Les plastrons Kindermann s’installent dans quatre types de boîtiers
Kindermann propose en effet des boîtiers pour différentes destinations : fixation sur ou dans la table, plaque murale, bandeau rack 19″ et boîtier de sol. Le format des plastrons, à visser, est identique pour tous les boîtiers sauf ceux de table. Pour les modèles de table, ce sont des modules clipsables.
Les types de plastrons sont rangés dans cinq catégories :
Si vous ne savez pas par où commencer, Kindermann propose également des boîtiers types déjà remplis. Ils sont par exemple destinés aux données avec des prises réseau ou au rassemblement de sources avec une grande diversité de connectique vidéo. Dans ce cas, des modules boutons sont intégrés afin de switcher d’une source à l’autre.
Certains boîtiers sont équipés d’origine d’une ou plusieurs prises de courant. Ce qui retranche d’autant le nombre de modules intégrables, mais les prises de courant ont aussi leur utilité.
Utilisez le configurateur pour visualiser et imprimer vos boîtiers
En bref, Kindermann vous accompagne dans la conception de vos boîtiers modulaires grace à ce configurateur en ligne Konnekt Module Planner. Vous visualisez ainsi rapidement le résultat de vos configurations en faisant simplement glisser les modules vers leurs emplacements. Le résultat peut être enregistré ou imprimé pour vos schémas et autres études de conception technique. Enfin, en sélectionnant le boîtier, la liste exacte des références utilisées vous permet de faciliter votre commande !
Ce laboratoire fait partie d’une université australienne. Il est destiné aux étudiants afin qu’ils acquièrent les techniques de manipulations chirurgicales. Comme c’est une salle de cours déguisée en bloc opératoire, de nombreuses sources et écrans sont nécessaires pour suivre et même enregistrer le travail des étudiants. C’est Gefen qui s’est occupé de la distribution AV sur IP et des différents convertisseurs de signaux.
Objectif : passer du S-Vidéo au HDMI sur IP
L’objectif initial a été de moderniser ce laboratoire dont les éléments vidéos étaient limités jusqu’ici à la qualité S-Video. Afin de réduire les coûts et de ne pas être limité dans le futur, la matrice vidéo a été écartée. A la place, c’est un système de transmission AV sur IP qui a été retenu. Deux switch Cisco 52 ports jouent le rôle des aiguilleurs.
Chaque source passe à travers un des 16 émetteurs GefenEXT-HD2IRS-LANTX du laboratoire. Pour les sources qui ne seraient pas HDMI, comme certains équipements chirurgicaux en S-Video ou en SDI, différents types de convertisseurs vers HDMI ainsi que des scalers ont été utilisés, tous de chez Gefen bien sûr.
Il y a également 15 récepteurs Gefen EXT-HD2IRS-LANRX fixés auprès des différents moniteurs et du vidéoprojecteur central. Deux sont dédiés aux petits retours vidéo dans le rack technique. Il y a aussi un convertisseur Gefen EXT-USB2.0-LR (USB sur câble Ethernet) pour déporter le clavier/souris du PC principal de la salle.
Un rack technique 19″ renferme tous les éléments ainsi qu’un IP Matrix Controller Gefen
L’ensemble des éléments de gestion de ce réseau audio/vidéo prend place dans un grand rack. Il renferme tout le brassage réseau et les switchs. Il y a aussi deux enregistreurs vidéo pour revoir les manipulations des étudiants. Des petits boîtiers Global Caché sur IP sont également utilisés pour les différents reports type infrarouge et contacts secs. On trouve également toute la partie son avec table de mixage, micros sans fil et amplificateurs.
C’est dans le rack que prend place un panneau Gefen EXT-CU-LAN. Son but est de gérer le routage des entrées et sorties vidéo sur le réseau IP, en utilisant les deux petits écrans de contrôle vidéo placés juste au-dessus.
En bref, cette installation impressionnante représente un bel exemple de tout ce qu’il est possible de réaliser dans un environnement médical en terme de gestion AV moderne. Le fait d’avoir utilisé uniquement des émetteurs et récepteurs sur IP, associés à un IP Matrix Controller dans le rack, permet d’envisager toute évolution du système sereinement : ajouter/supprimer des émetteurs/récepteurs, ou encore passer à la 4K !
Dans de nombreux domaines professionnels, les signaux vidéo sont transportés sur des câbles coaxiaux, avec une connectique BNC et au format SDI. Même si les capacités du câble coaxial sont importantes en termes de débit sur de grandes longueurs, le cuivre a ses limites. La fibre optique est aujourd’hui la bonne réponse à cette problématique.
De la SD-SDI à la 12G-SDI
La norme SDI a évolué au fil des années pour s’adapter aux formats vidéo de plus en plus définis. Pourtant, la connectique et les câbles n’ont pas changé ! On est parti de la SD-SDI avec une qualité inférieure au DVD pour arriver aujourd’hui à la 12G-SDI. Le 12G correspond au débit du format : 12 Gbps. Il est suffisant pour faire transiter de la 4K/UHD @ 60Hz et en 4:4:4.
En comparaison, une liaison HDMI équivalente a besoin de 18 Gbps. Mais le HDMI transporte également le son en multicanaux (Dolby Atmos, DTS HD, etc.), alors que le SDI se contente d’un signal audio stéréo. Un câble coaxial permet d’aller beaucoup plus loin qu’un câble HDMI, que ce soit en 12 ou en 18 Gbps. Mais il y a toujours des limites.
Le MuxLab 500713 transporte du SDI 4K sur fibre optique
L’extendeur MuxLab 500713 est un minuscule boîtier transformant une entrée SDI en une sortie sur fibre optique. Et vice-versa dans l’autre sens. Le connecteur LC single-mode accepte des fibres jusqu’à une longueur de 10 km ! Pour comparaison, avec un câble coaxial Belden 1694A d’excellente qualité, les 12 Gbps du SDI sont assurés sur 40 mètres. Une belle performance, mais incomparable avec celle de la fibre. Pour terminer, le 500713 dispose également d’une sortie boucle SDI locale.
Un extendeur SDI optique pour quels environnements ?
En résumé, MuxLab promet le transport d’un signal vidéo 4K/UHD au format SDI jusqu’à 10 km. Et ce sans aucune perte ni compression. Ce petit produit est idéal dans les environnements broadcast comme le montre le schéma ci-dessus. Il trouvera aussi sa place partout où le SDI est la norme : dans les milieux médicaux, les studios de post-production ou encore l’événementiel.
Un écran LCD ne peut s’installer à l’extérieur sans protection performante le protégeant des éléments et des agressions extérieures. La pluie, les UV, le gel mais aussi les dégradations volontaire ou involontaires nécessitent une protection adaptée. Avec sa large gamme FSMO, Audipack protège les écrans de 32 à 85″.
Trois propositions de caissons pour protéger les écrans à l’extérieur
La gamme FSMO propose trois types de caissons selon les projets :
classiques de 32 à 85″,
slim de 32 à 65″,
haute luminosité de 46 à 75″.
La gamme la plus large permet d’intégrer des écrans jusqu’à 85″, soit 215cm de diagonale. La profondeur du caisson est de 145mm. Ces modèles nécessitent un emplacement confortable pour leur mise en œuvre.
La gamme slim réduit la profondeur à 75mm seulement. Ces représente moins de contraintes pour plus de possibilités d’installation. En revanche, la taille maximale de l’écran LCD ne pourra dépasser les 65″.
Enfin, la gamme haute luminosité est dédiée aux écrans développant jusqu’à 2000 cd/m2. La protection en verre de cette gamme ne viendra pas entraver cette forte luminosité. Elle est réservée aux écrans de grande taille.
Des caissons ventilés pour faire face à toutes les variations météorologiques
Les caissons Audipack FSMO sont équipés d’un thermostat gérant la ventilation et la température. Celui-ci gère les flux d’air grâce à de multiples ventilateurs. L’écran LCD devient ainsi insensible aux variations extérieures, ce qui est une condition incontournable dans ce type d’installation.
L’installation de l’écran se fait sur une platine VESA de 200×200 à 400×400 selon le modèle. Le caisson en lui-même peut se fixer soit au mur, soit sur une potence de plafond spécifique. Toute autre type de montage personnalisé reste envisageable en utilisant des trous de fixation du caisson.
Des écrans à l’extérieur pour quels usages ?
En résumé, Audipack propose une large gamme de plusieurs dizaines de caissons pour la protection et l’installation d’écrans LCD à l’extérieur. Classique, slim ou haute luminosité, de 32 à 85″, il y a forcément le modèle pour votre projet. Comme les photos de cet article le montrent, les écrans sous caisson de protection peuvent être utilisés à l’entrée d’un cinema ou d’un hôtel. Mais pourquoi pas en façade d’un commerce, d’un établissement administratif ou dans un parc de jeux ?
Voilà un produit qui rend de fiers services. Tout projet de transmission HDMI sur de grandes distances devrait être envisagé avec ce produit. Tout installateur ou technicien devrait en avoir un couple dans sa boite à outils. Le HDMI20-OPTJ-TX/RX90 est un tout petit convertisseur optique bien pratique.
Passer d’une prise HDMI à une prise optique
Le cordon HDMI est largement utilisé dans le monde de l’audiovisuel. Il sait transmettre le très haut débit demandé par les formats vidéos les plus évolués tels que l’Ultra HD et la 4K. Mais il sait le faire seulement sur de très courtes distances.
Dès que le HDMI dépasse les 7 mètres environ, il faut trouver une autre solution pour assurer l’intégrité du signal. Il y a les boîtiers extendeurs bien sûr, mais il n’est pas toujours possible de trouver la place pour les installer.
C’est là qu’intervient la fibre optique. Lightware a travaillé cette idée autour d’un mini convertisseur transformant le HDMI en un connecteur optique.
Convertisseur optique tout terrain
Le convertisseur Lightware HDMI20-OPTJ-TX/RX90 se présente sous la forme d’un mini boîtier en métal d’un peu plus d’un centimètre d’épaisseur. Il résiste aux agressions extérieures pour une utilisation dans tous les environnements. D’un côté il y a un petit cordon HDMI, de l’autre un cordon USB utilisé pour l’alimentation du boîtier. Le connecteur optique est au format SC.
Il vous suffit ensuite de choisir une fibre optique à la longueur désirée. Selon sa classification, de OM1 à OM4, vous pourrez transmettre de la 4K jusqu’à 600 mètres. Mais si seule la Full HD 1080p vous suffit, la distance monte à 2500 mètres sur fibre OM4 !
On voit donc que la fibre est un médium largement suffisant pour transporter du HDMI dans la meilleure qualité possible, à 60 Hz, en 4:4:4 et avec tous les HDR possibles (HDR10, HDR12 et Dolby Vision). Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir la magie de ces mini boîtiers Lightware.
Du HDMI prêt pour le futur
En résumé, si vous partez sur le Lightware HDMI20-OPTJ-TX/RX90, vous ne rencontrerez plus jamais aucun problème de transmission HDMI, même sur de très grandes longueurs. C’est la solution la plus compacte possible garantissant une qualité optimale sans perte ni compression. De plus, si vous passez de la fibre optique OM3 ou OM4, lorsque la 8K sera une réalité, l’installation sera déjà prête à la supporter !
tvONE propose une gamme complète d’extendeurs HDMI parfaitement bien articulée. Chaque couple d’émetteur/récepteur propose des capacités spécifiques. Il vous suffit donc de sélectionner le modèle correspondant exactement à votre projet. tvONE a retenu le protocole de transmission universel HDBaseT sur un unique câble réseau.
Sachez tout d’abord que ces émetteurs et ces récepteurs sont compatibles avec d’autres éléments tvONE comme les distributeurs, les matrices ou les processeurs vidéo. Chacun de ces types de produits peuvent posséder des entrées et/ou des sorties HDBaseT. Un émetteur HDMI HDBaseT peut donc être relié à l’entrée HDBaseT d’une matrice par exemple, et non forcément d’un récepteur HDBaseT. Il en va de même entre la sortie HDBaseT d’une matrice et un boîtier récepteur HDBaseT.
Séries moyenne distance 64x et 65x
Le premier critère à prendre en compte concerne la distance de diffusion entre la source et le diffuseur. Les séries 64x et 65x proposent de transporter la 4K@30Hz sur 60 mètres pour les premiers et 100 mètres pour les seconds.
Les modèles 1T-CT-641 (émetteur) et 1T-CT-642 (récepteur) sont hyper compacts. En plus du HDMI, ils transmettent également le contrôle infrarouge.
Les modèles 1T-CT-653 (émetteur) et 1T-CT-654 (récepteur) possèdent un boîtier un peu plus gros. Ils ajoutent le contrôle avec un port série RS-232 mais aussi le PoH. En effet, le récepteur n’a pas besoin de bloc d »alimentation. Il est alimenté par l’émetteur à travers le câble réseau.
Ces deux boîtiers sont disponibles en versions murales sous les références 1T-CT-653-USWP et 1T-CT-654USWP. L’intégralité des fonctions et de la connectique est placé sur une plaque double « decora » au format américain.
Tous ces extendeurs sont compatibles avec la centrale de distribution 1T-CT-647, la matrice MX-8488 et le processeur vidéo CORIOmaster micro.
Série longue distance HD-One
Les modèles HD-One promettent d’atteindre les 150 mètres de distances en 1080@60Hz. Ils sont aussi compatibles 4K, mais dans la limite des 60 mètres.
Les HD-ONEDX500-T conservent une compacité maximale. Ils ne transmettent que le HDMI. Il prendront place très facilement attachés à l’arrière d’un écran plat.
Les HD-ONELX500-T gagnent l’infrarouge bidirectionnel ainsi que le RS232. Cela offre le contrôle à distance aussi bien de la source que du diffuseur.
Ces extendeurs sont compatibles avec le processeur de multifenêtrage CORIOview, la matrice CORIOmatrix mini et le processeur 4K CORIOmaster.
Des extendeurs HDBaseT pour toutes les situations
En résumé, voici cinq solutions d’extendeurs HDMI en HDBaseT. Compactes, courte ou longue distance, avec ou sans RS-232, faites votre choix ! La possibilité de les associer avec les matrices et les processeurs vidéo de la marque est très intéressante. Ceci afin de constituer facilement un réseau vidéo HDBaseT uniquement sur câble réseau.