Auteur/autrice : Arnaud

  • Système de présentation professionnelle sans fil QConnect

    Système de présentation professionnelle sans fil QConnect

    9901897156_c5647c2a30_oDonnez une nouvelle dimension à vos présentations d’entreprise ou d’enseignants en utilisant le QConnect TWP1000, le système de connectivité sans fil au cœur de toute présentation professionnelle. Le TWP1000 connecte un écran ou un projecteur à un maximum de 32 périphériques sans fil et peut afficher 4 écrans simultanément.

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    Caractéristiques:

    • Contrôlez votre ordinateur à l’aide d’un appareil mobile
    • Connexion sans fil jusqu’à 32 ordinateurs ou appareils mobiles, permutant facilement entre les écrans. (Jusqu’à 4 écrans affichés en même temps.)
    • Avec le logiciel interactif Flow!Works, faites vos annotations sans fil sur l’écran
    • Le mode AP-Client Wifi permet au TWP1000 de se joindre à un points d’accès WiFi sans fil existant
    • Affichage prêt à l’emploi (Plug-and-show / PnS) Installation sans pilote
    • Projection d’écran divisée 4 à 1

     

    Vous n’avez pas votre ordinateur ? Connectez votre iPad ou iPhone, pour projeter des photos, PowerPoints, Internet, et plus encore ! Si vous avez votre ordinateur, mais souhaitez avoir la possibilité de parcourir la pièce, utilisez votre appareil mobile comme tablette pour contrôler la projection de votre écran d’ordinateur ! Avec le port interactif USB pour tableau blanc sur l’appareil, le TWP1000 peut également être intégré à un tableau blanc interactif ou un écran tactile, et tous les utilisateurs connectés sont capables de toucher et d’exploiter leur ordinateur à partir de l’affichage. Avec l’ajout du logiciel d’annotation Flow!Works, n’importe quel utilisateur peut annoter n’importe quelle application en cours d’exécution.

    Qomo HiteVision est l’un des principaux fabricants mondiaux de produits de présentation, tels que les visualiseurs et lespanneaux interactifs qui couvrent un large éventail d’applications et offrent des produits de présentation de haute performance dans l’éducation, la science, le domaine médical, l’entreprise et le domaine de l’administration publique. Les produits Qomo sont faciles à utiliser, et offrent les meilleures spécifications parmi tous les fabricants sur le marché, tout en étant parmi les prix les plus compétitifs.

    Qomo

     

    Retrouvez la gamme QOMO sur
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  • tvONE réalise un moniteur LCD 17 pouces multi-formats

    tvONE réalise un moniteur LCD 17 pouces multi-formats

    Le moniteur LCD de 17 pouces aux multiples formats LM-1750HDW de tvONE est désormais disponible.

     

    LM-1750HDW tvONE

     

    Il remplace le LM-1750HD récemment arrêté.

    Il englobe toutes les caractéristiques du LM-1750HD, mais avec une résolution améliorée de 1920×1080, ce qui permet l’affichage 1:1 de sources 1080i /p 1.

    Le LM-1750HDW possède des entrées SDI (SD ou HD) avec sortie active, HDMI, analogique RGBHV, YUV ou YPbPr vidéo composante et 2x vidéo composite.

    Une entrée YC est disponible et peut être utilisée à la place de l’une des entrées composites.

    Les normes de télévision NTSC et PAL sont prises en charge et détectées automatiquement.

    Cinq entrées stéréo également fournies et deux haut-parleurs internes entraînés par un amplificateur 3W, fournissent des capacités de contrôle audio stéréo.

    Les Tally LED du panneau avant peuvent être activés en externe via le connecteur DB9.

     

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  • 10 idées reçues sur les écrans

    10 idées reçues sur les écrans

    On entend parfois des affirmations qui semblent des évidences : un écran mat est toujours mieux qu’un écran brillant, un taux de rafraîchissement plus élevé est important, un rétroéclairage par LED est plus flatteur que par LCD… mais que se cache-t-il réellement derrière ces sentences et reflètent-elles vraiment la réalité ?

    Nos camarades de Tomshardware ont passé en revue une dizaine d’idées reçues sur les écrans (principalement sur des moniteurs PC destinés au Gaming)

     

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    Le temps de rémanence c’est important

    Quand on envisage de s’acheter un PC, on pense surtout aux composants internes et à leurs performances. Ce faisant, il arrive que l’on néglige les périphériques, pourtant tout aussi essentiels au quotidien. Clavier, souris, écrans, ces éléments doivent aussi être choisis avec soin : d’eux dépendront l’agrément d’utilisation, la fatigue musculaire ou visuelle. Or, s’il est facile de comparer deux processeurs avec un benchmark, évaluer deux écrans est plus délicat. Dans les pages qui viennent, nous allons essayer de vous simplifier la tâche en passant en revue dix idées reçues sur les moniteurs. Première en lice : l’importance du temps de latence.

    Dans les années 2000, le premier critère de choix d’un écran LCD était le temps de latence, c’est-à-dire le temps que mettent les pixels de l’écran pour changer de couleur d’une image à une autre. A l’époque, il pouvait atteindre 30 ms, ce qui se traduisait par des traînées gênantes derrière les objets en mouvement. Aujourd’hui, il est pratiquement impossible de trouver un écran dépassant 15 ms, la majorité étant donnée pour moins de 8 ms, ce qui ne pose presque plus de problèmes. Le temps de rémanence n’est donc plus un critère de premier plan. Les joueurs préféreront tout de même un écran très rapide (les meilleurs descendent à 2 ou 3 ms en pratique).

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    Un écran mat c’est mieux ? Pas toujours !

    Au commencement, les écrans LCD étaient mats. Puis les constructeurs s’entichèrent des écrans brillants plus design. Pendant quelques années, le brillant éclipsa le mat, au grand désarroi d’une partie des utilisateurs. Depuis, la roue a tourné de nouveau et la plupart des écrans PC sont redevenus mats. Mais le mat est vraiment mieux que le brillant ?

    La critique principale faite aux écrans brillants est qu’ils génèrent plus de reflets, reflets qui gênent la visibilité des contenus affichés. C’est une réalité, mais il faut relativiser son importance. Ce phénomène est surtout gênant sur les écrans de PC portables, lorsque le visage de l’utilisateur et une source lumineuse (plafonnier, soleil) se trouvent alignés. Sur un moniteur de bureau, vertical, les reflets sont bien moindres. Et si l’on soigne son installation pour éviter qu’une source lumineuse se reflète directement dans l’écran, on peut préférer les dalles brillantes : l’absence de traitement antireflet augmente naturellement le contraste.

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    Faut-il un écran IPS pour afficher des couleurs justes ? Non.

    Si vous cherchez un écran pour faire des travaux sensibles à la couleur, vous avez sans doute lu ce conseil : “prends un écran IPS”. Toutefois, il ne faut pas croire que les autres technologies de dalles soient intrinsèquement incapables d’afficher des couleurs justes. C’est absolument faux ! Mais les dalles IPS furent les premières adaptées aux photographes et graphistes et gardent cet avantage historique.

    Il est également vrai que les moniteurs TN sont moins adaptés, à cause de leurs faibles angles de vision et d’un encodage sur 6 bits seulement. Ainsi, les couleurs ne sont justes que vues parfaitement de face ; pire sur les grandes diagonales, on ne voit pas exactement la même teinte selon qu’on regarde au centre de l’écran ou sur les bords. Si les TN restent à éviter, les autres dalles aux angles de vision ouverts (VA, PLS, PSA, etc.) peuvent être de bons choix.

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    L’éclairage bleu est mauvais pour les yeux

    Assez récemment, on a attribué aux écrans un tort nouveau : ils seraient mauvais pour les yeux à cause de leur lumière bleue. Le raisonnement est le suivant : la lumière émise par les écrans contient une plus grande part de bleu que la lumière naturelle. Comme, on passe de plus en plus de temps les yeux devant un écran, on subit une exposition proportionnellement plus forte à la lumière bleue. Or cette lumière bleue est la plus énergétique. Les cellules rétiniennes sont donc soumises à un surplus de stress, qui pourrait accélérer leur vieillissement. Il n’y a pour le moment aucune preuve solide de cet effet chez l’homme, ni même chez le singe. Mais cela n’a pas empêché les constructeurs de s’emparer de l’argument.

    Faut-il par précaution acheter un écran doté d’un système antilumière bleue ? Non. D’une part parce que le danger n’est pas avéré. D’autre part, parce que faute de test indépendant, l’efficacité de ces systèmes est peut-être totalement nulle. Enfin, parce qu’on peut limiter soi-même la quantité de lumière bleue émise par son écran, simplement en baissant sa température de couleur manuellement (comme illustré ci-contre par Eizo). Plutôt que de rester bloqué sur la température de 6500 K héritée d’un choix de standardisation dans l’industrie télévisuelle, on peut tout à fait opter pour une température plus “chaude”, plus jaune, et donc moins bleue.

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    Un écran tactile est-il forcément brillant ? Non.

    Depuis l’iPhone, la mode est aux écrans tactiles protégés par une dalle de verre : iPhone mais aussi iPad et la quasi-totalité des smartphones et tablettes concurrents utilisent cette conception. Les PC ont résisté longtemps à la mode, mais depuis Windows 8, Microsoft aussi bien qu’Intel ont poussé les constructeurs à employer des écrans tactiles sous verre. Or, qui dit dalle de verre, dit écran brillant. Mais n’y a-t-il pas moyen de créer des écrans tactiles mats ?

    Si bien sûr ! D’une part, on peut recourir à des technologies tactiles différentes : écrans à capteurs infrarouges, écrans résistifs, etc. Même sur les écrans capacitifs, la capacité à détecter le toucher d’un doigt n’est pas liée à la présence d’une dalle en verre. Et même s’ils sont beaucoup moins répandus que leurs homologues brillants, les écrans tactiles mats existent (ci-contre le Lenovo M93z) ! Toutefois, comme nous l’avons dit précédemment, une dalle brillante n’est pas nécessairement un défaut, tout dépend de l’environnement de travail.

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    L’OLED vaut-il le coup ? Oui.

    Depuis des temps immémoriaux… non pas tout à fait. Depuis une vingtaine d’années, une technologie d’affichage promet monts et merveilles : les diodes organiques luminescentes, autrement dit les OLED. Malheureusement, depuis une vingtaine d’années, ces promesses sont restées en l’air, aucun constructeur ne parvenant à résoudre les défis posés par la production à grande échelle des composés OLED. Heureusement, depuis l’année dernière les frères ennemis coréens Samsung et LG ont lancé la commercialisation de leurs premiers téléviseurs OLED. Malgré leurs prix élitistes, ces produits ont permis de vérifier sur pièce si l’OLED tenait bien toutes les promesses qu’il nous a faites depuis si longtemps.

    En un mot : oui. Temps de réponse instantané, angles de vision totaux, contraste infini, uniformité parfaite… les OLED corrigent tous les défauts des écrans LCD et offrent une qualité d’image presque sans défaut. Ne reste plus qu’à patienter jusqu’à ce que les prix rejoignent des niveaux raisonnables. Mais nous ne sommes plus à quelques années près…

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    Le taux de rafraîchissement à 75 Hz c’est mieux ? Non. Et à 144 Hz ?

    Lorsque les écrans étaient encore à tubes cathodiques, une des caractéristiques les plus importantes était la fréquence du balayage. A 50 ou 60 Hz, on voyait flou, il fallait investir dans un écran à 75 Hz au moins pour être sûr de voir une image stable, sans scintillement. Sur les écrans LCD, ce raisonnement est inapplicable puisqu’il n’y a plus de balayage progressif des pixels de haut en bas et de gauche à droite, mais un rafraîchissement simultané de tous les pixels. Cette subtilité technique a cependant échappé à bon nombre de consommateurs qui, gardant leurs vieux réflexes, règlent toujours leurs écrans LCD à 75 Hz plutôt qu’à 60 Hz.

    L’évolution technologique ne manque toutefois pas d’humour puisque la fréquence de rafraîchissement est redevenue ces dernières années, un critère d’achat. Vers 2008, sous l’impulsion de Nvidia qui promouvait sa 3D Vision, les constructeurs ont commencé à sortir des écrans à 120 Hz. Plus récemment, on a vu apparaître des écrans à 144 Hz. Inutiles ? Non, car les dalles capables de tenir des fréquences de rafraîchissement aussi rapides sont aussi celles offrant le temps de latence le plus faible. En attendant les moniteurs OLED, les LCD à 144 Hz sont bien le meilleur choix pour qui recherche la fluidité d’affichage, dans les jeux ou dans les films.

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    Le LED c’est mieux que le LCD ? Non.

    Mettre la technologie compréhensible au plus grand nombre est une tâche ardue, dans laquelle les journalistes que nous sommes ne sont pas toujours aidés par les constructeurs et revendeurs. Ces derniers se plaisent parfois à semer la confusion dans l’esprit du consommateur. Ainsi n’est-il pas rare d’entendre dire que tel ou tel écran est « un LED », intrinsèquement meilleur qu’un « LCD ». Permettez-nous de saisir notre bâton de pèlerin pour rétablir la vérité sur ce point : les écrans LED sont aussi des écrans LCD !

    Les LED en question sont en effet la source lumineuse qui éclaire en transparence la couche de cristaux liquides sur laquelle est formée l’image. Les écrans LED sont donc des LCD à LED, par opposition aux LCD « CCFL », qui utilisent comme rétroéclairage des tubes fluorescents. Les LED ont de nombreux avantages, comme un encombrement réduit et un allumage instantané. Avec le temps, plusieurs générations de LED sont apparues : RGB LED, W-LED, GB-LED, etc. Mais fondamentalement, l’écran reste un LCD.

     

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    L’input lag, c’est grave docteur ?

    L’input lag, ou retard à l’entrée, n’est pas une maladie grave. Elle ne concerne qu’une minorité de joueurs, adeptes des FPS multijoueurs en ligne et très exigeants. L’input lag est le temps supplémentaire mis par les écrans LCD à afficher réellement une image par rapport à un écran CRT. Il est dû aux multiples traitements que les écrans LCD appliquent à l’image et peut atteindre ou dépasser, dans les cas les plus sérieux, 32 ms. Compte tenu d’une fréquence d’affichage de 60 Hz, 32 ms sont l’équivalent de 2 images de retard. Autrement dit, le joueur sur l’écran LCD verra l’action se dérouler avec 2 images de retard par rapport au joueur sur l’écran CRT. Pour la majorité ce n’est pas un souci. Pour une minorité, c’est inadmissible. Ceux-là devront se tourner vers les écrans offrant un input lag minimal, de moins de 16 ms (soit moins d’une image d’écart). Par une heureuse coïncidence, les écrans pour joueurs (faible temps de latence des pixels, rafraîchissement à 144 Hz) sont ceux sur lesquels l’input lag est le plus réduit.

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    Un écran 4K/Ultra HD, c’est forcément mieux

    Impossible de parler d’écrans en 2014 sans aborder l’Ultra HD. C’est le mot clé de l’année, la nouveauté sur laquelle se battent les marques. Mais faut-il vraiment faire de l’Ultra HD un critère de choix ? Sur un écran de bureau de petite diagonale (24 ou 28″), l’Ultra HD n’a pas vraiment  d’intérêt. Utilisé en définition native (3840 x 2160 pixels), un tel écran réduit beaucoup trop les éléments de l’interface graphique. Pour leur redonner une taille confortable, il faut recourir à une mise à l’échelle de l’interface du système d’exploitation ou des applications. Sous Windows cette mise à l’échelle n’est pas très bien gérée (on peut se retrouver avec des boîtes de dialogue pixelisées, des textes trop gros pour leur bouton, ou des menus non mis à l’échelle, selon l’application). Sous Mac OS c’est mieux mais on n’a que le choix d’un agrandissement x2, ce qui ramène l’écran en Full HD. Certes on conserve la finesse d’affichage due aux pixels très petits, mais on perd la surface d’affichage supérieure.

    L’Ultra HD devient visuellement utilisable et intéressante à partir d’une diagonale de 32″. Reste encore le problème de la surcharge que ces pixels plus nombreux font peser sur la carte graphique. Pour jouer en Ultra HD, une configuration bi-GPU est plus que conseillée !

    10 idées reçues sur les écrans

     

    source : Tomshardware

     

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  • Accessoires double écran Chief Fusion : deux, c’est mieux !

    Accessoires double écran Chief Fusion : deux, c’est mieux !

    Pour des solutions mobiles de vidéo conférence en double affichage : choisissez les accessoires pour chariot de la gamme Fusion de CHIEF

    Chief Fusion

    Le FCA623 permet aux installateurs d’ajouter deux écrans sur les chariots pour vidéoconférence XL Fusion, conçus pour des écrans de 55 à 100 pouces, supportant jusqu’à 136 kg.

    Et maintenant, vous pouvez ajouter une caméra centrale avec un espace minimal entre les écrans en utilisant les nouvelles étagères FCA820 et FCA821.

    Esthétique, châssis robuste, mobilité douce et facilité d’installation sont les caractéristiques indéniables des chariots pour écrans de CHIEF, ils sont agrémentés d’une gamme complète d’accessoires pour trouver la solution parfaite.

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  • Procolor, Projecta, Da-Lite : encore plus de solutions de projection

    Procolor, Projecta, Da-Lite : encore plus de solutions de projection

     

    Toute installation de haute qualité devrait être associée à un écran de projection de haute qualité : vous avez maintenant à votre disposition une gamme de produits qui vous permet de le faire. La force combinée de Procolor, Projecta et Da-Lite vous fournit les réponses à toutes les demandes en matière de projection !

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    Pour les installations d’entreprise et d’enseignement, vous trouverez tous les écrans de projection dans la gamme de produits Projecta. Cette gamme étendue propose des produits que vous connaissez déjà, comme les Dyna Screen, Carter Screen et Junior Screen, mais aussi plusieurs nouveautés importantes. Le concept Elpro est une solution idéale pour les installations haut de gamme qui exigent un design de boîtier élégant.

    Les écrans Dry Erase Screen sont une autre nouveauté intéressante : des écrans de projection sur lesquels vous pouvez écrire avec des marqueurs effaçables à sec, conçus pour être utilisés avec des projecteurs (interactifs) à courte focale.

    Da-Lite est la marque destinée à toutes les solutions spécialisées, comme les grandes salles, la location et la simulation. Vous trouverez maintenant les grands écrans motorisés comme les modèles Auto Screen et King Screen  sous la marque Da-Lite. Les produits Fast-Fold sont maintenant également disponibles dans la gamme Da-Lite.

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  • Le connecteur USB 3.1 réversible est bientôt prêt

    Le connecteur USB 3.1 réversible est bientôt prêt

    La prochaine génération de connecteurs USB : L’USB 3.1, qui passe de 5 à 10 gigabits/s, va très prochainement entrer en production : l’arrivée de connectiques réversibles sur les terminaux mobiles et autres appareils, y compris les ordinateurs, n’est donc plus qu’une question de mois.

    USB 3.1

    L »USB IF, qui s’occupe de la norme, a annoncé que le connecteur de Type C était finalisé. Pour les utilisateurs, ce dernier point est bien plus intéressant que le gain en débit, étant donné que les périphériques sont rarement capables de saturer de l’USB 3.0 classique.

    La connectique USB 3.1 est en approche : sa finalisation vient d’être officialisée, et les connecteurs et autres câbles sortiront prochainement des usines de production. « Les acteurs des industries du PC, du mobile, de l’automobile et des objets connectés sont venus frapper à notre porte pour anticiper l’arrivée de cette nouvelle norme » a commenté Brad Saunders, le président de l’USB 3.0 Promoter Group.

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    Un connecteur compact, réversible et symétrique

    Le design de l’USB 3.1 s’est dévoilé en avril dernier et a confirmé les attentes et le nouveau connecteur de Type C est intéressant sur plusieurs points :

    • D’abord, il est compact, à la manière du micro USB 2.0 de Type B. C’est un point important : la largeur et la fragilité du connecteur micro USB 3.0 ont empêché son adoption massive en dehors des disques durs. La nouvelle connectique est plus petite, et se rapproche du micro-USB. L’objectif est de s’adapter « à des produits plus minces » tout en «améliorant la facilité d’utilisation » et en « préparant le terrain de l’évolution des performances des futures versions de l’USB. »
    • Ensuite, il est réversible : la fameuse blague des trois sens de l’USB n’aura plus lieu d’être. Concrètement, les connecteurs sont doublés en interne et on peut donc brancher le connecteur dans n’importe quel sens, une avancée majeure : plus besoin de chercher le bon sens pour brancher un appareil ou un câble.
    • Enfin, la connexion est symétrique : il n’y a qu’un connecteur de Type C, qui se connecte indifféremment du côté du « maître » ou du « périphérique ». C’est assez logique : les appareils actuels peuvent souvent fonctionner avec les deux rôles (l’exemple type est le smartphone) et l’électronique est adaptée, ce qui n’était pas le cas au lancement de l’USB dans les années ’90.

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    Différent du Lightning

    Si la logique est la même que le Lightning d’Apple, le fonctionnement est assez différent. Apple utilise des pistes externes et (re)configurables alors que l’USB 3.1 de Type C utilise des contacts internes et que les pistes sont à l’intérieur de la prise.

    USB 3.1
    Les constructeurs vont désormais devoir intégrer cette connectique à leurs nouveaux produits, mais également faire le nécessaire pour assurer aux utilisateurs une transition en douceur. La norme USB 3.1 ne sera pas compatible avec l’USB 2.0/3.0 actuellement présent sur les machines dont disposent les technophiles, mais des adaptateurs sont prévus : on peut penser à des câbles vers une prise femelle de Tye A (pour brancher des périphériques à un smartphone) mais aussi des câbles Type C vers micro USB de Type B, plus de détails seront donnés en septembre prochain à l’occasion d’une conférence à destination des développeurs, qui se tiendra à Seattle.

  • Optoma lance un projecteur 1080p pour salle de classe

    Optoma lance un projecteur 1080p pour salle de classe

    Optoma vient de sortir son projecteur EH200ST destiné au marché de l’éducation et qui dispose de haut-parleurs intégrés et d’une luminosité de 2800 lumens.

    Le projecteur est équipé d’une lentille de courte focale qui permet d’obtenir une grande image de 100 pouces sur un écran ou un mur à à peine un peu plus d’un mètre de distance.

    Il dispose de deux entrées HDMI et peut être transformé en un écran intelligent en connectant un smartphone ou une tablette avec un seul câble via MHL pour jouer à des jeux vidéos, diffuser des vidéos et partager des images sur le grand écran.

    Le haut-parleur intégré délivre une puissance de 10W audio et une sortie audio est également incluse, permettant la connexion à des systèmes sonores externes.

    Optoma

     

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  • Indochine en tournée avec Audio-Technica

    Indochine en tournée avec Audio-Technica

    C’est Audio-Technica  qui a été choisie pour la tournée « Black City Tour » du groupe Indochine.

    Indochine Nicola Sirkis

    En effet, l’ingénieur du son du groupe Philippe Dubiche a fait confiance en Audio-Technica pour les microphones utilisés par Nicola Sirkis ainsi que les autres membres du groupe.

    Pour la voix de Nicola Sirkis, Philippe a opté pour un système sans fil Série 5000 avec deux émetteurs main AEW-T5400, versions sans fil de l’AE5400.

    Sur les instruments, Philippe Dubiche a choisi d’utiliser une paire de microphones à ruban AT4080 sur les amplis de guitare, ainsi que pas moins de sept microphones à directivité variables AT4050 en overheads et sur les amplis de guitare et de basse, des microphones cardioïdes à électret AE3000 sous la caisse claire et un microphone à double capsule AE2500 dans la grosse caisse.

    Pour visionner l’interview filmée de Philippe Dubiche, cliquez ici.

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  • Nouvelle ère pour les supports Kontour de CHIEF

    Nouvelle ère pour les supports Kontour de CHIEF

    CHIEF a écouté les commentaires des installateurs et propose une mise à jour conceptuelle de ses supports pour moniteurs Kontour ™.

    Les nouvelles versions comprennent :

    Chief Kontour
    Système d’ajustement Centris amélioré

     

    Chief Kontour
    Système de déblocage rapide

     

    Chief Kontour
    Amélioration du concept de la base

     

    Chief Kontour
    Nouveau support double écran

     

    Avec les séries K3 et K4, CHIEF propose des solutions exclusives de supports multi-écran.

     

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  • Vidéoprojecteur interactif à courte focale Kindermann

    Vidéoprojecteur interactif à courte focale Kindermann

    Projecteur informatique/vidéo KINDERMANN, interactive, technologie LCD, résolution: WXGA (1280 x 800), contraste: 500:1, format: 16:10, 2600 ANSI lumens, ratio: 0,63, niveau de bruit: 29 dB (Eco), poids: 4,1 kg  – Kindermann – KX 450W

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    – Projection courte portée
    – Fonctionnalité tableau blanc
    – Contrôle et maintenance via le réseau LAN
    – Lampe à remplacement latéral
    – Filtre à remplacement latéral
    – Filtre air spécial pour l’environnement
    – De nombreuses fonctions automatiques
    – Sept modes d’affichage (Naturel, Cinéma, Lumière du jour, Fond Vert, Fond Blanc,Fond Noir, Utilisateur)
    – Mise en marche / arrêt rapide (en 10 secondes seulement)
    – Capture du logo
    – Nouveau logiciel intéractif LightPen 3vid_oprojecteur_kx_450w_actif_kindermann_2

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