Le flightcase FLM-6065 d’Audipoack est particulièrement bien adapté au transport et à la protection d’écrans de taille moyenne, entre 60 et 65″. Il intègre par ailleurs un support et une motorisation pour ajuster la hauteur de cet écran selon les besoins.
Un flightcase de protection
Le flightcase sur roulette est avant tout une solution de rangement et de transport. Lorsqu’on l’utilise pour déplacer un moniteur, ce dernier est parfaitement protégé et ne craint aucun choc. C’est le cas du modèle Audipack FLM-6065.
Ce flight case mesure 1,6m de largeur pour 1,3m de hauteur, roulettes comprises. Celles-ci sont équipées de freins et mesurent 10 cm de diamètre. Cela leur permet de supporter la caisse et la charge interne de 75 kg au maximum. Le flight est équipé de poignées latérales pour faciliter son déplacement.
Une motorisation Audipack Liftomatic intégrée
Une fois le flightcase protégeant l’écran arrivé à bon port, il faut alors sortir ce dernier. Un écran de cette taille nécessite deux personnes, sans compter la difficulté à retirer un tel objet sans risque. Alors Audipack a fait beaucoup plus simple : ils ont intégré une motorisation Liftomatic dans le flight !
Ainsi, il suffit de retirer le couvercle puis de brancher le flight sur une prise. La motorisation va faire sortir l’écran jusqu’à 1,73m de haut, point central de l’écran. On peut bien entendu régler finement le déploiement. Ainsi, aucune manipulation de l’écran n’est nécessaire, il est prêt à être utilisé. Audipack propose en option un cache venant protéger le dessus du flightcase, avec juste l’ouverture du support motorisé.
Le Flightcase FLM-6065 transporte, protège et déploie les écrans
En bref, l’Audipack FLM-6065 présente trois fonctions destinées aux écrans de 60 à 65″ souvent déplacés ou en location. En plus du transport et de la protection, il simplifie les manipulations grâce au support motorisé intégré qui fait sortir l’écran du flight sans avoir à le manipuler. Enfin, le cache optionnel vient protégéer toute la mécanique lorsque l’écran est utilisé.
La Série PR+ de Vestel comprend quatre moniteurs dans des tailles habituelles afin de mettre en place de l’affichage dynamique très simplement. Ces écrans se caractérisent par leur forte luminosité ainsi que par leur suite logicielle incluse couvrant tous les besoins. Cela est rendu possible par l’utilisation de la plateforme Android.
Cadre fin et forte luminosité
Voilà deux critères primoridaux pour la mise en place d’un affichage numérique. D’une part, le cadre fin facilite l’intégration et laisse la part belle à l’image. Il mesure 6 mm sur le modèle 43″, 9 mm sur les 50 et 55″, et 10 mm sur le 65″. En outre, sachez qu’il est facile de chaîner plusieurs écrans PR+ qui se retrouveraient cote à cote grâce à la sortie HDMI en miroir.
Ces écrans développent une luminosité de 700 cd/m2, soit une valeur idéale pour l’affichage dans des lieux recevant la lumière naturelle du jour ou de forts éclairages artificiels. De plus, le rapport de contraste dynamique grimpe à 70.000:1. Notez que les 43, 55 et 65″ ont une dalle IPS tandis que le modèle 50″ présente une dalle VA. Dans tous les cas, les écrans sont orientables en mode paysage ou portrait.
Affichage de qualité et logiciels évolués
Les écrans Vestel PR+ affichent une définition en 4K, ont un temps de réponse compris entre 8 et 9,5 ms et offrent un large angle de vue de 178° dans les deux axes. L’affichage dynamique correspond à leur domaine de prédilection. Mais grâce à toutes leurs qualités d’image, ils peuvent aussi être utilisés en tant que moniteurs dans les salles de réunion. On pourra alors utiliser Miracast pour transmettre l’image d’un ordinateur portable vers l’écran, sans fil et sans installation de driver.
La fonction logicielle Miracast intégrée n’est pas la seule. Avec Vsign Lite, vous avez l’outil pour créer tous vos contenus et leur affichage via un planificateur pour un fonctionnement autonome. Les contenus peuvent provenir d’une clé USB ou du réseau. Si cela ne suffit pas, Android permet d’installer vos applications métier. Enfin, Display Wizard facilite la prise la main en local ou à distance sur tous les écrans PR+ que vous aurez installés.
Vestel PR+ : des écrans complets et économiques pour le retail et le corporate
En résumé, les écrans de 43″ à 65″ de la série PR+ de Vestel sont capables de répondres aux besoins de la plupart des projets d’affichage dynamique. Avec leur cadre fin, leur luminosité et leur haut ratio de contraste, ils s’intègrent à toutes sortes d’environnements. Les logiciels sont inclus gratuitement pour les fonctions essentielles, Android s’occupant du reste. Enfin, ils sont conçus pour fonctionner 24h/24 !
Les deux technologie utilisées pour les murs vidéo de salles de contrôle sont les écrans LCD et les panneaux LED. Christie propose justement ces deux types de solutions. La meilleure option dépendra des priorités de l’utilisateur ou de l’application spécifique. Voici ce qui différencie les deux technologies phares d’affichage dans les salles de contrôle et leurs qualités propres.
Pourquoi choisir Christie pour les salles de contrôle ?
Christie propose une gamme complète de solutions d’affichage haute performance pour les salles de contrôle. Elles se pilotent grâce aux puissants processeurs de murs vidéo de la marque pour des capacités d’affichage avancées et un contrôle complet. Petite ou grande installation, les murs d’image Christie sur mesure répondent à tous les projets.
Christie a plus de 30 ans d’expérience dans l’affichage en mur d’image pour les salles de contrôle. La marque a toujours proposé les technologies les plus avancées jusqu’aux écrans LCD et aux panneaux LED aujourd’hui. Les produits Christie sont accompagnés de garanties et d’un support haut de gamme afin de rassurer et d’accompagner les clients sur le long terme.
Ecran LCD ou panneau LED ?
Les écrans LCD de Christie sont abordables, fiables et offrent une qualité d’image précise grâce au support des hautes résolutions. Les panneaux LCD sont durables et adaptés à un fonctionnement continu 24h/24. Il est possible de faire évoluer un mur LCD très simplement an joutant de nouveaux supports et de nouveaux écrans à la suite de ceux déjà installés. Ils savent rentrer dans des budgets plus serrés comparativement aux murs de panneaux LED.
Les panneaux LED permettent de réaliser des surfaces d’affichage entièrement sur mesure, indépendante des multiples du 16/9e des écrans LCD. Ils suppriment la grille visible entre les écrans pour un affichage plus fluide, mais aussi pour un budget un peu plus élevé. Leur maintenance est facilitée grâce à un accès par l’avant sans rien avoir à démonter. En outre, ils offrent une luminosité plus élevée, un meilleur contraste et une plus longue durée de vie.
Murs d’image Christie : des solutions clé en main
En bref, le meilleur type de mur vidéo pour une salle de contrôle donnée dépendra des besoins et des exigences spécifiques du projet. Cependant, les murs vidéo LCD et LED de Christie offrent un certain nombre d’avantages qui en font des choix incontournables dans toutes les situations. La qualité de restitution, le suivi et la maintenance, ainsi que la facilité de pilotage via des processeurs vidéo adaptés sont des critères à ne pas négliger. Christie vous accompagne sur ce type de projet de l’étude jusqu’au support après vente en fournissant l’intégralité des éléments nécessaires.
Le SDI, pour Serial Digital Interface, est un protocole de transport audio/vidéo. Il transite exclusivement par un cordon coaxial. Il a l’avantage d’accepter de grandes longueurs sans perte de signal. Le SDI est utilisé principalement dans le broadcast, mais également dans de multiples autres applications de distribution AV. Ce dossier vous explique en détails comment fonctionne le SDI et de quelles façons vous pouvez l’utiliser.
SDI : de l’analogique au numérique
Le SDI est un format toujours utilisé aujourd’hui, et plus que jamais. Il est pourtant né en 1989. Depuis, seul le débit a évolué ! Le type de câble et sa connectique n’ont pour leur part jamais changé. Toutefois, la qualité de ces derniers a fait un grand bon en avant. Il est nécessaire pour accompagner et supporter les demandes en termes de bande passante de plus en plus élevées.
Le SDI a été standardisé par le SMPTE, comme la plupart des formats audio et vidéo utilisés mondialement dans le broadcast. Il a eu comme vocation au départ de gérer la transition de l’analogique vers le numérique. En effet, l’analogique occasionnait des pertes, essentiellement à chaque copie. Alors qu’avec les liaisons numériques, les pertes n’existent plus.
Passer des liaisons RGB et YUV analogiques vers le numérique, cela correspondait globalement à passer du vinyle au CD. Les principes généraux du CD sont identiques à ceux du SDI : échantillonnage et quantification pour transformer des modulations analogiques en 0 et en 1.
Quels sont les avantages techniques de la connexion SDI ?
Le SDI se retrouve dans des environnements professionnels où la transmission vidéo de la plus haute qualité est attendue. Cela est dû à ses principales caractéristiques techniques qui rendent le SDI extrèmement robuste dans ses usages.
Vidéo non compressée : le SDI transmet un flux vidéo sans aucune compression, ce qui fait de lui une interface multimédia haute définition.
Correction d’erreur : le SDI intègre une correction d’erreur qui garantit que la transmission vidéo est aussi fluide et fiable que possible.
Faible latence : le SDI offre une faible latence, ce qui signifie qu’il y a très peu de retard entre le moment où un signal est envoyé et le moment où il est reçu. C’est primordial pour les diffusions live par exemple.
Transmission longue distance : le SDI peut transmettre des signaux vidéo sur de longues distances sans aucune dégradation de leur qualité.
Grâce à ses caractéristiques techniques, le SDI est la meilleure interface vidéo pour les applications professionnelles. Ses avantages le rende incontournable pour les applications critiques.
Quels sont les débits du format SDI ?
Lorsque le SDI a été officialisé en 1989, la haute définition n’avait pas encore été inventée. La première version du SDI offrait un débit de 270 Mbps, c’est-à-dire suffisant pour passer 576 lignes entrelacées (576i). Et puis il a évolué régulièrement depuis maintenant 30 ans, le débit ayant été multiplié quasiment par 100, sans changer de type de liaison :
1989
SD-SDI
270 Mbps
576i (SD)
1998
HD-SDI
1,485 Gbps
720p ou 1080i (HD)
2006
3G-SDI
2,970 Gbps
1080p60 (Full HD)
2015
6G-SDI
6 Gbps
2160p30 (4K/Ultra HD)
2015
12G-SDI
12 Gbps
2160p60 (4K/Ultra HD)
En cours
24G-SDI
24 Gbps
4320p30 (8K)
Comme vous le voyez, les différents évolutions du SDI contiennent depuis 2006 la référence au débit maximal dans leur intitulé : le 12G-SDI passe du 12 Gbps par exemple.
Dans sa version actuelle, le 12G-SDI est le plus couramment utilisé. Il est capable de transporter de la 4K sans compression avec un débit nécessaire inférieur au HDMI ou au DisplayPort. Par ailleurs, le format SDI transporte également l’audio, jusqu’à 16 canaux à 48 kHz. Pas de multicanal en haute définition Dolby/DTS, l’audio prend donc moins de place en SDI qu’en HDMI. C’est l’une des raisons pour lesquelles le SDI délivre une qualité d’image identique avec un débit inférieur.
En outre, le SDI transporte très peu de données en parallèle du son et de l’image : uniquement la détection d’erreurs (signal EDH) ou le VPID pour indiquer au récepteur le format vidéo transmis. Il n’y a pas d’Ethernet, de RS232, de retour audio ARC ou de CEC.
Comment est transporté le SDI ?
Le SDI transite par un moyen très simple et efficace, d’où son usage encore aujourd’hui. Le câble utilisé est coaxial avec une impédance de 75 ohms : il comprend une âme central et une masse périphérique prenant la forme d’une tresse. C’est classique et bon marché. Cela n’a rien à voir avec le DVI ou le HDMI bien plus complexes qui nécessitent de multiples micro liaisons dans une seule gaine. Pourtant, des qualités de transmission identiques peuvent être obtenues.
Le connecteur doit également présenter une impédance de 75 ohms. C’est le cas de la fiche BNC qui a aussi l’avantage d’être un connecteur à verrouillage. C’est primordial dans le broadcast pour éviter d’avoir à chercher pourquoi il n’y a plus d’image, juste parce que quelqu’un a marché sur un câble qui s’est débranché… Et puis il y a encore un autre avantage : le connecteur BNC s’installe facilement sur place au bout d’un câble nu déjà passé, sans soudure grâce à un simple sertissage.
Quelles longueurs de câble en SDI ?
Comme nous l’avons vu, le câble coaxial est beaucoup moins sensible aux parasites extérieur. Il offre donc la latitude d’utiliser de grandes longueurs. Celles-ci dépendent du débit SDI recherché mais surtout de la qualité du câble. Car tous ne sont pas égaux et ne vont pas aussi loin.
Par exemple, la distance peut aller du simple au double, de 50 à plus de 100 mètres par exemple. Cela dépend de la qualité du câble que l’on sélectionne. Quant au débit, il est quasiment identique pour supporter tous les formats grâce à la large bande passante des liaisons coaxiales actuelles. Cela signifie qu’un même câble transmet la 3G-SDI et la 12G-SDI quasiment sur la même distance maximale, à quelques mètres près.
Le SDI pour les applications grand public ?
Pourquoi le SDI n’a pas été appliqué au grand public s’il est si simple ? Car il est dénué de protection anti-copie via un lien physique, tout simplement. Il n’y a pas non plus de communication bidirectionnelle pour que la source reconnaisse l’afficheur et vice-versa. C’est ce que fait le HDMI pour faciliter la vie de monsieur tout-le-monde et le DisplayPort pour adapter la résolution des moniteurs informatiques. Bref, le SDI se destine exclusivement aux applications professionnelles.
Quelles applications AV professionnelles nécessitent du SDI ?
Comme nous venons de le voir, le SDI s’adresse aux professionnels par ses qualités et ses caractéristiques. On le croise aujourd’hui dans différentes types d’applications :
Diffusion et production télévisuelle : le SDI transmet les flux vidéo depuis les caméras vers la régie, les studios, les équipements de diffusion… Qu’il s’agisse du journal télévisé, d’événements sportifs ou de programmes live, le SDI garantit une qualité vidéo et sonore optimale tout au long du processus de production.
Événements en direct : les concerts, les conférences et autres événements en direct avec des écrans pour les spectateurs s’appuient sur le SDI pour transmettre des flux vidéo depuis les caméras. Un signal stable est essentiel pour offrir au public la meilleure expérience.
Imagerie médicale : les interventions chirurgicales et tout ce qui concerne la radiographie nécessitent une transmission vidéo précise et de haute qualité. La capacité du SDI à transmettre des signaux vidéo HD sans perte de détails le rend adapté aux équipements d’imagerie médicale.
Vidéoconférence : les entreprises peuvent utiliser le SDI pour les configurations de vidéoconférence afin de garantir que les participants visionnent des flux vidéo clairs et de haute qualité lors des réunions hybrides, ceci grâce à des caméras de conférence équipées en SDI.
Vidéosurveillance : les systèmes de sécurité tirent partie du SDI, car il transmet des vidéos claires sur de longues distances, ce qui permet aux opérateurs d’y accéder depuis les salles de contrôle. Le SDI est utilisé aussi bien pour les caméras que sur les écrans spécifiques à cette application.
Quelques exemples de produits en SDI
Les caméras SDI
Dans le catalogue des caméras AVer, bon nombre de références disposent d’une sortie vidéo 3G-SDI. Ces modèles sont principalement destinés aux grandes salles de réunion ou de conférence, leur flux peut ainsi rentrer directement dans une régie live.
Quant aux caméras haut de gamme Canon, telle que la CR-N700 utilisée sur les plateaux TV par exemple, elles proposent des sorties vidéo 12G-SDI.
Les interfaces SDI
Le SDI peut être le format d’entrée que l’on a besoin de transformer en HDMI par exemple. Ou bien, ce sera le contraire : une source d’un autre format doit devenir du SDI pour être transporté sur de plus grandes longueurs. Gefen propose ce type d’interface SDI à son catalogue, dans une direction ou dans l’autre.
La distribution SDI
Comme tout format vidéo, le SDI se centralise et se distribue. Il existe de petits boîtiers de distribution d’une entrée vers plusieurs sorties. On retrouve le SDI dans les matrices Lightware, essentiellement les gros modèles modulaires des séries MX et 25G avec cartes interchangeables. Cela permet à la fois de centraliser les sources et de transformer le format SDI dans un autre format pour le transport.
Les extenders SDI
Même si le SDI accepte de grandes longueurs de câbles, les limites peuvent vite être dépassées dans les stades ou sur les événements sportifs. En intérieur, on peut aussi souhaiter utiliser l’IP pour le transport. Différentes solutions existent chez MuxLab pour passer le SDI sur fibre optique, le seul moyen pour dépasser la centaine de mètres déjà réalisable avec un câble coaxial.
Les moniteurs avec entrée SDI
Pour afficher directement l’image des caméras de vidéosurveillance, une association avec les moniteurs AG Neovo de la série HX avec entrées 3G-SDI est tout à fait indiquée.
Les pupitres de réalisation
Afin de gérer les sources et les caméras dans le cadre des conférences ou du web streaming, les pupitres sont équipés d’entrées et de sorties SDI. C’est le cas des mélangeurs Roland à partir du milieu de gamme et au-dessus.
En conclusion
L’interface numérique série, ou SDI, est une technologie encore aujourd’hui à la pointe de la modernité, si bien qu’elle est utilisée sur à peu près tous les événements vidéo live de la planète. Initialement développé pour des applications vidéo professionnelles exigeantes, le SDI se retrouve sur les caméras de conférence ou de web streaming. Bien que différentes versions du SDI successives aient été développées au fil des ans, elles continuent à utiliser le même type de câble et le même connecteur depuis plus de 35 ans. Le 24G-SDI représente le futur du SDI avec le support de la 8K, toujours grâce à un simple cordon coaxial !
Avec Essential, Mago propose une solution de présentation simple que l’on peut ajouter à n’importe quel écran. Elle fonctionne sans fil et sans dongle afin de faciliter son utilisation. Mago Essential renferme les outils nécessaires pour le partage d’écran et la visioconférence, en association avec les plateformes les plus utilisées.
Une solution plug-and-play
Pour ajouter Mago Essential à votre salle de réunion, il suffit de brancher le petit boîtier Mago IoT. Celui-ci est un mini PC puissant ultra-plat, avec une empreinte minimale. Capable de gérer toutes les fonctionnalités grâce à son processeur Intel, sa faible consommation et son absence de ventilateur, il s’installe tout simplement derrière un moniteur, quel qu’en soit le fabricant.
Il se relie à lui en HDMI, avec une image en sortie en qualité 4K. Il joue le rôle de récepteur sans fil auquel vont pouvoir se connecter les appareils personnels des participants à la réunion : smartphone, tablette, ordinateur portable. Par ailleurs, en l’absence de WiFi il est possible de se connecter à Mago Essential à travers une connexion cellulaire 4G/5G. Le boîtier doit donc être connecté à Internet et au cloud Mago.
Connexion sans accessoire supplémentaire
Afin de partager l’écran de leur appareil, les participants à la réunion peuvent utiliser AirPlay, Google Cast ou Miracast mais aussi un simple navigateur Internet. Il n’y a donc aucun logiciel ni autre driver à installer. La connexion est simple, rapide et transparente. Les appareils Windows, Appel et Android sont compatibles.
Lorsque les appareils de plusieurs participants sont connectés, il est possible de diviser l’image et d’afficher le bureau de huit appareils simultanément. En outre, vous avez le choix de personnaliser le logo et l’interface que l’on voit ci-dessous aux couleurs de l’entreprise.
Mago Essential pour digitaliser les espaces de travail
En conclusion, Mago Essential participe à la digitalisation des espaces de travail en apportant le partage d’écran. Ceci fonctionne aussi bien pour les réunions en présentiel que pour les visioconférences avec Teams, Meet, Webex ou Zoom. Le Mago IoT étant connecté au cloud, il est possible d’en effectuer le contrôle et le suivi à distance.
La gamme Lightware TPN comprend des extendeurs AVoIP répondant à la norme SDVoE. A travers un réseau 10 GbE, ils assurent la transmission du HDMI 2.0 sans perte. Les modèles TPN gèrent également le KVM et le contrôle (IR, RS232). Afin de mettre en place un matriçage complet de sources et d’afficheurs, le contrôleur TPN-CTU-X50 est nécessaire.
Un serveur de contrôle SDVoE
Le TPN-CTU-X50 est une unité de contrôle pour la gamme d’extenders Lightware TPN AVoIP. Il doit être associé au minimum à un switch Ethernet 10 GbE standard. Celui-ci joue alors le rôle de matrice virtuelle du système. Les périphériques TPN connectés à ce switch deviennent des points d’entrée et de sortie.
Techniquement, le TPN-CTU-X50 exécute une instance de serveur de contrôle SDVoE. C’est grâce à elle que chaque extender TPN devient actif et accessible. La configuration s’effectue à l’aide de l’API ouverte SDVoE. Ainsi, tout autre appareil tiers prenant en charge l’API SDVoE peut être utilisé pour superviser la matrice virtuelle Lightware.
Un contrôleur doublé d’un automate LARA
Le contrôleur est également doté des fonctions d’automatisation Lightware Advanced Room Automation (LARA). On peut ainsi configurer chaque extender TPN sans avoir besoin de passer par l’API SDVoE. Avec un éventail de fonctionnalités en constante évolution, le contrôleur offre un moyen simple de pilotage via les ports GPIO, RS232 et capteurs intégrés, d’attribution des EDID ou encore des réglages des capacités HDCP des émetteurs TPN.
Pour faciliter cette configuration, une interface utilisateur graphique permet à l’intégrateur d’effectuer toutes les tâches nécessaires. Par ailleurs, le TPN-CTU-X50 peut être connecté à deux réseaux différents en parallèle : un pour la configuration et la supervision, un autre totalement étanche dédié au matriçage AVoIP.
Le TPN-CTU-X50 est le cœur d’une matrice AVoIP Lightware
Le Lightware TPN-CTU-X50 est le cerveau d’une installation de distribution SDVoE à partir des extenders TPN. Il gère le matriçage comme la configuration. En outre, il est conçu pour gérer de petits systèmes avec 50 points de terminaison TPN maximum.
La transmission d’un signal HDMI sur de plus ou moins grandes longueurs était une problématique qui a aujourd’hui beaucoup de solutions. Vous avez le choix entre des cordons optiques, des extenders ou de la vidéo sur IP. Chez Gefen, le GTB-UHD600-HBTL est un extender HDBaseT efficace, qualitatif et très peu encombrant.
Transmission HDMI 2.0 pleine bande
La référence GefenGTB-UHD600-HBTL se compose d’un boîtier émetteur et d’un boîtier récepteur. À eux deux, ils remplacent la liaison directe HDMI entre une source et un afficheur. Ainsi, on peut étendre la distance entre les deux à 40 mètres sans perte de qualité, ce qu’aucun cordon HDMI classique n’autorise.
Ces extenders respectent la norme HDMI 2.0 sans aucune perte. Cela signifie que le signal HDMI est transporté à 18,2 Gbps. L’Ultra HD avec HDR, à 60 Hz et en 4:4:4 est supportée sans problème, ainsi que la 4K DCI (4096×2160 pixels) pour les usages broadcast et cinéma. Il en va de même pour le son avec la transmission des flux audio multicanaux immersifs Dolby Atmos et DTS:X. La 3D comme le CEC font également partie des signaux compatibles.
Déport infrarouge et configuration Syner-G
L’émetteur et le transmetteur reçoivent les mêmes connecteurs. Sur l’émetteur se trouve l’entrée HDMI pour accueillir la source. Celle-ci ressort par le port RJ45 à relier en direct au port identique sur le récepteur. Gefen conseille Un câble réseau Cat5e ou supérieur. Grâce à la fonction « POL », un seul des deux boîtiers a besoin d’être alimenté via le transformateur 12V fourni. L’autre recevra l’alimentation à travers le câble réseau.
Les ports infrarouge sur chaque boîtier permettent de recevoir des commandes transmises de l’un à l’autre. Par exemple, le récepteur infrarouge connecté au boîtier près de l’afficheur pourra commander la source distante. Enfin, un port série Syner-G se destine à la configuration du boîtier via le logiciel Gefen dédié.
L’extender GTB-UHD600-HBTL transporte la 4K sans perte sur 40m
En somme, l’extender Gefen GTB-UHD600-HBTL est une solution de qualité pour le déport de la 4K avec HDR, CEC et Dolby Atmos. Via ces deux petits boîtiers, un seul ayant besoin d’être alimenté, on peut installer les sources loin des afficheurs sans aucune perte de qualité, jusqu’à 40 mètres de distance via un simple câble réseau point à point. C’est idéal lorsqu’il n’est pas possible de passer dans les gaines existante un cordon HDMI optique ou que l’option AVoIP est trop complexe ou onéreuse pour le projet.
Dans un précédent article, nous vous expliquions comment piloter les multiprises Netio. Elles existent sous différentes formes afin de superviser et gérer l’allumage et l’extinction de tous vos appareils audiovisuels. Il y avait 11 méthodes. Désormais, il y en a une de plus avec les claviers à boutons Stream Deck.
Les claviers à boutons dynamiques Elgato
Le fabricant d’accessoires informatiques Elgato est aujourd’hui reconnu pour ses innovants claviers à boutons Stream Deck. Chaque bouton est en réalité un petit écran entièrement paramétrable, en termes graphiques comme pour les commandes qu’il transmet.
Il est utilisé dans de nombreux environnements, aussi bien pour les graphistes, les streameurs que les monteurs vidéo. Mais il a également toute sa place dans le broadcast et les studios ou il sert de console de commande multiprotocoles. En effet, totalement ouverts, les claviers Stream Deck peuvent contrôler de nombreux appareils simultanément. Désormais, c’est le cas des multiprises Netio.
Une console de commande pour les multiprises
Il existe deux façons d’ajouter les commandes Netio à un clavier Stream Deck. Tout d’abord, le magasin d’extensions officielles d’Elgato propose un plugin Netio. Il suffit d’ajouter le plugin à son installation existante et les boutons pourront rejoindre le clavier avec les commandes d’allumage, d’extinction et de toggle pour chaque prise. Plusieurs commandes pour plusieurs prises peuvent être affectées à un seul bouton si besoin.
La seconde façon consiste à passer par l’outil externe Companion de Bitfocus. Il permet de décupler les capacités des claviers Stream Deck. Il existe ici aussi de nombreux plugins, plutôt orientés vers les professionnels, dédiés à l’intégration audiovisuelle et au broadcast. Avec Companion, le clavier peut être programmé via le réseau grâce à un logiciel bien plus évolué. Il peut aussi être connecté tout simplement à un Raspberry Pi, ce qui évite d’avoir besoin d’un ordinateur.
Les commandes des multiprises Netio sous la main avec les claviers Stream Deck
En bref, Netio s’intègre désormais à l’univers Stream Deck afin d’accéder facilement au contrôle des prises via des boutons personnalisables. C’est aussi une façon de s’intégrer avec d’autres équipements connectés pour créer une surface de commande complète pour l’AV, les prises, l’éclairage, etc. De plus, vous avez deux façons, une simple et une évoluée, d’ajouter Netio à un clavier Stream Deck.
Le moniteur tactile Huawei IdeaHub B3 se destine aux salles de réunion qui souhaitent un outil de travail collaboratif tout-en-un. Il embarque suffisamment de fonctionnalités pour couvrir les besoins habituels en termes de partage d’écran, de tableau blanc interactif et de visioconférence. Ceci sans nécessiter d’accessoires complémentaires.
Un moniteur, trois tailles d’écran
Le IdeaHub B3 existe en 65, 75 et 86″. Cela lui permet de rejoindre les petites comme les grandes salles de réunion. Son avantage principal est d’être tout-en-un. Il rationalise les équipements et simplifie le fonctionnement. Dans la salle, accroché tel un tableau au mur ou posé sur son trolley à roulettes, il reste discret et supprime la présence de tout câblage disgracieux.
A ce titre, sa connectivité est limitée avec une seule entrée HDMI. Il dispose également de quatre ports USB facilement accessibles, dont un USB-C en façade. Sa dalle tactile présente une latence imperceptible de 16 ms et deux stylets aimantés sont fournis. Il fonctionne sous HarmonyOS grâce à un processeur à huit cœurs accompagné de 8 Go de RAM. Il possède également un emplacement OPS pour installer Windows si besoin.
Des fonctionnalités qui font la différence
Afin de proposer un environnement de travail unique et unifié, les écrans IdeaHub B3 sont équipés de fonctionnalités complètes aussi bien matérielles que logicielles.
Bring Your Own Meeting
La caméra 4K, les 6 micros intégrés et les haut-parleurs peuvent être partagés avec l’ordinateur connecté à l’écran. Ainsi, n’importe quel logiciel de visio peut bénéficier de ces équipements présents dans le IdeaHub.
Intelligence artificielle
Le IdeaHub B3 est capable de recadrer automatiquement les intervenants sans distorsion d’image, de suivre la voix de la personne dans la salle en train de parler et d’afficher deux intervenants en même temps en mode « conversation ».
WiFi direct
Inutile de se connecter au réseau de l’entreprise, le IdeaHub B3 crée son propre réseau pour que les participants puissent partager sans fil l’écran de leur appareil vers le moniteur.
Multi-applications
Le IdeaHub B3 permet de partager l’écran en deux pour afficher simultanément deux applications différentes. Cela fonctionne également avec un même logiciel pour en afficher deux fenêtres différentes.
IdeaHub B3 : un moniteur collaboratif intelligent qui va à l’essentiel
En conclusion, le IdeaHub B3 est le moniteur collaboratif tout-en-un idéal pour les entreprises qui souhaitent aller à l’essentiel. En plus des fonctions attendues telles que le multitouch ou les annotations, il apporte le nécessaire pour pouvoir fonctionner de façon autonome dans le cadre de partage d’écrans et de visioconférence.
Grâce à la 4K et à des moniteurs toujours plus grands en salle de réunion, le multi-fenêtrage pour la collaboration devient plus facilement envisageable. Il pourrait même devenir essentiel en termes d’expérience de visualisation, pour des réunions toujours plus efficaces grâce aux outils audiovisuels modernes.
Améliorez l’efficacité et renforcez la collaboration
En face à face ou dans des sessions de réunion hybrides, les perticipants doivent se concentrer sur le partage d’informations provenant de multiples sources. Toutes ces fenêtres numériques sont représentées par l’ordinateur de la salle, les ordinateurs des intervenants, le système de visioconférence, un visualiseur, etc.
Pour dépasser le simple affichage avec la nécessité de basculer d’une source à une autre, il existe une autre solution. Les processeurs de multifenêtrage permettent de connecter et de visualiser simultanément plusieurs sources sur un seul écran. Cet écran correspond au moniteur de la salle, ou à un vidéoprojecteur. Tous les formats sont envisageable, y compris les nouveaux écrans 21/9e.
Cela signifie que tous les participants à la réunion peuvent collaborer et comparer l’écran de leur appareil personnel sans avoir à changer de connexion. De plus, il est assez simple de sélectionner n’importe quelle source et de la passer en plein écran en cliquant sur un bouton.
Multi-configurations
Grâce aux configurations de sources prédéfinies personnalisables sur le processeur, il est possible de concevoir des vues de sortie indépendantes. On peut passer du plein écran à un découpage avec 4, 5, 6 sources simultanées, et vice-versa. Les différentes sources n’ont pas forcément la même taille. Comme on peut le voir ci-dessus, on a deux grandes images en haut et trois petites en-dessous.
Le contrôle passe par un logiciel installé sur l’ordinateur du présentateur. Ou bien le processeur peut être piloté par un système tiers via l’écran de contrôle de la salle, voire un clavier à boutons. Il est ainsi facile de basculer d’une configuration de multi-fenêtrage à une autre.
Mais il existe également un mode automatique qui redécoupe l’affichage principal à chaque fois que l’on connecte une nouvelle source. Ainsi, l’organisateur n’a besoin d’aucune interface, tout se fait tout seul, ce qui est intéressant dans certains environnements.
Améliorez l’expérience visuelle avec le multi-fenêtrage
En résumé, le multi-fenêtrage facilite de découpage d’écran dans la salles de réunion, mais aussi dans l’éducation, le médical, l’affichage dynamique, etc. Partout où il est nécessaire de faire cohabiter plusieurs sources, sans dépendre d’une application spécifique ou d’un appareil propriétaire. Par exemple, les processeurs de multi-fenêtrage de tvONE acceptent jusqu’à huit sources en entrée, dans différents formats à composer soi-même via des cartes enfichables.
