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  • Câbles VGA, DVI, SDI, HDMI, DP, USB-C… On vous explique tout !

    Câbles VGA, DVI, SDI, HDMI, DP, USB-C… On vous explique tout !

    Câbles VGA, DVI, SDI, HDMI, DP, USB-C... On vous explique tout !

    Il existe de nombreuses manières de connecter des sources vidéo à un moniteur ou à un vidéoprojecteur de nos jours. Mais cette multitude de choix peut rapidement devenir un casse-tête étant donné le nombre de ports et de connecteurs devenant obsolètes avec le temps. Et donc au final ? Quelles sont les différences entre toutes ces connexions ? Laquelle doit-on privilégier ? Explications !

    Les câbles VGA

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    Le Video Graphics Array, plus connu sous l’acronyme VGA, est le type de connexion standard le plus ancien que nous connaissons. On pouvait le trouver partout à l’époque de la vidéo analogique. Développé à l’origine par IBM, et commercialisé en 1987 pour la première fois, cette norme a été largement utilisée pour les cartes vidéos, les téléviseurs, les ordinateurs fixe et portables, et les moniteurs.

    La résolution peut aller jusqu’à 640×480 pixels avec 16 couleurs, ou bien 256 couleurs en baissant la résolution à 320×200. Cette résolution est d’ailleurs connue sous le nom de mode 13h et correspond à la résolution utilisée pour le démarrage de votre ordinateur lorsqu’il est en mode sans échec. Il a été utilisé couramment dans les jeux PC de la fin des années 1980 et jusqu’en début 1990. Autant dire que tous les jeux dit d’arcades étaient concernés.

    La particularité du câble VGA est qu’il peut transporter des signaux vidéo répartis sur les cinq canaux RGBHV : Rouge, Vert, Bleu, synchro Horizontale et synchro Verticale. Le connecteur VGA se compose de 15 broches que l’on décompose en trois rangées de cinq broches, et généralement de couleur bleue. De chaque côté de la prise on retrouve deux vis permettant ainsi de fixer solidement le câble à l’appareil concerné.

    Aujourd’hui, il est rarement utilisé et est considéré comme ancien, puisque remplacé par les câbles numériques DVI, DisplayPort et HDMI.

    Les câbles RCA

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    Vous connaissez certainement ces fameux câbles rouge, blanc et jaune ! Il était autrefois le type de connexion le plus populaire pour les dispositifs visuels et audio. Vous savez, ceux que vous retrouviez derrière vos écrans de télévision cathodiques.

    L’appellation RCA fait référence à des connecteurs en métal à l’extrémité des câbles qui trouve son origine dans le nom Radio Corporation of America, l’initiateur de cette connexion. Les câbles rouges et blanc correspondent à l’audio quand le câble jaune correspond quant à lui à la vidéo. Utilisés ensembles, ils permettent donc de transmettre l’audio stéréo et la vidéo jusqu’à 480i ou 576i (le « i » fait référence ici à « Interlaced video », ou vidéo entrelacée).

    Mais comme le VGA, les câbles RCA ont été remplacé petit à petit par les liaisons numériques pour disparaître totalement aujourd’hui.

    Les câbles SDI

    La version professionnelle du câble RCA correspond au câble coaxial terminé par des prises BNC. Il utilise le standard SDI. Ces câbles utilisés depuis très longtemps fonctionnaient à l’origine en analogique. Puis ils sont passé au numérique, toujours sur le même câble. La norme SDI évolue avec des débits équivalents à ceux du HDMI ou du DisplayPort. Pour cela, il faut des appareils compatibles, un câble coaxial de qualité et des terminaisons parfaitement réalisées.

    Le SDI est utilisé principalement dans le milieu broadcast car il est immunisé aux interférences et autres parasites. De plus, il fonctionne sur de très grandes longueurs. Enfin, le connecteur BNC à verrouillage assure une fiabilité totale en évitant tout débranchement intempestif.

    Le SDI est de moins en moins présent, remplacé par les autres types de câbles numériques ci-dessous.

    Les câbles DVI

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    Près de 10 ans après l’apparition du VGA par IBM, le groupe lance son successeur en 1999 : le DVI. La nouvelle connexion Digital Visual Interface permet de transmettre la vidéo numérique non compressée via l’un des trois modes différents suivant :

    • DVI-I (Intégré), il combine à la fois numérique et analogique dans le même connecteur
    • DVI-D (numérique), il prend en charge les signaux numériques uniquement
    • DIV-A (analogique), il prend en charge l’analogique uniquement

    Les modes DVI-I et DVI-D quant à eux peuvent être de deux types : mono ou dual-link. Le mono peut supporter les résolution jusqu’à 1920 x 1200p à 60Hz, tout en ajoutant un deuxième émetteur numérique. Le Dual-link quant à lui permet d’augmenter la résolution jusqu’à 2560 x 1600p à 60Hz. Développé pour parer à l’obsolescence du VGA, le DVI permet de conserver les connexion analogique via le DVI-A, et peuvent même être rétro-compatibles avec les connexions VGA !

    Et après le DVI, je demande le mini-DVI !

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    Vous ne voyez pas ? Il s’agissait pourtant de la connexion des ordinateurs Apple jusqu’en 2008. A la place du mini-VGA, ils ont donc développé le mini-DVI pour l’inclure dans les iMac et MacBook. Il ne permet pas de prendre en charge les connexions dual-link et se limite donc à des résolutions de 1920×1200 pixels. Depuis son arrêt en 2008, le mini-DVI a été remplacé par le mini-DisplayPort.

    Les câbles HDMI

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    Le câble High Definition Media Input permet le transfert de vidéo propriétaire, mais on ne vous le présente plus étant donné son succès. Créé par un groupe de fabricants de produits électroniques, tels que Sony, Sanyo ou encore Toshiba, il permet de transférer la vidéo et l’audio non-compressé pour les ordinateurs, les téléviseurs, les lecteurs DVD/Blu-Ray, etc.

    La norme HDMI évolue régulièrement et nous en sommes à la version 2.1. Cette dernière permet la prise en charge de la 8K non compressée à 48 Gbps, ainsi que l’audio en haute résolution en 24 bit à 192kHz. Les versions inférieures encore largement utilisées sont compatibles avec la 4K et l’UHD. L’HDMI utilise par ailleurs les même formats vidéo standard que le DVI et permet donc la compatibilité avec ce dernier. Et puisque aucune conversion de signal n’est nécessaire, il n’y a pas non plus de perte de qualité !

    Saviez qu’il existe trois connecteurs HDMI ?

    • Le HDMI classique (type A) est utilisé sur la plupart des produits audiovisuels, sources comme afficheurs,
    • le Mini-HDMI (type C), correspond à la connexion utilisé sur les ordinateurs portables et les tablettes,
    • le Micro-HDMI (type D) quant à lui est utilisé principalement sur les appareils mobiles ou les caméras.

    Les câbles DisplayPort

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    Il s’agit d’une interface d’affichage numérique développé par la VESA (Video Electronics Standards Association). Elle sait transporter la vidéo et l’audio numérique, ce qui le rend similaire au HDMI. Toutefois, le DisplayPort est réservé au monde informatique et aux appareils professionnels. Il n’est jamais utilisé sur les téléviseurs et autres appareils grand public.

    Le DisplayPort 1.4 permet de transporter les signaux jusqu’à la 8K (7680 x 4320p) à 60Hz. Il est notamment possible de connecter ensemble des périphériques DisplayPort et HDMI via un adaptateur Dual-Mode.

    Et son petit frère ? Le Mini DisplayPort ?

    Comme nous l’avons vu avant avec le mini-VGA, c’est Apple qui a créé ce format de connexion et qui a donc été remplacé par le mini-DVI. Mais même si c’est à Apple que l’on doit cette innovation, c’est la VESA qui l’a introduit sur le marché en 2009. Il a par la suite été largement utilisé dans le monde Windows, essentiellement sur les ordinateurs portables.

    Lire aussi : HDMI vs. DisplayPort : quelles différences, quels usages ?

    Les câbles Thunderbolt 2

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    Thunderbolt est une interface utilisée pour connecter des périphériques à un ordinateur. Il a été initialement développé par Intel sous le nom de Light Peak avec des câbles optiques utilisés pour le transfert de données, d’où son nom. Après des tests approfondis, Intel a constaté qu’ils pouvaient faire moins cher avec des câbles en cuivre sans affecter les performances. Cette fois-ci Apple n’a rien à voir avec la création de la connexion, mais il est le premier à avoir introduit le Thunderbolt via ses ordinateurs portables MacBook en 2011.

    Et le plus important dans tout ça, c’est que la connexion Thunderbolt est rétro-compatible avec le Mini DisplayPort car elle utilise le même connecteur. La différence se situe au niveau du petit logo : les câbles Thunderbolt ont forcément un petit éclair qui les caractérise. Ce type de connexion permet une vitesse élevée de transfert de données au taux de 20Gb/s.

    Avec l’utilisation d’un port Thunderbolt, il est possible de connecter jusqu’à six périphériques grâce à un branchement en cascade, ce qui réduit la quantité de ports nécessaires sur un périphérique.

    Les cables USB-C

    L’USB-C est un connecteur informatique qui remplace l’USB-A. Il est plus compact et n’a pas de sens, contrairement à l’USB classique. L’USB-C permet donc le transfert de données entre un équipement et un ordinateur. Il est également capable d’intégrer le standard DisplayPort. A ce titre, un câble USB-C peut être un câble uniquement vidéo. Attention, la longueur est limitée à moins de deux mètres et la qualité de fabrication doit être au rendez-vous.

    USB-C et Thunderbolt 3

    Chez Apple, l’USB-C s’appelle Thunderbolt 3 et maintenant Thunderbolt 4, avec l’usage d’un connecteur identique. Le Thunderbolt 3/4 permet d’augmenter le débit jusqu’à 40Gb/s.

    Il existe différents types de câbles USB-C/Thunderbolt 3/4 qui n’ont pas tous la même fonction ni les mêmes capacités :

    • données uniquement,
    • vidéo uniquement (standard DisplayPort),
    • données & vidéo,
    • recharge d’appareil uniquement, car le câble USB-C peut aussi être un câble d’alimentation.

    Lire aussi : Les avantages et les contraintes de l’USB-C

    Les câbles Ethernet

    Il ne vous aura pas échappé que la totalité des câbles listés précédemment peuvent être remplacés par un seul et unique modèle : le câble Ethernet. Grâce à la transmission audio/vidéo sur paires torsadées ou sur IP, le câble réseau basique offre exactement les mêmes capacités, le côté pratique en plus.

    Tous les câbles vidéo ont une longueur limitée, très limitée pour les plus performants, de l’ordre de deux mètres maximum. Tandis que le câble réseau autorise des liaisons jusqu’à 100 mètres sans aucun problème. La connectique est simple, les câbles peuvent être terminés sur place avec des outils que possèdent tous les électriciens.

    Le câble réseau pour la vidéo est utilisé de deux façons possibles :

    • point à point – utilise les paires torsadées, comme le HDBaseT par exemple
    • multipoints – utilise la technologie IP des réseaux informatiques, comme le NDI ou le SDVoE par exemple

    1 Gb ou 10 Gb ?

    Afin de faire passer le débit nécessaire sur les câbles réseau en mode IP, il faut tabler sur un réseau 1 Gigabit Ethernet. Cela permet de faire passer la Full HD ou la 4K compressée. Pour de la Full HD non compressée, un réseau 2×10 Gb sera nécessaire ou bien il faudra passer sur de la fibre optique. Mais c’est une autre histoire !

    Lire aussi : Le HDBaseT c’est quoi ? Ou comment transmettre le HDMI sur un câble réseau

  • 40 ans dans l’audio, ça donne quoi ?

    40 ans dans l’audio, ça donne quoi ?

    Vous voulez avoir un petit aperçu de ces 40 dernières années dans l’audio ? « What Hi-Fi? » vous donne la réponse !

     

    A l’occasion de leur 40 ans, le site What Hi-Fi? propose donc une version française de l’évolution de l’audio. Vous êtes prêt pour un voyage dans le temps ?

    Mais au fait, What Hi-Fi, c’est quoi ?

    Il s’agit en fait d’un magazine (papier et digital) dédié à l’audio concernant la découverte des dernières nouveautés et les tests sur ces dernières. Ils ont notamment créé les What Hi-Fi Awards, décernés chaque année au matériel audio qui aura réussi à complété tous les critères de sélection.

    Équipés de plusieurs salles de tests, autant dire qu’ils inspectent chaque élément technique, chaque centimètre du matériel qui passe entre leurs mains !

     

    Alors si vous aimez la nostalgie, allez tourner les pages du n°149 ! Il vous rappellera certainement des souvenirs !

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  • Avant le vidéoprojecteur, il y avait quoi ?

    Avant le vidéoprojecteur, il y avait quoi ?

    Si aujourd’hui vous êtes habitué au vidéoprojecteur, avant, projeter du contenu nécessitait un matériel adapté et spécifique. Alors aujourd’hui, nous avons envie de faire une petit retour dans le temps et de constater l’évolution de ces appareils. Pour certains, cela rappellera des souvenirs, et pour d’autres, un peu d’histoire ça ne fait pas de mal !

     

    Les origines ?

    Les jeux de lumières, les prismes, les miroirs magiques, les microscopes, et même le Fantascope sont des facteurs qui ont permis l’évolution des technologies de projection.

    Depuis 1550 et Nostradamus, la science s’est intéressée à la projection des images et c’est ce qui a permis de créer les prémices de ce que nous connaissons aujourd’hui.

     

    Les premiers projecteurs.

    Même si la projection s’est développée depuis 1550, les projecteurs eux n’ont vu le jour que bien plus tard. A l’époque, la projection ne nécessitait pas de matériel bien spécifique puisqu’elle était surtout effectuée avec des lanternes.

    Le premier projecteur fut créé par Eugen Bauer en 1907, il a donc 109 ans ! Destiné aux films de format 35mm et équipé d’un entrainement à croix de malte, d’une manivelle et d’une lampe à lumière froide, c’était une invention spectaculaire pour l’époque ! Le deuxième voit le jour seulement 3 ans plus tard. En 1910, il est désormais doté d’un entraînement électrique, d’une lampe à arc avec électrodes de charbon et de tambours clos anti-incendie. Une véritable évolution par rapport à son petit frère en matière de maniabilité et de sécurité !

    D’abord en laiton, ils sont rapidement remplacer par de l’acier (juste avant la première Guerre Mondiale). Et dès 1919, Bauer commercialise son projecteur M5. Et dès 1925, la firme Bosch sort un projecteur, et un seul opérateur suffit donc à manipuler deux projecteurs en continu. Et c’est le début d’une longue évolution des projecteurs.

    On passe du cinématographe au projecteur à pellicule, pour finir par les projecteurs que l’on connait. Et ça c’est bien sûr sans compter les rétroprojecteurs dédiés à une autre application que celle du cinéma.

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    Les rétroprojecteurs.

    Ils ont vu le jour un peu avant les projecteurs, à savoir au 19ème siècle. Certains accessoires peuvent se placer sur les projecteurs de l’époque pour dévier le rayon lumineux verticalement avant de le renvoyer à l’horizontal vers un écran. Vient ensuite l’épiscope (1921) un appareil qui permet de projeter l’image de documents opaques.

    En 1935, un autre type d’appareil voit le jour : l’appareil de projection d’écriture, dans le but de mettre fin aux tableaux à craies. Et nous arrivons tout doucement à ce que nous avons connu à l’école : l’omniscope.

    Muni d’une lampe à miroir dont la lumière est dirigée à la verticale vers un condensateur, et d’une plaque de verre sur laquelle on pose le « transparent » de rétroprojection, il a été créé dans les années 60. Mais ils sont progressivement remplacés par des écrans plats ou des vidéoprojecteurs. C’est vrai que préparer un transparent pour chaque sujet sans compter la taille imposante de ces appareils ne permettaient pas une flexibilité accrue.

    Si vous souhaitez décortiquer davantage l’évolution de la projection et de la rétroprojection par chronologie c’est par >> ici <<

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    Et aujourd’hui ?

    Vous le savez certainement, les vidéoprojecteurs ont continué d’évoluer, et font l’objet de mises à jour quasi permanente en fonction des nouvelles technologies qui sont créées (4K, 3D, etc.). Mais et les rétroprojecteurs dans tout ça ? Et bien en tant que tel, ils n’existent plus vraiment, on trouve à la place des visualiseurs, des appareils beaucoup moins encombrant et qui permettent de « rétroprojeter » des contenus provenant de livres ou de documents physiques.

    Mais pourquoi conserver vidéoprojecteurs ET visualiseur me direz-vous ?

    Et bien tout simplement parce que ces deux appareils se complètent. Là ou le vidéoprojecteur ne permet de projeter que du contenu numérique, le visualiseur quant à lui permet de projeter du contenu physique (qu’il n’a pas été possible de numériser, ou qui n’est pas encore numérisé).

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    Christie, Optoma, Kindermann, etc. sont des fabricant de vidéoprojecteur assez connu, mais connaissez vous un fabricant de visualiseur ? Allez on vous donne la réponse : Qomo.

     

    Et vous, quels sont les plus anciens rétroprojecteurs et vidéoprojecteurs que vous ayez connu ?

  • L’AV se fait remarquer dans les salles de réunion !

    L’AV se fait remarquer dans les salles de réunion !

    On sait tout ! Vous êtes plus de 50% a affirmer utiliser les salles de réunion plus fréquemment depuis 2 ans, en tout cas c’est ce que révèle l’étude menée par Futuresource Consulting sur l’utilisation des salles de réunions en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis.

    Avec plus de 5 millions de salles de réunions en Europe de l’ouest et en Amérique du Nord pour environ 31h de réunion par mois, c’est à peu près 3 heures et 7 minutes par jour.

    Alors pourquoi est-ce l’on organise plus de réunion ?

    Premièrement, ce sont les innovations technologiques qui facilitent davantage les réunions, avec des écrans tactiles, des vidéoprojecteurs, des interfaces adaptées ou encore des moniteurs intégrés, il est de plus en plus facile de partager du contenu et des informations à ses collaborateurs. Et deuxièmement, c’est la volonté de réunir ses collaborateurs, même à distance grâce aux équipements de vidéo conférence.

    Nous serions plus de 26% à utiliser tablettes et smartphones pour partager du contenu, et plus de 30% des entreprises concernées prévoient d’investir dans de nouvelles technologies pour leurs salles de réunion.

    Mais l’équipement n’est pas la seule raison, les entreprises se digitalisent toujours plus, et près de 50% des employés interrogés ont déjà été assigné à l’installation et l’utilisation de matériel digital et vidéo, dans le but d’inclure davantage les collaborateurs éloignés.

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    Du matériel obsolète ?

    L’avantage de l’utilisation plus fréquente des salles de réunion et de leur digitalisation, c’est aussi la prise de conscience de l’équipement nécessaire. La technologie et l’audiovisuelle est en constante évolution et propose des solutions toujours plus innovantes, et les entreprises s’en aperçoivent et changent ainsi plus régulièrement leur matériel devenu quelque peu obsolète ou ne répondant plus à leurs besoins.

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    Et quand il n’y a pas de réunion ?

    Il est tout à fait possible que les salles de réunions se trouvent « inoccupées », mais la raison d’être de ces salles ne s’arrête pas là ! Quand on parle de partage de contenu, on parle aussi de collaboration, et le travail collaboratif est une autre raison de l’occupation de ces salles.

    Vous l’aurez donc compris, bien équipé sa salle de réunion, ce n’est pas uniquement pour faire des réunions, mais pour permettre un partage de contenu et d’information plus efficace !

     

    Et vous, a quoi ressemblent vos salles de réunion ?