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  • Installation CEDIA : intégration discrète

    Installation CEDIA : intégration discrète

    L’approche de la conception de ce système tourne entièrement autour de la mise en œuvre discrète de tous les composants électroniques. L’architecture et le design intérieur étaient l’objectif principal à chaque étape tout au long du projet. Ce projet d’ Electronic Living a remporté le prix de la meilleure installation intégrée résidentielle lors des 2014 CEDIA Asie-Pacifique Awards.

    Les Systèmes

    Un système Clipsal C-Bus contrôle la gestion de l’énergie de l’éclairage et des appareils motorisés dans la maison, y compris l’automatisation des événements prédéfinis prévus tels que le contrôle des scénarios d’accueil et de l’extérieur. Divers sous-systèmes de la maison sont parfaitement contrôlés via une combinaison de deux dispositifs fixes et portables iOS fournissant au propriétaire une interface de contrôle personnalisée sur une plate-forme unique intuitive via le système Savant.

    La conception acoustique pour le home cinéma a pris en compte une multitude de facteurs de performance, y compris la surface micro-perforée de l’ écran, le positionnement des haut-parleurs, les places assises, et le placement de traitaments acoustique. Le calibrage de l’ Audio a été optimisé en utilisant un processeur DATASAT RS20i, qui intègre une chambre Dirac d’égalisation. Des Subwoofers Dual JL Audio ont été utilisés dans la salle pour assurer une distribution uniforme des basses à toutes les positions d’écoute.

    L’accès aux locaux se fait sans clé sur tous les principaux points d’entrée et atténue la nécessité de porter des clés encombrantes. Il permet également aussi l’accès sécurisé et contrôlé pour les femmes de ménage et le personnel de maison qui circulent régulièrement dans la maison sur une base continue.
    La maison est hautement sécurisée, car elle inclut le suivi de tous les mouvements par caméras de surveillance HD. Ces caméras enregistrent les mouvements et peuvent être accessibles via tous les ordinateurs, les téléviseurs et les appareils iOS dans la maison. En outre, le propriétaire dispose d’un accès complet à toutes les fonctions de la maison par l’intermédiaire de l’interface utilisateur Savant à partir de tout emplacement hors site.
    Les principaux racks d’équipement accueillent tous les composants nécessaires, qui sont ensuite distribués à toutes les zones audio / vidéo à partir d’une salle de communication dédiée située au sous-sol.
    La ventilation mécanique est contrôlée par thermostat et assure à tout l’équipement de rester à des températures en exploitation réglementées, l’amélioration de sa longévité et de sa fiabilité. Le rack de 45RU sur roulettes robustes, dispose d’une gestion extensive des câbles à l’arrière et l’étiquetage, permettant un accès facile à tous les composants pour l’entretien et la maintenance.

    Défis

    Electronic Living a travaillé dur pour atténuer les défis en aval grâce à des processus internes, à l’utilisation de leur centre d’essais dédié, et leur programme d’assurance qualité. Cependant, rester au top des modifications de conception et des ajouts au champ de l’éclairage signifiait garder une relation très étroite avec l’électricien et l’équipe de conception à tout moment. L’ampleur de la maison signifie que toutes les modifications ont été importantes et complexes.

    Les Drivers de LED utilisés dans le projet varient de magnétique à électronique 0-10Volt. Faire les bons choix signifiait des tests rigoureux sur place pour obtenir le match correct pour chaque type de pilote et le module de variation, comme il était primordial que chaque circuit d’éclairage soit compatible avec le système d’éclairage C-Bus spécifié par l’équipe Electronic Living.

    Solutions environnementales

    Le système C-Bus a été programmé pour seulement atteindre 90% maximum de luminosité à un moment donné, et des capteurs de présence ont été utilisés dans plusieurs zones pour faciliter davantage la consommation de moins d’énergie et réduire l’empreinte environnementale de cette propriété riveraine. Ceci, couplé avec l’utilisation de lampes économes à énergie LED, permet au système d’éclairage d’être conforme à l’article J du code du bâtiment. Les Stores motorisés ont également été programmés sur des minuteries pour ouvrir/fermer automatiquement  à des heures pré-sélectionnées de la journée pour réduire la puissance de la consommation par les systèmes de climatisation de la maison.

    Pour découvrir d’autre belles installations rendez vous sur le site du CEDIA

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  • Des centaines d’objets connectés dans nos futures maisons

    Des centaines d’objets connectés dans nos futures maisons

    Selon le cabinet d’études Gartner, la maison connectée n’en est qu’à ses prémices. Si les sommes dépensées par Google pour acquérir Nest (3,2 milliards) et Dropcam (555 millions) peuvent laisser penser que la domotique atteint enfin sa vitesse de croisière, les acquisitions successives, comme celle de SmartThings par Samsung, témoignent de la consolidation du marché. La maturité de ce segment ne devrait arriver qu’à partir de 2020 selon Gartner, bien aidée par le renouvellement progressif des équipements électroménagers et multimédias.

    D’après Gartner donc, la maison connectée ne sera pas une réalité avant l’horizon 2022. Et seulement à condition que les industriels se mettent d’accord sur des standards techniques communs. A cette date, toujours selon le cabinet d’étude, un foyer moyen contiendra environ 500 objets connectés! On les retrouvera un peu partout : télévisions connectées, consoles de jeux, appareils électroménagers connectés, transports intelligents, santé connectée, accessoires de fitness, montre connectée, etc. Finalement, la maison se révèle être le point de rencontre de la plupart des accessoires appartenant à l’internet des objets.

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    Le prix des communications M2M chute rapidement :

    Grâce aux opérateurs bas débit comme Sigfox ou Matooma, le prix des communications Machine-to-Machine est promis à décroitre rapidement pour atteindre un coût marginal. Mais le prix des accessoires eux-même tend aussi à diminuer rapidement : les composants sont facilement accessibles, les technologies interopérables (la plupart) et des standards communs devraient rapidement émerger. Ansi, dans son étude Gartner prévoit que le prix de ces capteurs connectés devrait avoisiner 1 dollar en moins de 10 ans ; Nick Jones, VP et Analyste chez Gartner, explique :

    « Nous nous attendons à ce qu’un large éventail d’équipements domestiques deviennent ‘intelligents’ […] le prix sera rarement inhibant puisque le coût de l’internet des objets devrait permettre à ces produits d’afficher des prix proches de un dollar à long terme »

     maison-connectee

    La structure de coûts change les business modèles :

    Pour Gartner, les technologies sans-fil telles que le WiFi, le Bluetooth LE, le ZigBee, etc vont toutes cohabiter au sein de la « maison intelligente » du futur. Les appareils seront capables d’interpréter plusieurs protocoles et de restituer leurs informations de sortes qu’elles soient intelligibles par le maximums d’autres objets connectés. En pratique, cela devrait aboutir à de nombreuses économies pour les français. Notamment parce que les ménages auront le contrôle de leur consommation en temps réel : compter les capsules de café, alerter lorsque le sac de l’aspirateur est plein ou lorsqu’on aliment approche sa date de péremption, concourront à la diminution des gaspillages.

    De nouveaux business modèles vont ainsi émerger afin de combiner les produits innovants à des services nouveaux, constituant de véritables offres de rupture. La collecte d’informations personnelles sur les usages domestiques devrait donc logiquement se généraliser mais leur analyse à l’échelle du Big Data demeure un enjeu non maitrisé à ce jour.

    source : Connected Objects

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  • Hometweethome : la maison qui tweete

    Hometweethome : la maison qui tweete

    Truffée de capteurs par son propriétaire passionné de domotique, la première maison de France entièrement connectée, réagit selon les événements et communique sur sa « vie » via le réseau social twitter.

    Deux étages, un garage en désordre, trois enfants qui courent dans le jardin et des gâteaux qui cuisent dans le four : la maison de la famille Spiquel ressemble à beaucoup d’autres. Impossible de deviner qu’elle passe ses jours et ses nuits à tweeter, à Joigny, une petite ville de 10 000 habitants en Bourgogne.

    @Hometweethome. Crédit photo: Anaïs Moutot.@Hometweethome. Crédit photo: Anaïs Moutot.

    @HomeTweetHome est prolixe : depuis l’ouverture de son compte, le 20 janvier 2013, elle a envoyé plus de 4 000 tweets à ses 248 abonnés. Chaque matin, aux alentours de 6 heures, elle tweete « Caféééééé » pour encourager le père, Bruno Spiquel, à se lever. Quand il sort de la salle de bain, elle le prévient qu’elle aère un peu la pièce parce qu’elle est trop humide. Si « un type tripote la sonnette », la maison envoie toute seule « Ça me fait flipper ! Au secours @KatSpi!! », le compte Twitter de l’épouse. Elle indique aussi que le facteur est passé, qu’il faut sortir la poubelle ou qu’il y a du monde dans le garage.

    Compte Twitter d'@HomeTweetHome. Capture d'écran.

    Partout dans la maison, des « capteurs de comportements » ont été installés. Ils détectent l’ouverture ou la fermeture des portes et fenêtres, enregistrent les températures intérieure et extérieure, puis transmettent ces données à un serveur situé dans un local technique au sous-sol. La sonnette et la boîte aux lettres sont également connectées. Bientôt, les mouvements, la luminosité et l’humidité seront aussi détectés par d’autres types de capteurs.

    Capteur de température dans la cuisine. Crédit photo: Anaïs Moutot.

    Arborant un T-shirt « La Quadrature du Net », l’association de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet, dont il fait partie, une cigarette roulée aux lèvres, Bruno Spiquel, 37 ans, est un géant aux allures de Géo Trouvetou, l’inventeur prolifique de choses pas toujours utiles chez Disney. Il dit être tombé dans la marmite de l’informatique dès l’âge de 9 ans.  Spécialiste des réseaux, fondateur de sa propre société de conseil en création et hébergement de sites, il a conçu l’infrastructure du dispositif tout en retapant sa maison, il y a deux ans. Son épouse, Catherine, n’a eu qu’une requête : que les fils reliant les capteurs au serveur ne soient pas apparents. Il a donc construit un second mur autour de la maison afin d’y enserrer 3,5 kilomètres de câbles.

    La salle technique du sous-sol. Crédit photo: Anaïs Moutot.La salle technique du sous-sol. Crédit photo: Anaïs Moutot.

    Mode de vie automatisé

    Bruno Spiquel dit avoir eu envie de « relever un défi technologique », tout en étant guidé par par « un brin de conscience écologique ». Aux Etats-Unis, quelques technophiles ont déjà fait tweeter leurs maisons, mais en France, @HomeTweetHome est la première. L’objectif déclaré est d’« analyser comment fonctionne la maison pour anticiper son mode de vie et la rendre efficace ».  La maison doit être capable de se poser des questions comme « quel est le temps optimal d’aération de la salle de bain pour évacuer l’humidité sans perdre trop de chaleur ? » et d’y répondre toute seule.

    Dans ce dispositif, tout peut être réglé au degré Celsius près : à 6 h 30 du matin, il doit faire 19 °C dans la chambre des parents, 18 °C à 9 heures, puis 19° C à nouveau à 22 heures, mais 20 °C à 20 heures dans la chambre des enfants, car ils se couchent plus tôt.  Les volets, eux, se ferment automatiquement si quelqu’un éteint la lumière dans le salon à partir de 22 heures.

    Ce mode de vie automatisé comporte une part de souplesse. La maison peut être pilotée à distance, de Paris ou New York, à toute heure du jour ou de la nuit, grâce à une application pour smartphone. Le couple Spiquel peut décider qu’il fera 30 °C dans une pièce ou éteindre sous la couette les lumières qu’ils ont laissées allumées dans le salon… « C’est aussi un dispositif pour flemmards », admettent-ils. Ils le voient comme « très pratique », alors que les grand-parents le considèrent comme «très compliqué »« Ma mère a peur de venir ici s’occuper des enfants, elle demande où est le mode d’emploi », ironise Bruno Spiquel.

    L'application qui permet de gérer les paramètres de la maison. Crédit photo: Anaïs Moutot.

    Jusqu’où aller dans l’intimité ?

    Bruno Spiquel a conscience que « cette culture pourrait s’apparenter à du flicage ». Il assume d’être perpétuellement géolocalisé dans la colonne de droite de son application et de rendre toutes ces données privées accessibles à tous sur Twitter.« Je veux que les gens se questionnent sur ce qu’ils donnent à voir de leur vie privée sur Internet avec la domotique. Je ne montre qu’une toute petite partie des données enregistrées et ça fait déjà flipper les gens », assure-t-il.

    Bruno Spiquel, créateur de @Hometweethome. Crédit photo: Anaïs Moutot.

    Bruno Spiquel affirme que son infrastructure protège mieux ses données personnelles que la majorité des équipements de domotique, qui  fonctionnent grâce à une box connectée à un serveur extérieur via le Wi-Fi. Celui qui pirate ce serveur pourrait avoir accès aux données de milliers de foyers, met en garde Bruno Spiquel, qui prend l’exemple des serrures électroniques« En s’emparant du serveur qui gère toutes ces serrures, le pirate peut pénétrer chez tout un tas de gens », dit-il. Chez lui, l’interception des données est rendue plus difficile par le choix d’une infrastructure classique avec des fils et la création d’un serveur pour une seule maison. « Mes données ne finissent pas dans le cloud, je reste maître de ce que je partage sur le réseau », estime-t-il.

    C’est lui qui décide ce qui est twittable ou non, et donc jusqu’où peut aller l’intrusion dans l’intimité. Au début de l’expérience, un tweet partait chaque fois que la lumière des toilettes s’allumait… Sa femme lui a demandé de désactiver cette fonction. Bruno Spiquel s’est aussi refusé à installer des caméras, à cause de ses enfants, « encore trop petits pour protester ». Et quand ils deviendront adolescents ? Il sourit : « J’espère bien qu’ils pirateront la maison. Le dispositif reste ouvert et modifiable à tout moment ».

    source : Anaïs Moutot (Monde Académie)

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  • 10 objets connectés pour une maison intelligente

    10 objets connectés pour une maison intelligente

    Cnet a fait le point sur les objets connectés repérés au CES : du capteur pour plantes vertes à la sonnette intelligente dont nous avons déjà parlé (Doorbot : la sonnette futuriste), (re)découvrez les 10 objets domotique qui feront sans aucun doute bientôt partie de notre quotidien…

    « L’ensemble des technologies qui contrôle nos appareils de la maison via un smartphone, une tablette ou un ordinateur c’est ce qu’on appelle de la domotique. Ces objets connectés se contrôlent à distance et apportent du bien-être et de la sécurité à ses utilisateurs.

    Cette année, la tendance c’est la domotique. Tous les fabricants se mettent à créer des gadgets et des appareils intelligents, dans le but de faciliter notre quotidien. Avec un smartphone et une application dédiée à l’objet connecté, on peut contrôler à distance des appareils électroménagers, des lampes… Bref tout ce qu’on peut trouver dans une maison.

    Certains projets ne restent pas au stade de prototype grâce à des sites de financement participatif comme kickstarter.On peut désormais garder nos plantes d’intérieur en vie avec le capteur WiFi Koubachi, vendu 90€. Pour 170€, la station météo personnalisée Netatmo mesure la qualité de l’air, le niveau sonore et l’humidité de son domicile. Dès le mois de juillet, on pourra contrôler les allées et venues devant notre porte grâce au portier vidéo Doorbot, très ingénieux.

     De la domotique made in France

    Aux dernières éditions du CES et du MWC, les français Parrot et BeeWi étaient présents. Le premier a dévoilé une sonde pour soigner ses plantes, baptisée Flower Power. Le second, une prise électrique nomée Mobot. Très ingénieuse, elle est aussi capable de détecter un incendie ou la présence d’un intrus (grâce à des capteurs de fumée et de mouvements). »

     

    1. Lockitron, la serrure high-tech
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    2. Spark Socket, la douille connectée
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    3. Hue de Philips, l’éclairage LED contrôlé
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    4. WeMo Switch, une prise électrique télécommandée
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    5. BeeWi Mobot, une prise électrique intelligente
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    6. Koubachi, le capteur WiFi pour plantes
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    7. Flower Power de Parrot, la sonde qui prends soin de votre plante
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    8. Doorbot, le portier vidéo simulateur de présence
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    9. In.Sight M100, la vidéo-surveillance pour tous
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    10. Netatmo, la station météo connectée
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    source : cnetfrance.fr

     

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