SHARP Europea annoncé une version mise à jour de son application interactive de support de réunion, Touch Display Link 2.0.
Elle connecte un écran tactile collaboratif Sharp BIG PAD à un maximum de 50 appareils mobiles sur le même réseau, y compris Apple, Android et Windows PC. Les appareils doivent être sur le même réseau, mais peuvent être utilisés à distance.
Touch Display Link permet le partage d’écran et le transfert de fichiers entre Big Pad, tablettes et smartphones, et permet aux utilisateurs de contrôler à distance le Big Pad, y compris en utilisant son outil d’écriture.
Les utilisateurs peuvent écrire sur le Big Pad, depuis leur appareil, en accédant à son logiciel Pen. Le Big Pad permet jusqu’à quatre utilisateurs d’écrire simultanément, en utilisant des stylos tactiles connectés sans fil.
Touch Display Link 2.0
Connectez vos appareils facilement et partagez des informations entre BIG PADs, tablettes, smartphones et ordinateurs.
Les notes manuscrites et dessins effectués en temps réel peuvent être visualisés simultanément sur le BIG PAD et sur les appareils mobiles tels que les ordinateurs, les tablettes et les smartphones.
Jusqu’à 50 appareils mobiles peuvent être connectés simultanément.
Des fichiers peuvent être échangés entre les appareils mobiles, même lorsque ceux-ci ne sont pas connectés au BIG PAD.
Touch Display Link permet aussi de connecter deux BIG PAD sur le même réseau pour permettre des communications interactives à grande échelle.
Écrivez, partagez et collaborez pour des réunions plus prenantes. Profitez au mieux de votre investissement dans les écrans interactifs BIG PAD de Sharp. Touch Display Link apporte diverses fonctions interactives au BIG PAD et aux appareils mobiles connectés via le réseau sans fil, en permettant le partage du contenu à l’écran, le transfert de fichiers, l’écriture et le dessin interactif à l’écran et le contrôle du BIG PAD à distance depuis des appareils mobiles.
Non vous ne rêvez pas, l’application de création vidéo que vous allez découvrir aujourd’hui vous coûtera bel et bien 899,99 € pour réaliser avec votre iPhone 5S / 6 et 6 Plus des vidéos au format 4K.
LE PRIX D’UN SMARTPHONE
Développée par i4Software, l’éditeur de l’excellent outil de création vidéo Vizzywig cette édition spéciale rebaptisée pour l’occasion Vizzywig 4K se place comme un outil professionnel de production.
Vous pourrez ainsi photographier, mais aussi et surtout filmer en UltraHD full 4K vos vidéos que vous pourrez aussitôt éditer en leur ajoutant des effets de transition 4K, des titrages déroulants, de la musique ou encore une bande-son avant de pouvoir les sauvegarder ou de les envoyer directement sur YouTube… Cela dit à ce prix, vous pouvez toujours vous offrir un smartphone Android comme le Sony Xperia Z2 qui possède cette fonctionnalité en natif !
Pour en savoir plus et pourquoi pas télécharger sur l’AppStore la dernière version de l’application Vizzywig 4K pour iPhone 5S et plus disposant de 32 Go de mémoire au minimum vendue au prix de 899,99 €, c’est par ICI.
Depuis quelque temps déjà, les projets de montres intelligentes fleurissent partout dans le monde. Ils ont tous pour objectif de rendre cet objet du quotidien le plus connecté possible. Ritot est un nouveau concept de smartwatch qui va plus loin encore : il projette les notifications sur le dos de votre main.
Ritot est le premier concept de montre à projection, mais il pourrait apparaître bientôt sur le marché car le prototype réalisé par l’entreprise du même nom en a séduit plus d’un. En effet, la recherche et la réalisation de ce petit bijou de technologie ont été financées grâce à des donateurs publics par le biais du site Indiegogo. Ces derniers ont tout de même réussi à lever plus de 375 000 $ de fonds. Autant dire que le concept a de l’avenir !
Comme beaucoup de concepts de smartwatch, Ritot propose de connecter son smartphone à la montre interactive. Avec une simple connection Bluetooth, le bracelet se met à vibrer et une notification est directement projetée sur votre main. Un appel ? Une demande d’ami Facebook ? L’information s’affiche sur votre main, pratique !
Ritot diffuse l’heure et vos notifications directement sur le dos de la main grâce à un pico-projecteur (un vidéo-projecteur miniaturisé). Pas de panique, les concepteurs précisent que les rayons lumineux émis par la montre ne sont absolument pas dangereux pour votre peau. Ne vous inquiétez pas non plus pour la santé de votre montre au quotidien, elle est waterproof. Et bien sûr, vous n’êtes pas forcé d’étaler votre vie privée directement sur votre corps. Vous avez la possibilité de désactiver l’affichage de certaines notifications en secouant simplement votre main et le bracelet se contentera alors de vibrer.
Cette montre interactive – qui sera a priori compatible avec les smartphones d’Apple, d’Android et également les Windows Phones – est livrée avec un chargeur sans fil. Lorsqu’elle est placée sur sa station de chargement, vous pouvez sélectionner l’une des 20 couleurs de projection que propose la montre, afin de la personnaliser un peu. Vous avez également le choix entre deux types de bracelets : modèle unisexe ou modèle aluminium, tous deux disponibles en différentes tailles avec le choix entre quatre coloris (blanc, noir, marron-doré, noir-doré). Une version sportive faite de plastique coloré (blanc, noir, rouge, vert, bleu ou jaune) est également disponible. Comptez 120 $ (environ 90 €) pour acquérir Ritot.
Monster, qui, rappelons-le, ne conçoit plus les casques Beats by Dr. Dre (ou plutôt Beats by Apple ?), lance un nouveau modèle haut de gamme : le Monster 24 k. Ce casque circum-auriculaire massif, doré, orienté vers une approche DJ, avec oreillette articulée orientable, est fourni avec un câble pour smartphone. Il est déjà disponible aux Etats-Unis pour 320 $.
On parle tout le temps d’écran IPS, de la dalle Retina des appareils Apple, du Super AMOLEDSamsung, etc. Nous vous proposons de découvrir ce qui se cache derrière ces termes et ces technologies. Comme il y a beaucoup à dire, nous allons nous concentrer surlespoint relatifsàl’experience utilisateur.
Note : toutes les photos et tous les clichés publiés dans cet article sont présentés à titre d’exemples, ils ne peuvent en aucun cas être utilisés pour comparer la qualité des différents écrans. L’effet de moiré visible sur certaines photos est lié au mode de prise de vue.L’écran est un point fondamental. Si auparavant la résolution de l’écran d’unsmartphone faisait partie des arguments de vente principaux, aujourd’hui on parle tout autant de la technologie d’écran utilisée. Le LG G3 et le OppoFind 7 ont tous les deux des dalles à la résolutionQHD, soit 2560 x 1440, appelée également 2K. C’est la résolution la plus haute actuellement sursmartphone, et le débat fait rage entre les utilisateurs qui considèrent leQHD comme une imposture et les autres qui y voient une évolution par rapport auFullHD (1920 x 1080). Retournons à nos moutons : les différentes technologies d’écran et les implications pour l’utilisateur, leurs avantages et leurs inconvénients.Pour évaluer la qualité d’affichage des écrans dans l’univers de la mobilité (smartphones et tablettes), on se concentre généralement sur la densité de pixels par pouce (ppp), lecontraste, la luminosité et les angles de vision.
Différence entre résolution et définition
Evacuons la question tout de suite : pour évaluer la finesse d’affichage d’un écran, on parle de résolution et de définition. Pour comprendre la différence entre la résolution et la définition, en termes graphiques, je vous propose de lire les définitions des deux termes, dans le dictionnaire cette fois-ci :
La résolution est une mesure de la finesse des détails d’une image, pour une dimension donnée. Elle s’exprime en pixels par pouce (ppp) ou pixels per inch en anglais (ppi).
La définition d’un écran est le nombre de pixels que celui peut afficher. Elle s’exprime en nombre de points (pixels) horizontaux et verticaux.
En d’autres termes, et pour nous passionnés de smartphones, on va « comparer » la définition d’un écran par rapport à sa taille et s’intéresser à la résolution pour connaître la précision, sur le papier de l’affichage, de notre Android ou autre appareil mobile.
Vous comprendrez donc que si deux smartphones ont des écrans de tailles différentes, mais de définition similaire, alors la résolution n’est pas la même.
Pourquoi le débat sur le QHD ?
Le QHD, ou 2K, ou simplement « 2560 x 1440 » fait débat. Pour beaucoup, c’est inutile sur un smartphone, l’œil humain ne percevant pas la différence de finesse à une telle distance entre le FullHD (1940 x 1080).
LCD
Les dalles LCD sont à opposer aux écrans AMOLED. Elles se divisent en deux catégories : TFT et IPS. La deuxième technologie étant une évolution de la première, elle est la plus commune sur les smartphones haut de gamme actuels.
TFT LCD signifie « Thin Film Transistor Liquid Crystal Display » (écran à cristaux liquides et film transistor fin). Leur principal avantage est leur coût de production relativement bas. Leur inconvénient est une consommation excessive d’énergie, et donc une durée de vie réduite de la batterie pour les dalles de grande taille.
IPS signifie « In-Place Switching« , et c’est une amélioration du TFT. Pour résumer très grossièrement, la manière dont les cristaux sont excités électriquement est différente. Dans les faits, les angles de vision sont plus larges (on distingue le contenu de l’écran même si l’on ne se trouve pas en face), et surtout la consommation d’énergie est réduite.
Pour repérer si un smartphone a un écran IPS ou TFT, il suffit de regarder les caractéristiques techniques : s’il est indiqué seulement LCD, c’est un TFT, sinon IPS est systématiquement indiqué.
Retina
Le concept des fameux écrans Retina a été développé par IBM en 1998, sans que le nom n’y soit associé. Le terme lui-même ne repose sur aucune caractéristique particulière, si ce n’est une très forte résolution, sensée dépasser ce que l’œil humain peut distinguer à une distance donnée. Si l’on associe ce type d’écran aux produits Apple, qui l’utilise même pour nommer une partie de sa gamme d’ordinateurs portables, c’est en raison de l’important effort marketing fait par la marque depuis l’iPhone 4, premier smartphone à disposer d’un écran Retina.
Chez Apple, et pour rester dans l’univers des téléphones mobiles, l’iPhone 5, 5s et 5c ont tous un écran Retina de 1136 x 640 pixels, pour une densité de pixels de 326 pixels par pouce.
La légende qui voudrait que l’écran Retina dépasse en précision ce que l’œil humain peut percevoir a été largement mise en question depuis ces dernières années. À vrai dire, on en est à se demander si le QHD est comparable ou supérieur au FullHD.
AMOLED & Super AMOLED
La technologie AMOLED dérive du OLED elle même dérivée du TFT, non utilisé sur les smartphones car trop consommateur en énergie. Nous nous concentrerons donc sur les AMOLED et Super AMOLED.
Le principe des AMOLED est l’association d’une matrice active et d’une dalle OLED. La matrice active est en fait une façon d’envoyer l’information électrique à afficher indépendamment à chaque pixel. De plus, les crystaux liquides sont remplacés par des diodes qui produisent elles-mêmes la lumière. Contrairement aux LCD, ils ne nécessitent pas de retro-éclairage.
Comparés aux LCD, les écrans AMOLED offrent plusieurs avantages, liés pour la plupart à l’absence de rétro-éclairage : gain de place, car une couche en moins, contraste infini etéconomie de batterie, notamment sur les noirs car les pixels sont éteints et donc non alimentés. L’AMOLED offre également des temps de réponse très courts, inférieurs à 0,1 ms, ce qui se traduit par l’absence de rémanence (effet « fantôme ») et une fluidité exemplaire pour les jeux vidéos par exemple.
Différence entre AMOLED et Super AMOLED
Le Super AMOLED est tout simplement une dénomination commerciale donnée par Samsung à ses écrans AMOLED, notamment pour la série des smartphones Galaxy, les appareils phares de la marque. A la manière de l’appelation Retina, pour les iPhones et les iPad, on peut considérer que « Super AMOLED » est la manière dont Samsung met en avant ses technologies d’écran.
AMOLED, le meilleur pour l’autonomie ?
Oui, comme on l’a vu plus haut, sur un smartphone, l’absence de rétro-éclairage permet d’économiser sur la batterie, notamment lorsque l’application a une dominante noire. Ainsi, la plupart des pixels sont éteints et ne consomment pas d’énergie. Cela ne changera pas l’autonomie de manière drastique, mais ça peut aider à finir la journée.
Mettre un thème noir sur une application pour économiser de la batterie n’a de sens ou presque que si l’on possède un AMOLED.
IPS, AMOLED, Retina : lequel est le meilleur ?
Comme on l’a vu, le terme Retina ne désigne pas une technologie d’écran à proprement parler, les écrans de l’iPhone d’Apple sont actuellement des IPS fabriqués par LG. Pour la petite histoire, Samsung a déjà construit des écrans pour Apple notamment pour les iPad. Entre AMOLED et IPS, c’est une question de forces et de faiblesses.
En termes de précision d’affichage si l’on se base sur la densité de pixels, l’écran Retina de l’iPhone 5s est actuellement bien en-dessous, voir complètement dépassé par les smartphones Android actuels, même milieu de gamme. C’est bien entendu plus compliqué que cela, car les technologies utilisées, les brevets Apple et les choix faits lors de la conception des écrans font une grosse différence pour l’utilisateur final. Par exemple, Apple prend en compte le PPD (pixels per degree) ou Pixel Par Degrés.
Steve Jobs avait expliqué, dans le célèbre KeyNote qui avait vu l’annonce de l’iPhone 4, la philosophie de la marque. Ainsi, si l’on se base sur une distance de l’écran aux yeux de l’utilisateur d’environ 25 cm, alors une densité de pixels de 300 ppp est suffisante. Selon des calculs prenant en compte le degré d’orientation des pixels ainsi que le nombre de pixels couverts par un triangle très pointu (skinny triangle). Pour résumer, Apple ne calcule pas la précision d’un écran de la même façon, c’est vrai, mais les écrans de la marque ne sont pas pour autant les meilleurs actuels ! Un écran Retina est un IPS bien conçu.
Tout cela pour vous faire comprendre quelque chose de très important : les données techniques sont importantes lorsque l’on compare deux écrans de smartphone, une résolution de 1920 x 1080 pixels donne un affichage plus précis qu’une résolution de 1280 x 720. Ce qui se mesure beaucoup plus difficilement, sur le papier notamment, c’est la qualité d’affichage des couleurs, le contraste, la luminosité, etc. Ne tombez pas dans le piège du marketing à outrance, analysez, demandez l’avis des autres utilisateurs sur le forum, ou ici dans les commentaires des articles.
Entre AMOLED et LCD, la différence est un peu comme entre un écran doux et mat, le LCD et un écran très brillant, saturé et « flashy ». Ma préférence va personnellement aux écrans AMOLED, mais j’ai presque toujours possédé des smartphones et des tablettes équipés d’écrans IPS. Pour autant, je ne m’en plains pas.
Selon le Financial Times, la firme souhaiterait faire de l’iPhone une télécommande universelle pour tous les objets de votre maison. Et pourrait faire des annonces dans ce sens dès la semaine prochaine, à l’occasion de sa conférence développeurs.
Et si vous pouviez contrôler votre éclairage, votre chauffage, votre alarme et tous vos appareils domestiques avec votre iPhone ? Voilà ce sur quoi plancherait Apple, selon un article que vient de publier le Financial Times. Qui révèle que la firme de Cupertino aurait même de grandes ambitions en la matière, où plusieurs de ses rivaux, comme Samsungou Google, ont déjà avancé leurs pions. Et qu’elle pourrait les dévoiler dès la semaine prochaine à la WWDC, sa conférence annuelle pour les développeurs, à San Francisco
A quoi pourrait bien ressembler un système domotique made in Cupertino ? C’est encore flou. Mais d’après le FT, il s’agirait d’une brique logicielle non seulement intégrée à l’iPhone, mais à tous les autres produits de la marque, y compris l’Apple TV, qui permettrait de configurer et d’utiliser simplement des objets connectés. Le FT donne d’ailleurs un exemple un peu plus concret : « Les lumières de la maison pourraient s’allumer automatiquement quand le propriétaire d’une maison entrerait chez lui, en utilisant la connexion sans-fil de l’iPhone pour signaler son arrivée ».
Des objets intelligents respectueux de votre vie privée ?
Apple ne fabriquerait pas lui-même les objets compatibles avec cette technologie.
Mais la firme a déjà entamé des discussions avec des fabricants de modules domotiques avec un objectif : concevoir avec eux une certification pour tous leurs appareils compatibles, dans la veine du célèbre « made for iPhone ». Aucune marque n’est citée, mais on peut imaginer par exemple que des gens comme Philips, avec qui Apple s’est déjà acoquiné dans le passé ou le français Netatmo –qui vend un thermostat intelligent- pourraient bien être intéressés par ces nouvelles fonctionnalités. D’autant qu’Apple profiterait de ses Apple Store, disséminés dans le monde entier, pour mettre en avant ces nouveaux produits.
Pas bête, elle insisterait également beaucoup sur un point qui fait défaut à son rival Google : la vie privée. Toujours selon le FT, pour promouvoir ses nouvelles fonctionnalités domotiques, Apple insisterait sur le fait qu’elles sont respectueuses de vos données personnelles. Une position aux antipodes de celles de Google : on a appris il y a quelques jours qu’il voulait, dans le futur, afficher de la pub sur tous les objets connectés.
Jusqu’ici les rumeurs allaient bon train concernant un boitier provenant d’Amazon : plateforme de streaming gratuit, box TV, console de jeux… On pouvait s’attendre à tout, et le géant de la vente en ligne a finalement révélé sa Fire TV, une box TV qui rassemble presque toutes les rumeurs pour les concrétiser.
Apple et Roku ont désormais un nouveau concurrent dans le salon : Amazon a annoncé dans la nuit la sortie de son propre dispositif de streaming vidéo : l’Amazon Fire TV, déjà disponible pour 99 $.
Peter Larsen a immédiatement indiqué » Nous voulons offrir une expérience simplifiée aux utilisateurs » en insistant sur trois points présentés comme des contraintes pour les usagers : la recherche, les performances et les écosystèmes fermés. La Fire TV promet de répondre à chacun de ces points.
Au niveau des performances, la Fire TV propose un processeur quatre coeurs associé à 2 Go de RAM, pour » prévenir toute forme de lag ». Amazon clame haut et fort que sa Fire TV est trois fois plus rapide que les set-top boxes de Roku et Apple.
Pour éviter les reproches quant à un éventuel écosystème fermé, Amazon s’est entouré de différents partenaires qui proposeront » des tonnes de contenu ». On retrouvera ainsi Hulu, Netflix, YouTube, Vimeo, MLB.tv ainsi que la NBA sur la Fire TV, en plus d’un accès direct aux contenus proposés par Amazon.
Amazon intègre un système intéressant visant à toujours mettre en avant les contenus les moins chers. Ainsi, une liste devrait être proposée à l’utilisateur lui permettant de comparer rapidement les prix des films ou contenus en VOD parmi l’ensemble des services accessibles depuis la box.
Mais les fonctionnalités de la Fire TV s’étendent au-delà de la vidéo à la demande. Ainsi, il sera possible de tirer profit des services en ligne, notamment des services de stockage Cloud pour afficher ses photos depuis l’Amazon Cloud Drive, et d’afficher directement ses films et autres séries depuis un smartphone ou tablette, sans fil vers le téléviseur.
Le jeu sera également à l’honneur, puisqu’un contrôleur spécifique est prévu pour la box, s’inspirant largement de celui de la Xbox. Il sera proposé au prix de 39,99$ et intégrera 1000 Amazon Coins permettant d’acheter des titres. Et ces jeux devraient être très accessibles, avec un prix moyen annoncé de 1,85$ par titre et une foule de jeux gratuits.
Amazon a précisé qu’au travers d’une application dédiée, les tablettes de la marque se présenteront comme de véritables panneaux de contrôle permettant de piloter l’ensemble du salon. Reste à savoir si le dispositif trouvera son public face à un Chromecast qui fait déjà des étincelles sur le marché et s’est rapidement imposé comme une solution très accessible de streaming TV.
La domotique va-t-elle échapper aux rouleaux compresseurs de l’électronique grand public que sont Apple et Google ? C’est l’un des rares sujets sous les projecteurs de l’actualité que ces deux sociétés n’ont pas encore conquis. En ont-elles vraiment envie pour l’instant ?
Apple comme Google ont su complètement remodeler le paysage des appareils électroniques du quotidien. Android d’un côté, iOS de l’autre : ce sont les systèmes d’exploitation des centaines de millions de smartphone et de tablettes en circulation. On les retrouve également dans les ordinateurs et certains appareils liés au multimédia comme GoogleTV et le petit boîtier Apple TV.Il y a une dizaine d’années, on aurait plutôt parié sur des sociétés comme Nokia, Sony, Toshiba ou Pioneer pour truster ces marchés de l’électronique grand public. Perdu !
Une présence inexistante (ou presque)
Ce domaine en pleine explosion qu’est la domotique n’a pourtant pas réellement été approché par les deux géants. Pourtant, ils possèdent toutes les cartes en main pour s’imposer rapidement : les interfaces, les technologies, le savoir-faire en terme de design et de marketing, la pénétration du marché.
Alors, que leur manque-t-il pour imposer la domotique dans nos maisons comme ils ont su le faire pour la téléphonie, la musique, les ordinateurs ou le multimédia ?
1. Un marché en pleine structuration
La domotique, et la maison intelligente en générale, est couverte aujourd’hui par des dizaines de « petites » sociétés. Les offres et les services proposés sont très diversifiés. Et c’est sans compter sur les multiples protocoles de communication que chacun essaye de pousser de son côté.
La situation actuelle n’est pas encore assez stabilisée pour qu’Apple ou Google puissent proposer des produits « concurrents » à ce qui existe déjà et s’imposer. Lorsqu’ils arriveront, ce sera pour innover, peut-être à travers le rachat de sociétés ayant déjà réussi.
2. Des usages universels à identifier
Les usages liés à la domotique sont nombreux : multimédia, confort, sécurité, énergie. L’offre est large. On peut aussi bien répondre de façon complètement personnalisée et non reproductible, que proposer des produits de grande distribution satisfaisant le public le plus large. C’est ce dernier cas qui va intéresser avant tout Apple et Google.
De nouveaux objets connectés sortent toutes les semaines, dans tous les domaines. Rares sont ceux qui ont réussi à s’imposer et à se vendre par dizaines de milliers, à l’exception de très rares exemples, comme le thermostat Nest. Apple et Google auraient pu inventer le Nest.
3. Un support utilisateurs complexe
Un smartphone, une Apple TV, un ordinateur portable, on le branche, on l’allume, on suit les indications et quelques minutes plus tard on peut pleinement les utiliser. Malgré toute la bonne volonté des acteurs de la domotique, on est rarement dans le plug&play complet. Il y a souvent une configuration complexe ou des raccordements électriques qui peuvent rebuter.
Dans la maison intelligente, on souhaite souvent faire communiquer ensemble différents équipements, et c’est là que la complexité pointe son nez. Pour toucher un maximum de clients, il faut savoir répondre à toutes les configurations possibles, soit de façon passive avec une base de connaissance énorme, soit de façon active avec un support utilisateurs à l’écoute.
De nombreux essais, pour explorer le terrain
A travers des prototypes et des brevets, Apple comme Google montrent clairement qu’ils travaillent sur le sujet. Voici quelques exemples :
Google avec Android@Home avait présenté il y a déjà 2 ans une solution de pilotage de la lumière sans fil
Les lunettes connectées Google Glass pourraient servir à communiquer avec sa maison intelligente, mais rien n’a été officiellement présenté en ce sens
Avec les iBeacon, Apple peut faire de la géolocalisation en intérieur, dans une maison par exemple, pour adapter le chauffage ou l’éclairage automatiquement, un brevet a été déposé
La rumeur selon laquelle Apple prépare une montre connectée iWatch perdure depuis de nombreux mois
Siri pourrait être un allié intéressant, une sorte d’intelligence déportée de sa maison, un brevet existe chez Apple
Plein de choses excitantes de la part de ces deux entreprises vont dans le sens d’une maison toujours plus connectée, mais tout reste encore à faire.
Apple et Google, bientôt leaders de la maison connectée ?
Le marché actuel de la maison connectée me semble être hermétique à de très grandes entreprises comme Apple et Google. Les barrières à l’entrée, et l’adaptation à ses spécificités bouleverseraient de façon trop importante le modèle économique de ces géants. En attendant, ils explorent les pistes grâce à une recherche intensive validée par des brevets.
Et pourtant, si l’on prend un peu de recul, on s’aperçoit finalement qu’ils sont déjà largement présents à travers les smartphones et les tablettes qui sont devenus les télécommandes incontournables de tout système domotique et de tout objet connecté ! Insidieusement, ils occupent déjà le terrain.
Apple et Google proposeront leur propre vision de la maison connectée lorsqu’ils auront identifié des usages génériques, voire universels, auxquels ils pourront répondre de façon simple et accessible à tous. Ce jour-là, il y a toutes les chances qu’ils raflent la mise !
URC a présenté l’Accès à Distance, une nouvelle fonctionnalité disponible pour l’application mobile Total Control.
Cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de contrôler l’équipement AV, d’ajuster l’éclairage, de visualiser les caméras de sécurité et de contrôler d’autres appareils dans leur maison ou dans leur entreprise depuis n’importe quel endroit où ils sont en mesure de se connecter à Internet avec leur iPhone, iPad ou iPod touch via 3G, 4G ou Wi-Fi .
« Imaginez-vous assis dans votre café préféré et effectuer un réglage fin de la température dans votre maison pour économiser l’énergie, visualiser vos caméras de sécurité dans votre chalet d’été ou vous assurer que le téléviseur est éteint dans votre bureau en ville, le tout depuis votre iPhone», a déclaré Cat Toomey, directrice du marketing chez URC. «Nos clients peuvent être virtuellement à deux endroits à la fois. »
La mise en œuvre nécessite une seule configuration et une liaison avec l’URC MRX-10 associé au système. L’accès est protégé par mot de passe sécurisé pour assurer la confidentialité.
Les propriétaires de systèmes Total Control devront contcater leur installateur professionnel pour plus d’informations.
L’application mobile Total Control peut être téléchargée à partir de l’Apple iTunes App Store gratuitement.
L’intégration avec le système Total Control MRX-10 nécessite l’intervention d’un installateur professionnel et peut prendre en charge un nombre illimité de iDevices.
Cette nouvelle capacité fait suite aux récentes annonces de URC de fonctions de programmation hors site pour Total Control.
La programmation hors site permet aux programmeurs d’accéder aux installations des clients à partir de l’extérieur, de fournir des services de programmation et d’effectuer la maintenance des systèmes des clients depuis leur magasin (ou n’importe où) sans avoir à se soucier de la problématique du déplacement.
Quelles sont les grandes tendances à venir en termes de high-tech cette année ? A l’issue du célèbre Consumer Electronics Show (CES) qui vient de s’achever à Las Vegas, voici un petit bilan de ce qui nous attend dans les mois à venir.
Comme chaque année, le Consumer Electronics Show s’est clôturé sur de très nombreuses annonces en matière d’électronique grand public. 20.000 produits présentés, dont une grand partie d’innovations, 3250 exposants venus du monde entier et 150.000 visiteurs ont foulé les longues allées du Convention Center de Las Vegas.
– Le vrai lancement des télévisions avec une qualité d’images décuplée. Qu’il s’agisse d’ultra haute définition ou de technologie OLED, les premiers exemplaires seront dans les rayons d’ici la fin du premier semestre, à des prix commençant autour de 4-5000 euros. Cher ? Oui mais rien à voir avec les 20.000 euros de l’an passé.
Le fabricant Sharp présentait ses nouveaux téléviseurs de très grande taille et extrêmement fins. Il a également présenté à nouveau son prototype 8K (huit fois la définition de la full HD) pour lequel seules quelques caméras hors de prix du groupe de télévision japonais NHK sont capables de fournir des images. Photo : F.Santrot/Metro
– Les enceintes sans-fil font la nique à Apple. Les fabricants ont mal digéré le changement de connecteur de la part d’Apple et ont tous fait un virage vers le Bluetooth. Ce dernier a l’avantage de rendre une enceinte compatible avec n’importe quelle marque de smartphone, tablette ou ordinateur. Certains ont même combiné cela avec du NFC qui permet de faire communiquer deux appareils compatibles d’un rapide contact.
Cette année au CES, les enceintes sans fil étaient définitivement à la fête. Le changement de connecteur par Apple a incité les fabricants à passer au NFC, au Bluetooth et au Wi-Fi (avec la norme AirPlay pour les produits Apple). Voici un bon exemple avec cette enceinte LG dotée d’une puissance de 30W et connectable en Bluetooth, la rendant compatible avec la plupart des appareils mobiles du marché. Photo : F.Santrot/Metro
– Les capteurs en tous genres confirment leur bonne santé.Que ce soit pour mesurer son niveau d’activité au quotidien, pour être alerté si sa plante verte à soif ou pour connaître le degré de pollution des pièces de son foyer, les initiatives se multiplient, toutes reliées au smartphone via une application.
Lapka est un ensemble de petits capteurs qui permettent de mesurer la qualité de l’environnement, la température, la concentration de particules radioactives, le taux d’humidité, la concentration de nitrates… Les adeptes du monitoring précis de leur environnement vont apprécier ces petits cubes bourrés d’électronique. L’ensemble des données récupérées sont ensuite envoyées vers une application iOS particulièrement design. Le produit, commercialisé aux Etats-Unis, est vendu 170 euros. Il devrait arriver en Europe d’ici la fin du premier trimestre. Photo : F.Santrot/Metro
– Les mini caméras sportives se mutliplient comme des petits pains. Dans la lignée du succès de GoPro, les mini caméras de poche et leur équipement étanche et durci ont le vent en poupe. Les marques, plus ou moins connues (Sony, Polaroid…), se positionnent sur ce marché en pleine explosion.
La marque Polaroid a décidé de largement se diversifier. Cela passe par les tablettes, y compris durcies pour enfants, mais aussi par des mini caméras de poche pour sport extrême, un marché en forte expansion. En voici une fixée sur un casque
– La domination des appareils mobiles ne fait plus aucun doute. Tablettes et smartphones sont les deux grands gagnants d’un marché high-tech en recul général. Le téléphone prend de plus en plus une place centrale dans notre quotidien et devient la télécommande de notre vie.
Un iPhone 5 ? Un nouveau smartphone Samsung ? Non, un petit mix signé du chinois Huawei. Voici l’Ascend D2, quad core, écran 5 pouces IPS Super Retina (443 ppi), appareil photo de 13 Mpix, 2 GB de RAM, batterie de 3000 mAh (!), résistant à la poussière et aux projections d’eau, Android 4.1, Dolby Surround et aux dimensions de 140x71x9,4 mm. Bref, une petite bombe qui méritera un test s’il est un jour lancé en France. Photo : F.Santrot/Metro
– La 3D qui tombe à plat… Qui aurait pu l’imaginer il y a deux-trois ans, quand l’ensemble des constructeurs s’est lancé dans la technologie en relief. La 3D n’est pas pour autant abandonnée – elle est désormais intégrée dans la plupart des téléviseurs – mais elle n’est certainement plus un argument de vente. À croire que porter des lunettes sombres devant sa TV n’était pas une si bonne idée.