Étiquette : SD

  • LE gestionnaire d’événement sons et lumières !

    LE gestionnaire d’événement sons et lumières !

    EventPlayer ID-AL EventPlayer ID-AL

     

    L’EventPlayer est un lecteur audio interactif de haute qualité mais aussi un automate de Show Control puissant et polyvalent, conçu pour un fonctionnement en continu. Sans partie mécanique mobile, sans système d’exploitation, il offre stabilité et fiabilité.Ce lecteur bénéficie de toute l’expertise de Waves System en développement de sources audionumériques.Une rationalisation du design et des choix technologiques pertinents ont permis de créer un produit offrant un incroyable rapport performances/coûts.

    L’extrême polyvalence de l’EventPlayer s’apprécie à tous les niveaux :

    Event Player ID-ALL’EventPlayer est Multi-format : Il lit les fichiers MP3, WAV de 16 à 32 bits / de 44.1 à 96 kHz et les séquences DMX.

    L’EventPlayer est Multi-support : Il diffuse des fichiers stockés sur une carte SD/SDHC* ou une unité de stockage externe, clé USB, disque dur ou lecteur de cartes.

    L’EventPlayer est Multi-contrôle : Il propose toutes les interfaces requises, pour une diffusion totalement automatisée, pour un contrôle à distance par Ethernet ou liaison RS232 ou encore pour une diffusion interactive.

    L’EventPlayer est Multi-pilote : Véritable gestionnaire d’événements, il pilote des séquences DMX en show control, des relais de sortie pour commander d’autres équipements ainsi que la liaison série.

    L’EventPlayer pilote tous les acteurs du show en parfaite synchronisation avec le son.

     

    Séquenceur de Show Control

    Le «show control» est la faculté de piloter des dispositifs en parfaite synchronisation avec le son. Lumières, moteurs, changement de décors, animatronics… peuvent ainsi être actionnés à volonté selon le programme d’animation défini. Le logiciel éditeur permet de créer des shows en définissant les états successifs de la sortie DMX et des contacts de sortie en fonction du fichier son associé. En reliant, une interface USB/DMX comme la ENTTEC Open DMX USB à l’ordinateur utilisé, il est possible de simuler et de modifier le show en temps réel.

    Event Player ID-AL

     

  • ISE 2017 : Sharp se réinvente !

    ISE 2017 : Sharp se réinvente !

    L’ISE 2017, c’est l’occasion de découvrir les nouveautés et les tendances qui vont faire l’année 2017, mais pour certains, c’est aussi l’occasion de se réinventer. Découvrez le nouveau Sharp !

    u1zorlh64-825x370

    Un nouveau partenariat, pour un nouveau souffle !

    Depuis près d’un an maintenant, Sharp et Foxconn se sont associés pour concevoir des écrans professionnels à la pointe de la technologie. Le but de ce partenariat est de faire passer Sharp à la vitesse supérieure en terme d’écrans et de technologie, afin d’anticiper les prochaines innovations liées au display.

     

    Découvrez les nouveautés Sharp en avant première.

    Le secret fut bien gardé, et Sharp n’a rien dévoilé jusqu’à l’ouverture des portes de l’ISE 2017 ! Ainsi vous pourrez découvrir en avant première et en exclusivité les nouvelles séries d’écrans de Sharp. De l’usage intensif 24/7, des port pour cartes SD et USB, de l’interactivité, vous pourrez tout découvrir sur le stand ! Et ce n’est pas tout, pour cette année 2017, Sharp voit les choses en grand et prévoit déjà des développements encore plus importants dans ses gammes d’écrans.

    Six nouvelles catégories parmi lesquelles se trouvent une nouvelle solution d’affichage dynamique, une plateforme d’architecture ouverte et un module OPS. Les écrans interactifs auront notamment une place de choix, puisque la moitié du stand y sera consacré. Vous pourrez donc découvrir le Big Pad 70″ et 80″ (PN-70SC5 et PN-80SC5), mais aussi le Big Pad 40″ conçu pour les salles de réunions en petit comité (PN-40TC1).

    L’affichage dynamique quant à lui fait peau neuve ! Avec les nouvelles gammes PN-R, PN-U, PN-Y et PN-Q.
    1

    Mais pour découvrir toutes ces nouveautés, rendez-vous sur le stand 12-E76 !

  • La luminothérapie, c’est ID-AL pour le moral !

    La luminothérapie, c’est ID-AL pour le moral !

    Clinilux est le premier centre de luminothérapie inauguré par Biolux Médical en France (Quimper).

    Clinilux

     

    Le centre comporte deux salles avec cabine sensorielle, où des jeux de son et lumière permettent d’influer sur l’humeur du patient (températures des couleurs, fréquences auditives et senteurs).

    Une autre salle comprend une cabine de réalité augmentée « Un écran de 6,5 m sur 2,75 m diffuse des paysages de cascade, tropiques ou neige et plonge le patient dans un univers sensoriel ».

    Cet équipement préconisé et mis en œuvre par Patrick Defy (Gim-Tech – Paris) intègre deux références du catalogue ID-AL :

    L’EventPlayer, un lecteur audio interactif doublé d’un puissant et polyvalent automate de Show Control. Un gestionnaire d’événements capable de piloter tous les acteurs du show « thérapeutique » en parfaite synchronisation avec le son. Le stockage des données se faisant en multi-support: SD/SDHC, clé USB, disque dur USB ou lecteur de cartes USB.

    r_eventplayer

    Autre produit phare ID-AL, le lecteur audio / vidéo player VP200HD peut lire les fichiers vidéo (MPEG-2, MPEG-4, MOV, H.264), les images fixes (JPEG, PNG), et les fichiers audio (MP3, WAV, AAC, AC3).

    r_VP200HD

    Le centre permet aux patients de profiter des bienfaits de la luminothérapie. Trois ans et demi de collaboration auront été nécessaires pour élaborer les procédés à base de luminothérapie, pour favoriser le bien-être ou pour agir sur la qualité de la peau par des protocoles, et des appareils de photomodulation à LED, de suivi à la maison, concevoir l’informatique et la domotique.

    Retrouvez toute la gamme ID-AL sur
    www.eavs-groupe.fr

  • Optoma lance un projecteur professionnel LED !

    Optoma lance un projecteur professionnel LED !

     

    Optoma a dévoilé un projecteur « business » qui ne pèse que 380g. Le ML550 LED d’Optoma est capable de fournir une luminosité de 500 lumens ANSI, associée à une connectivité HDMI/MHL pour les appareils mobiles.

    Le ML550 intègre un lecteur multimédia, un haut-parleur et un office viewer natif. Une projection sans ordinateur portable est très facile en utilisant la mémoire intégrée, une carte microSD ou une clé USB.

    La technologie MHL (Mobile High-Definition Link) permet une connexion à un ordinateur portable, un PC, une console de jeux ou un lecteur Blue Ray avec HDMI pour visualiser des documents « business », des photos, des vidéos, de la musique…

    La ML550 mesure 105 x 106 x 39 mm (LxPxH). Cela fait de lui l’appareil idéal pour les présentations à partir d’un téléphone mobile ou d’une tablette.

     

    Retrouvez les vidéoprojecteurs Optoma sur le site eavs-groupe.fr !

  • Le point sur l’Ultra Haute Définition, le 8K et le 4K

    Le point sur l’Ultra Haute Définition, le 8K et le 4K

    Tektronix, Dolby et Snell Group se sont regroupés pour proposer aux professionnels une journée de séminaire sur le thème des évolutions technologiques en cours, comme le loudness, l’IMS ou la fibre optique. D’autres évolutions semblent imminentes telle l’Ultra HD. L’occasion de faire le point sur ce sujet et le 4K.

    Christophe Nelson, formateur à Ina-Expert, a fait un point d’étape fort utile sur l’après HD, la ultra-haute définition (UHD). Dans le monde du cinéma, le 4K (4096 x 2106 pixels) existe depuis les années 1996. Mais n’étant pas 16/9, il ne peut être retenu comme standard pour la TV. De son côté, la NHK (unique groupe audiovisuel public japonais) expérimente depuis 2003 ce qu’elle a d’abord appelé l’ultra HD (7680 x 4320 pixels), puis la SHV, Super Hi Vision.

    Plus récemment, différents constructeurs ont entamé des expérimentations techniques et commerciales en doublant la taille de la HD pour obtenir une image de 3840 x 2160. On parle, selon les cas, de 4K ou de Quad HDTV. L’ITU-R (International Télécommunication Union, secteur de la radiocommunication) a statué en août 2012 : la résolution de 3840 x 2160 s’appellera UHD-1, tandis que le 7680 x 4320 devient l’UHD-2. L’UHD-2 n’est peut-être pas pour demain, le débit en 50P étant 32 fois celui de l’actuelle HD ! Notons au passage que l’entrelacé disparaîtra avec le 1080i de la HD, toutes les normes futures ne prennent logiquement en compte que la structure progressive de l’image. Malheureusement, 4K cinéma et UHD-1 ne seront pas harmonisés autour d’une même taille d’écran, ce qui aurait facilité l’industrialisation de matériels communs, telles les dalles pour les écrans.

    Le CEA (Consumer Eectronic Association) a, en octobre dernier, validé la dénomination UHD pour les téléviseurs de définition d’image 3840×2160. « On pourrait donc se diriger vers un nouveau standard, commente Christophe Nelson. Cependant, tous les fabricants ne sont pas encore prêts à s’y conformer, à l’image de Sony qui a annoncé qu’il continuerait d’utiliser l’appellation 4K »

     UHD4K


    4K ou UHD ?

    Quels sont les arguments en faveur d’une évolution vers de plus grandes définitions d’image ? Avec la HD, la télévision a franchi un bon pas dans la quête de la qualité d’image. Est-ce suffisant ? Notre oeil ne discerne plus les détails écartés de moins d’1/60°. Cela signifie qu’à une distance de trois fois la hauteur d’un écran – distance conseillée de visionnement d’un écran HD – , il faudrait environ 900 lignes progressives pour satisfaire la résolution de l’oeil. Or il n’y en a que 540 par trame en diffusion TV entrelacée actuelle. Par contre, le passage en HD progressive 1080/50P satisfera cette condition.

    Par ailleurs, la fréquence image joue évidemment sur la qualité de visionnement. Plus la définition est grande, plus les saccades se voient dans les mouvements. En fait, des études de la BBC montrent qu’il faudrait monter à plus de 100 i/s en UHD. Verrons-nous bientôt une unification de la télévision sur une fréquence mondiale de 120 Hz ?

    C’est là que le bât blesse pour l’UHD TV : les caméras permettant d’enregistrer jusqu’à 120 i/s existent, les écrans permettant de la diffuser commencent à arriver ; mais, entre les deux, les infrastructures au-dessus de 60 i/s n’existent ni pour la production, ni pour la distribution. Il semble donc que le High Frame Rate soit encore un lointain projet, et que dans les années à venir on doive se contenter de 50 ou 60 i/s.

    Alors que le passage de la SD à la HD ne concernait que la résolution spatiale, pour l’UHD, d’autres paramètres comme le codage couleur et l’espace colorimétrique seront améliorés. Pour le codage couleur, les travaux de l’ITU-R font apparaître que le matriçage, tel qu’il est effectué actuellement, n’est pas parfait.

    Ce passage des trois signaux RV et B aux composantes Y, CR, CB est calculé sur les primaires RVB pré-corrigés en gamma. Or, cela débouche sur une luminance (Y) non constante, car elle varie légèrement selon le sous-échantillonnage choisi (4.4.4, 4.2.2 ou 4.2.0). Un nouveau schéma de matriçage est envisagé pour aboutir à une luminance constante, quelle que soit l’importance de la réduction de débit appliquée (que ce soit en production ou en diffusion). Mais la compression sera plus indispensable que jamais. En UHD-1, le débit vidéo non compressée est de 8294 mb/s, soit 8 fois la HD actuelle !

    Le codec h.265 appelé en renfort

    Parmi les obstacles actuels à l’UHD, on trouve également la diffusion. Les progrès du côté des codecs permettent d’espérer des débits moindres à qualité constante : le HEVC (High Efficiency Video Coding) ou H.265 dont la première spécification doit être finalisée pour janvier 2013 promet de diviser le débit par deux pour une même qualité, et de supporter des résolutions jusqu’à 8K (8192×4320).

    Au côté de cette amélioration intrinsèque des algorithmes de compression, deux autres paramètres concourent à modérer l’augmentation des débits liées au plus grand nombre de pixels. Une image en balayage progressif se compresse mieux que la même en entrelacé. Par ailleurs, l’augmentation du débit n’est pas strictement proportionnelle à l’augmentation de la définition spatiale. En effet, avec une image de 3840×2160 px, la corrélation spatiale à l’intérieur d’un bloc est meilleure qu’en 1920×1080. En d’autres mots, le même bloc de DCT de 8×8 pixels contiendra des pixels statistiquement plus similaires en UHD qu’en HD, donc la compression sera plus efficace à qualité égale.

    UHD TV

    Vers un long développement

    Les caméras 4K commencent à arriver sur le marché : citons les Sony F65, F5 et F55, la Red Epic, ou encore la JVC GY-HMQ10 qui présente l’originalité d’enregistrer des images full HD sur quatre cartes à mémoire flash (soit 1/4 d’image UHD par carte). En dehors de la JVC, la plupart de ces caméras sont orientées cinéma et non UHD-1.

    Du côté des écrans, Toshiba, LG, Samsung, Panasonic et Sony ont tous annoncé l’arrivée d’écrans 4K en 2013. Les prix varieraient entre 10000 et 30000 USD, avec des tailles autour de 84 pouces. En réalité, la plupart de ces écrans seront limité à 30 i/s par leur connectique HDMI. Pour le 50 ou le 60 i/s, il faudra attendre qu’ils soient équipés en HDMI 2.0, dont la sortie, à l’heure  où nous écrivons ces lignes, est annoncée comme imminente.

    On parle donc beaucoup de 4K et d’UHD, mais on est encore loin. L’attrait du public pour de telles qualités d’image n’est pas encore prouvé. La taille de l’écran – forcément très grand – risque de limiter la généralisation de l’UHD. L’UHD-1 et plus encore l’UHD-2 trouveront des applications en matière d’affichage très grand écran dans les satdes, lieux publics et parcs à thème.

    Néanmoins, on estime que l’UHD pourrait apporter une nouvelle qualité de ressenti pour certains types de programmes très immersifs. Elle est d’ailleurs l’alliée du relief, puisqu’elle apporte une meilleure définition, avec ou sans lunettes. « On ne peut pas prédire à l’heure actuelle si elle se généralisera à tous les programmes, mais il semble bien qu’elle soit amenée à se développer, conclut Christophe Nelson. Ce sera cependant un développement long, car toute la chaîne de diffusion – et de production – est à revoir, et cela nécessite beaucoup d’expérimentations et d’investissements.« 

    Pour plus d’informations, se reporter à la recommandation de l’ITU-R : ITU-R BT.2020 sur le site de l’ITU.

    Logo ITU

    Source : SonoVision

    Retrouvez tous nos écrans HD sur www.eavs-groupe.fr

  • Découvrez les micro-chaînes TEAC sur le site eavs-groupe.fr !

    Découvrez les micro-chaînes TEAC sur le site eavs-groupe.fr !

    TEAC, le fabricant de matériel Audio, propose une gamme de micro-chaînes de qualité, disponibles chez EAVS. Disponible chez vous en quelques heures !

    La CR-H238I-B :

    Cette micro-chaîne supporte et peut lire tous types de supports musicaux : CD-R/RW, disques MP3, cartes SD, mémoire, USB avec fichiers MP3, et iPod via une station optionnelle (DS-22).

     

    La DR-H338I-B :

    La qualité sonore de cette micro-chaîne DVD noire  est impressionnante. Elle peut lire les CD, DVD, DivX, iPod, USB. Une interface HDMI et la technologie Dolby Virtual Speaker s’associent pour une expérience sonore incroyable, produisant un couplage de son et d’image numériques. (Dock iPod DS-21 inclus).

    Retrouvez toute la gamme TEAC sur le site eavs-groupe.fr !

     

  • Diffusez le contenu de vos cartes mémoires !

    Diffusez le contenu de vos cartes mémoires !

    Le Lecteur multimédia B1080P est un lecteur media qui vous permet de diffuser sur un écran en VGA, en S-VIDEO, en RCA ou en HDMI le contenu d’une carte mémoire.

    Caractéristiques :
    – Auto-start, auto-repeat, auto-play
    – Compatible Compact Flash, Secure-Digital, Multimedia Memory Stick (Memory Stick Pro), XD
    – Possibilité de brancher un Disque Dur en USB
    – Multilangue
    – Résistant et solide

    – Résolution max : 1920×1080
    – Sortie signal : 1xComponent, 1xHdmi, 1xL+R, 1xS-vidéo, 1xVga
    – Compatibilité : JPEG, MPEG1, MPEG2, MPEG4
    – Finition : Métal
    – Consommation : 15 watts
    – Divers : CF type I/II, SD, MMC

    Disponible immédiatement sur eavs-groupe.fr !