En bref, on parle souvent de SaaS pour Software as a Service, c’est-\u00e0-dire les logiciels accessibles via le cloud. Ici, c’est la domotique comme un service. La question \u00e9pineuse des choix techniques de produits qui rebutent les propri\u00e9taires est \u00e9vacu\u00e9e d\u00e8s le d\u00e9part. Tout est d\u00e9j\u00e0 pr\u00e9vu et install\u00e9 ou pr\u00e9-install\u00e9. La seule question qui se pose \u00e0 l’utilisateur final concerne le ou les services dont il a besoin ou envie : un peu plus de lumi\u00e8re contr\u00f4l\u00e9e, plus de zones avec de la musique, plus d’\u00e9quipements pilot\u00e9s depuis l’\u00e9cran tactile Elan, etc. Le message est beaucoup plus facile \u00e0 passer et \u00e0 faire comprendre. A ce sujet, l’int\u00e9grateur prend rendez-vous avec chaque nouvel habitant de l’immeuble afin de lui expliquer ce que comprend son appartement et les services qu’il pourra ajouter. Tr\u00e8s smart !<\/p>\n\n\n\n