Dans de nombreux domaines professionnels, les signaux vid\u00e9o sont transport\u00e9s sur des c\u00e2bles coaxiaux, avec une connectique BNC et au format SDI. M\u00eame si les capacit\u00e9s du c\u00e2ble coaxial sont importantes en termes de d\u00e9bit sur de grandes longueurs, le cuivre a ses limites. La fibre optique est aujourd’hui la bonne r\u00e9ponse \u00e0 cette probl\u00e9matique.<\/strong><\/p>\n\n\n\n

De la SD-SDI \u00e0 la 12G-SDI<\/h2>\n\n\n\n

La norme SDI a \u00e9volu\u00e9 au fil des ann\u00e9es pour s’adapter aux formats vid\u00e9o de plus en plus d\u00e9finis. Pourtant, la connectique et les c\u00e2bles n’ont pas chang\u00e9 ! On est parti de la SD-SDI avec une qualit\u00e9 inf\u00e9rieure au DVD pour arriver aujourd’hui \u00e0 la 12G-SDI. Le 12G correspond au d\u00e9bit du format : 12 Gbps. Il est suffisant pour faire transiter de la 4K\/UHD @ 60Hz et en 4:4:4.<\/p>\n\n\n\n

En comparaison, une liaison HDMI \u00e9quivalente a besoin de 18 Gbps. Mais le HDMI transporte \u00e9galement le son en multicanaux (Dolby Atmos, DTS HD, etc.), alors que le SDI se contente d’un signal audio<\/a> st\u00e9r\u00e9o. Un c\u00e2ble coaxial permet d’aller beaucoup plus loin qu’un c\u00e2ble HDMI, que ce soit en 12 ou en 18 Gbps. Mais il y a toujours des limites.<\/p>\n\n\n\n