Les \u00e9quipements audiovisuels font souvent l’objet d’une installation plus ou moins complexe, et aujourd’hui, nous vous en faisons d\u00e9couvrir une utilisation bien particuli\u00e8re dans le monde de l’Art !<\/h3>\n

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Parce que les \u00e9quipements professionnels peuvent \u00eatre utilis\u00e9s de diff\u00e9rentes mani\u00e8res, EAVS et Le 7e Sens ont accompagn\u00e9 des artistes dans leur processus cr\u00e9atif ! Pour des \u0153uvres \u00e0 la fois saisissantes et dans l’\u00e8re du temps, ces installations \u00e9ph\u00e9m\u00e8res se sont rencontr\u00e9es \u00e0 la Biennale de Lyon pour ensuite continuer leur chemin aux quatre coins du monde !<\/p>\n

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Guan Xiao<\/strong> \u25ac N\u00e9e en 1983 \u00e0 Chongqing (\u91cd\u5e86), elle vit et travaille \u00e0 P\u00e9kin (\u5317\u4eac), percevant la culture visuelle contemporaine comme un collage insens\u00e9 d’images al\u00e9atoires, adapt\u00e9es, modifi\u00e9es, remix\u00e9es et reproduites. En consid\u00e9rant internet comme une surface plane et sans hi\u00e9rarchie \u00e0 partir de laquelle elle peut librement travailler, l’artiste relie entre eux des \u00e9l\u00e9ments \u00e0 la fois myst\u00e9rieux et fascinants pour composer de nouvelles images, celles d’un monde au potentiel ind\u00e9niablement inqui\u00e9tant. Les \u0153uvres de Guan Xiao ont \u00e9t\u00e9 vues au New Museum (New York), au Victoria & Alberoeuvresm (Londres), au National Museum of Contemporary Art (S\u00e9oul), et au Shanghai Art Museum.<\/p>\n

Elle a ainsi mis en sc\u00e8ne une dizaine d’\u00e9crans SHARP 32″<\/a>.<\/p>\n

\u00ab\u00a0One and Rest of All; Tumbling Glory; Rolling Beating<\/em>\u00a0\u00bb (2015)<\/p>\n

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Yuan Goang Ming<\/strong> \u25ac N\u00e9 en 1965 \u00e0 Taipei (\u53f0\u5317) o\u00f9 il vit et travaille, il est le pionnier de l’art vid\u00e9o \u00e0 Taiwan. Yuan Goang Ming manipule les images pour refl\u00e9ter la nature changeante de l’exp\u00e9rience humaine dans un monde satur\u00e9 par la technologie. En combinant m\u00e9taphores et nouveaux m\u00e9dias, l’artiste provoque une rencontre entre la r\u00e9alit\u00e9 du monde contemporain et les forces de l’esprit. Son oeuvre photographique et vid\u00e9o a \u00e9t\u00e9 pr\u00e9sent\u00e9e au MOMA Contemporary (Fukuoka, Japon), au Taipei Fine Arts Museum, au Mus\u00e9e de l’Ermitage (Saint-P\u00e9tersbourg), \u00e0 la Power Station of Art (Shanghai) et \u00e0 la Biennale de Venise.\u00a0<\/span><\/p>\n

Quatre vid\u00e9oprojecteurs<\/a> Optoma EH415ST<\/a>\u00a0ont \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9s pour finaliser cette installation. Un projecteur\u00a0con\u00e7u pour r\u00e9aliser des pr\u00e9sentations de qualit\u00e9 sup\u00e9rieure. Full HD 1080p, il offre des performances d’image exceptionnelle \u00e0 une courte distance. Il dispose \u00e9galement d’une luminosit\u00e9 de 3500 ANSI lumens, ce qui est id\u00e9al pour une utilisation sans d\u00e9gradation des lumi\u00e8res.<\/p>\n

\u00ab\u00a0Before Memory<\/em>\u00a0\u00bb (2011)<\/p>\n

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Emmanuelle Lain\u00e9<\/strong> \u25ac N\u00e9e en 1973, elle vit et travaille \u00e0 Paris, ses \u0153uvres et ses expositions sont toujours profond\u00e9ment li\u00e9es \u00e0 l’architecture qui les accueille et aux objets qu’elles contiennent. Dans un rapport aux images et aux choses qui n’appartient qu’\u00e0 elle, l’artiste met en sc\u00e8ne, au cours d’un processus qui s’apparente \u00e0 ceux du laboratoire et du chantier, \u00e0 la cristallisation d’un moment infini, intuitif et sculptural, dans l’agitation incessante du monde. Emmanuelle Lain\u00e9 a r\u00e9cemment expos\u00e9 \u00e0 la Fondation d’entreprise Ricard (Paris), \u00e0 la Galerie (Noisy-le-Sec), \u00e0 C-o-m-p-o-s-i-t-e (Bruxelles), au Palais de Tokyo ainsi qu’\u00e0 la Biennale de Belleville (Paris).<\/p>\n

Les quatre \u00e9crans Philips de 46″<\/a>, ont \u00e9t\u00e9 int\u00e9gr\u00e9s \u00e0 une mise en sc\u00e8ne poignante.<\/p>\n

\u00ab\u00a0Il parait que le fond de l’\u00eatre est en train de changer ?<\/em>\u00a0\u00bb (2015)<\/p>\n

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