Nos camarades de Tomshardware<\/strong><\/a> ont pass\u00e9 en revue une dizaine d’id\u00e9es re\u00e7ues sur les \u00e9crans (principalement sur des moniteurs PC destin\u00e9s au Gaming)<\/span><\/p>\n <\/p>\n Quand on envisage de s\u2019acheter un PC, on pense surtout aux composants internes et \u00e0 leurs performances. Ce faisant, il arrive que l\u2019on n\u00e9glige les p\u00e9riph\u00e9riques, pourtant tout aussi essentiels au quotidien. Clavier, souris, \u00e9crans, ces \u00e9l\u00e9ments doivent aussi \u00eatre choisis avec soin : d\u2019eux d\u00e9pendront l\u2019agr\u00e9ment d\u2019utilisation, la fatigue musculaire ou visuelle. Or, s\u2019il est facile de\u00a0comparer deux processeurs\u00a0avec un benchmark, \u00e9valuer deux \u00e9crans est plus d\u00e9licat. Dans les pages qui viennent, nous allons essayer de vous simplifier la t\u00e2che en passant en revue dix id\u00e9es re\u00e7ues sur les moniteurs. Premi\u00e8re en lice : l’importance du temps de latence.<\/p>\n Dans les ann\u00e9es 2000, le premier crit\u00e8re de choix d\u2019un \u00e9cran LCD \u00e9tait le temps de latence, c\u2019est-\u00e0-dire le temps que mettent les pixels de l\u2019\u00e9cran pour changer de couleur d\u2019une image \u00e0 une autre. A l\u2019\u00e9poque, il pouvait atteindre 30 ms, ce qui se traduisait par des tra\u00een\u00e9es g\u00eanantes derri\u00e8re les objets en mouvement. Aujourd\u2019hui, il est pratiquement impossible de trouver un \u00e9cran d\u00e9passant 15 ms, la majorit\u00e9 \u00e9tant donn\u00e9e pour moins de 8 ms, ce qui ne pose presque plus de probl\u00e8mes. Le temps de r\u00e9manence n\u2019est donc plus un crit\u00e8re de premier plan. Les joueurs pr\u00e9f\u00e9reront tout de m\u00eame un \u00e9cran tr\u00e8s rapide (les meilleurs descendent \u00e0 2 ou 3 ms en pratique).<\/p>\n Au commencement, les \u00e9crans LCD \u00e9taient mats. Puis les constructeurs s\u2019entich\u00e8rent des \u00e9crans brillants plus design. Pendant quelques ann\u00e9es, le brillant \u00e9clipsa le mat, au grand d\u00e9sarroi d\u2019une partie des utilisateurs. Depuis, la roue a tourn\u00e9 de nouveau et la plupart des \u00e9crans PC sont redevenus mats. Mais le mat est vraiment mieux que le brillant ?<\/p>\n La critique principale faite aux \u00e9crans brillants est qu\u2019ils g\u00e9n\u00e8rent plus de reflets, reflets qui g\u00eanent la visibilit\u00e9 des contenus affich\u00e9s. C\u2019est une r\u00e9alit\u00e9, mais il faut relativiser son importance. Ce ph\u00e9nom\u00e8ne est surtout g\u00eanant sur les \u00e9crans de PC portables, lorsque le visage de l\u2019utilisateur et une source lumineuse (plafonnier, soleil) se trouvent align\u00e9s. Sur un moniteur de bureau, vertical, les reflets sont bien moindres. Et si l\u2019on soigne son installation pour \u00e9viter qu\u2019une source lumineuse se refl\u00e8te directement dans l\u2019\u00e9cran, on peut pr\u00e9f\u00e9rer les dalles brillantes : l\u2019absence de traitement antireflet augmente naturellement le contraste.<\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n Si vous cherchez un \u00e9cran pour faire des travaux sensibles \u00e0 la couleur, vous avez sans doute lu ce conseil : \u201cprends un \u00e9cran IPS\u201d. Toutefois, il ne faut pas croire que les autres technologies de dalles soient intrins\u00e8quement incapables d\u2019afficher des couleurs justes. C\u2019est absolument faux ! Mais les dalles IPS furent les premi\u00e8res adapt\u00e9es aux photographes et graphistes et gardent cet avantage historique.<\/p>\n Il est \u00e9galement vrai que les moniteurs TN sont moins adapt\u00e9s, \u00e0 cause de leurs faibles angles de vision et d’un encodage sur 6 bits seulement. Ainsi, les couleurs ne sont justes que vues parfaitement de face ; pire sur les grandes diagonales, on ne voit pas exactement la m\u00eame teinte selon qu\u2019on regarde au centre de l\u2019\u00e9cran ou sur les bords. Si les TN restent \u00e0 \u00e9viter, les autres dalles aux angles de vision ouverts (VA, PLS, PSA, etc.) peuvent \u00eatre de bons choix.<\/p>\n Assez r\u00e9cemment, on a attribu\u00e9 aux \u00e9crans un tort nouveau : ils seraient mauvais pour les yeux \u00e0 cause de leur lumi\u00e8re bleue. Le raisonnement est le suivant : la lumi\u00e8re \u00e9mise par les \u00e9crans contient une plus grande part de bleu que la lumi\u00e8re naturelle. Comme, on passe de plus en plus de temps les yeux devant un \u00e9cran, on subit une exposition proportionnellement plus forte \u00e0 la lumi\u00e8re bleue. Or cette lumi\u00e8re bleue est la plus \u00e9nerg\u00e9tique. Les cellules r\u00e9tiniennes sont donc soumises \u00e0 un surplus de stress, qui pourrait acc\u00e9l\u00e9rer leur vieillissement. Il n’y a pour le moment aucune preuve solide de cet effet chez l’homme, ni m\u00eame chez le singe. Mais cela n’a pas emp\u00each\u00e9 les constructeurs de s’emparer de l’argument.<\/p>\n Faut-il par pr\u00e9caution acheter un \u00e9cran dot\u00e9 d\u2019un syst\u00e8me antilumi\u00e8re bleue ? Non. D\u2019une part parce que le danger n\u2019est pas av\u00e9r\u00e9. D\u2019autre part, parce que faute de test ind\u00e9pendant, l\u2019efficacit\u00e9 de ces syst\u00e8mes est peut-\u00eatre totalement nulle. Enfin, parce qu\u2019on peut limiter soi-m\u00eame la quantit\u00e9 de lumi\u00e8re bleue \u00e9mise par son \u00e9cran, simplement en baissant sa temp\u00e9rature de couleur manuellement (comme illustr\u00e9 ci-contre par Eizo). Plut\u00f4t que de rester bloqu\u00e9 sur la temp\u00e9rature de 6500 K h\u00e9rit\u00e9e d’un choix de standardisation dans l\u2019industrie t\u00e9l\u00e9visuelle, on peut tout \u00e0 fait opter pour une temp\u00e9rature plus \u201cchaude\u201d, plus jaune, et donc moins bleue.<\/p>\n Depuis l’iPhone, la mode est aux \u00e9crans tactiles prot\u00e9g\u00e9s par une dalle de verre : iPhone mais aussi iPad et la quasi-totalit\u00e9 des smartphones et tablettes concurrents utilisent cette conception. Les PC ont r\u00e9sist\u00e9 longtemps \u00e0 la mode, mais depuis\u00a0Windows 8, Microsoft aussi bien qu’Intel ont pouss\u00e9 les constructeurs \u00e0 employer des \u00e9crans tactiles sous verre. Or, qui dit dalle de verre, dit \u00e9cran brillant. Mais n’y a-t-il pas moyen de cr\u00e9er des \u00e9crans tactiles mats ?<\/p>\n Si bien s\u00fbr ! D’une part, on peut recourir \u00e0 des technologies tactiles diff\u00e9rentes : \u00e9crans \u00e0 capteurs infrarouges, \u00e9crans r\u00e9sistifs, etc. M\u00eame sur les \u00e9crans capacitifs, la capacit\u00e9 \u00e0 d\u00e9tecter le toucher d’un doigt n’est pas li\u00e9e \u00e0 la pr\u00e9sence d’une dalle en verre. Et m\u00eame s’ils sont beaucoup moins r\u00e9pandus que leurs homologues brillants, les \u00e9crans tactiles mats existent (ci-contre le\u00a0Lenovo M93z) ! Toutefois, comme nous l’avons dit pr\u00e9c\u00e9demment, une dalle brillante n’est pas n\u00e9cessairement un d\u00e9faut, tout d\u00e9pend de l’environnement de travail.<\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n Depuis des temps imm\u00e9moriaux… non pas tout \u00e0 fait. Depuis une vingtaine d’ann\u00e9es, une technologie d’affichage promet monts et merveilles : les diodes organiques luminescentes, autrement dit les OLED. Malheureusement, depuis une vingtaine d’ann\u00e9es, ces promesses sont rest\u00e9es en l’air, aucun constructeur ne parvenant \u00e0 r\u00e9soudre les d\u00e9fis pos\u00e9s par la production \u00e0 grande \u00e9chelle des compos\u00e9s OLED. Heureusement, depuis l’ann\u00e9e derni\u00e8re les fr\u00e8res ennemis cor\u00e9ens Samsung<\/strong><\/a> et LG<\/strong> ont lanc\u00e9 la commercialisation de leurs premiers\u00a0t\u00e9l\u00e9viseurs OLED. Malgr\u00e9 leurs prix \u00e9litistes, ces produits ont permis de v\u00e9rifier sur pi\u00e8ce si l’OLED tenait bien toutes les promesses qu’il nous a faites depuis si longtemps.<\/p>\n En un mot : oui. Temps de r\u00e9ponse instantan\u00e9, angles de vision totaux, contraste infini, uniformit\u00e9 parfaite… les OLED corrigent tous les d\u00e9fauts des \u00e9crans LCD et offrent une qualit\u00e9 d’image presque sans d\u00e9faut. Ne reste plus qu’\u00e0 patienter jusqu’\u00e0 ce que les prix rejoignent des niveaux raisonnables. Mais nous ne sommes plus \u00e0 quelques ann\u00e9es pr\u00e8s…<\/p>\n <\/p>\n Lorsque les \u00e9crans \u00e9taient encore \u00e0 tubes cathodiques, une des caract\u00e9ristiques les plus importantes \u00e9tait la fr\u00e9quence du balayage. A 50 ou 60 Hz, on voyait flou, il fallait investir dans un \u00e9cran \u00e0 75 Hz au moins pour \u00eatre s\u00fbr de voir une image stable, sans scintillement. Sur les \u00e9crans LCD, ce raisonnement est inapplicable puisqu’il n’y a plus de balayage progressif des pixels de haut en bas et de gauche \u00e0 droite, mais un rafra\u00eechissement simultan\u00e9 de tous les pixels. Cette subtilit\u00e9 technique a cependant \u00e9chapp\u00e9 \u00e0 bon nombre de consommateurs qui, gardant leurs vieux r\u00e9flexes, r\u00e8glent toujours leurs \u00e9crans LCD \u00e0 75 Hz plut\u00f4t qu’\u00e0 60 Hz.<\/p>\n L’\u00e9volution technologique ne manque toutefois pas d’humour puisque la fr\u00e9quence de rafra\u00eechissement est redevenue ces derni\u00e8res ann\u00e9es, un crit\u00e8re d’achat. Vers 2008, sous l’impulsion de Nvidia qui promouvait sa 3D Vision, les constructeurs ont commenc\u00e9 \u00e0 sortir des \u00e9crans \u00e0 120 Hz. Plus r\u00e9cemment, on a vu appara\u00eetre des \u00e9crans \u00e0 144 Hz. Inutiles ? Non, car les dalles capables de tenir des fr\u00e9quences de rafra\u00eechissement aussi rapides sont aussi celles offrant le temps de latence le plus faible. En attendant les moniteurs OLED, les LCD \u00e0 144 Hz sont bien le meilleur choix pour qui recherche la fluidit\u00e9 d’affichage, dans les jeux ou dans les films.<\/p>\n Mettre la technologie compr\u00e9hensible au plus grand nombre est une t\u00e2che ardue, dans laquelle les journalistes que nous sommes ne sont pas toujours aid\u00e9s par les constructeurs et revendeurs. Ces derniers se plaisent parfois \u00e0 semer la confusion dans l’esprit du consommateur. Ainsi n’est-il pas rare d’entendre dire que tel ou tel \u00e9cran est \u00ab\u00a0un LED\u00a0\u00bb, intrins\u00e8quement meilleur qu’un \u00ab\u00a0LCD\u00a0\u00bb. Permettez-nous de saisir notre b\u00e2ton de p\u00e8lerin pour r\u00e9tablir la v\u00e9rit\u00e9 sur ce point : les \u00e9crans LED sont aussi des \u00e9crans LCD !<\/p>\n Les LED en question sont en effet la source lumineuse qui \u00e9claire en transparence la couche de cristaux liquides sur laquelle est form\u00e9e l’image. Les \u00e9crans LED sont donc des LCD \u00e0 LED, par opposition aux LCD \u00ab\u00a0CCFL\u00a0\u00bb, qui utilisent comme r\u00e9tro\u00e9clairage des tubes fluorescents. Les LED ont de nombreux avantages, comme un encombrement r\u00e9duit et un allumage instantan\u00e9. Avec le temps, plusieurs g\u00e9n\u00e9rations de LED sont apparues : RGB LED, W-LED, GB-LED, etc. Mais fondamentalement, l’\u00e9cran reste un LCD.<\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n <\/p>\n L’input lag<\/em>, ou retard \u00e0 l’entr\u00e9e, n’est pas une maladie grave. Elle ne concerne qu’une minorit\u00e9 de joueurs, adeptes des FPS multijoueurs en ligne et tr\u00e8s exigeants. L’input lag est le temps suppl\u00e9mentaire mis par les \u00e9crans LCD \u00e0 afficher r\u00e9ellement une image par rapport \u00e0 un \u00e9cran CRT. Il est d\u00fb aux multiples traitements que les \u00e9crans LCD appliquent \u00e0 l’image et peut atteindre ou d\u00e9passer, dans les cas les plus s\u00e9rieux, 32 ms. Compte tenu d’une fr\u00e9quence d’affichage de 60 Hz, 32 ms sont l’\u00e9quivalent de 2 images de retard. Autrement dit, le joueur sur l’\u00e9cran LCD verra l’action se d\u00e9rouler avec 2 images de retard par rapport au joueur sur l’\u00e9cran CRT. Pour la majorit\u00e9 ce n’est pas un souci. Pour une minorit\u00e9, c’est inadmissible. Ceux-l\u00e0 devront se tourner vers les \u00e9crans offrant un input lag minimal, de moins de 16 ms (soit moins d’une image d’\u00e9cart). Par une heureuse co\u00efncidence, les \u00e9crans pour joueurs (faible temps de latence des pixels, rafra\u00eechissement \u00e0 144 Hz) sont ceux sur lesquels l’input lag est le plus r\u00e9duit.<\/p>\n Impossible de parler d’\u00e9crans en 2014 sans aborder l’Ultra HD. C’est le mot cl\u00e9 de l’ann\u00e9e, la nouveaut\u00e9 sur laquelle se battent les marques. Mais faut-il vraiment faire de l’Ultra HD un crit\u00e8re de choix ? Sur un \u00e9cran de bureau de petite diagonale (24 ou 28″), l’Ultra HD n’a pas vraiment\u00a0 d’int\u00e9r\u00eat. Utilis\u00e9 en d\u00e9finition native (3840 x 2160 pixels), un tel \u00e9cran r\u00e9duit beaucoup trop les \u00e9l\u00e9ments de l’interface graphique. Pour leur redonner une taille confortable, il faut recourir \u00e0 une mise \u00e0 l’\u00e9chelle de l’interface du syst\u00e8me d’exploitation ou des applications. Sous Windows cette mise \u00e0 l’\u00e9chelle n’est pas tr\u00e8s bien g\u00e9r\u00e9e (on peut se retrouver avec des bo\u00eetes de dialogue pixelis\u00e9es, des textes trop gros pour leur bouton, ou des menus non mis \u00e0 l’\u00e9chelle, selon l’application). Sous Mac OS c’est mieux mais on n’a que le choix d’un agrandissement x2, ce qui ram\u00e8ne l’\u00e9cran en Full HD. Certes on conserve la finesse d’affichage due aux pixels tr\u00e8s petits, mais on perd la surface d’affichage sup\u00e9rieure.<\/p>\n L’Ultra HD devient visuellement utilisable et int\u00e9ressante \u00e0 partir d’une diagonale de 32″. Reste encore le probl\u00e8me de la surcharge que ces pixels plus nombreux font peser sur la carte graphique. Pour jouer en Ultra HD, une configuration bi-GPU est plus que conseill\u00e9e !<\/p>\n <\/p>\n source :\u00a0Tomshardware<\/strong><\/a><\/p>\n <\/p>\n On entend parfois des affirmations qui semblent des \u00e9vidences : un \u00e9cran mat est toujours mieux qu’un \u00e9cran brillant, un taux de rafra\u00eechissement plus \u00e9lev\u00e9 est important, un r\u00e9tro\u00e9clairage par LED est plus flatteur que par LCD… mais que se cache-t-il r\u00e9ellement derri\u00e8re ces sentences et refl\u00e8tent-elles vraiment la r\u00e9alit\u00e9 ? Nos camarades de Tomshardware […]<\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":14836,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":[],"categories":[1,10],"tags":[829,3109,2702,323,2610,289,2730,4088,47,3110,3108,422,3107,225,321,235,3106,1678,828],"yoast_head":"\n![\"pastille_livre-numero_1\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_1.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_143614.png\")
<\/a><\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n![\"pastille_livre-numero_2\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_2.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_143939.png\")
<\/a><\/p>\n![\"pastille_livre-numero_3\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_3.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_144015.png\")
<\/a><\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n![\"pastille_livre-numero_4\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_4.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_144203.png\")
<\/a><\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n![\"pastille_livre-numero_5\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_5.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_144409.png\")
<\/a><\/p>\n![\"pastille_livre-numero_6\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_6.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_144606.png\")
<\/a><\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n![\"pastille_livre-numero_7\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_7.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_144809.png\")
<\/a><\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n![\"pastille_livre-numero_8\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_8.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_145109.png\")
<\/a><\/p>\n![\"pastille_livre-numero_9\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_9.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_145144.png\")
<\/a><\/p>\n<\/div>\n<\/div>\n![\"pastille_livre-numero_10\"](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/pastille_livre-numero_10.gif\")
<\/p>\n![\"10](\"https:\/\/blog.eavs-groupe.com\/wp-content\/uploads\/2014\/07\/2014-07-21_145356.png\")
<\/a><\/p>\n<\/div>\n<\/div>\nRetrouvez tous nos \u00e9crans sur www.eavs-groupe.com<\/a><\/h1>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"