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  • La domotique en ZigBee par CityGrow, comment ça marche ?

    La domotique en ZigBee par CityGrow, comment ça marche ?

    Basée sur la norme de transmission sans fil à faible débit ZigBee, CityGrow a construit une offre complète pour domotiser une maison. Les produits mis en avant concernent avant tout l’éclairage, mais globalement, toutes les fonctions domotique peuvent être incluse dans un système CityGrow.

    Le ZigBee pour la domotique

    Le système CityGrow fonctionne au départ sans automate central. L’intelligence est à la fois centralisée dans la télécommande tactile CG100TR, et distribuée dans chaque élément du système. C’est cette télécommande qui permet surtout de programmer la totalité d’un système.

    Au départ, il faut au minimum une télécommande et un interrupteur coordinateur. Ensuite, on ajoute d’autres interrupteurs, simples ou doubles, des panneaux de commandes, des modules de plafond et des passerelles.

    Exemple 1 : interrupteurs filaires

    Deux solutions sont proposées, peuvent cohabiter et même être mixées. Dans ce premier exemple, nous avons la télécommande tactile « maître » qui communique avec les interrupteurs. Ceux-ci sont branchés sur le chemin du courant, et remplacent les interrupteurs traditionnels. Attention, phase et neutre sont nécessaires pour pouvoir installer un interrupteur CityGrow.

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    L’interrupteur est utilisable comme n’importe quel modèle traditionnel, mais il est aussi équipé du ZigBee. Depuis la télécommande, on va pouvoir lancer des scénarios incluant plusieurs circuits.

    Exemple 2 : interrupteurs sans fil

    Dans ce second exemple, les interrupteurs ne sont pas vraiment sans fil, car il leur faut une alimentation pour fonctionner. Par contre, la commande des luminaires ou des stores se fait bien sans fil, en ZigBee. Du côté de l’éclairage et des ouvrants justement, il est nécessaire d’ajouter des modules de puissance et de contrôle sur le chemin du courant.

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    On a ici plus de possibilités avec des interrupteurs qui sont en fait des panneaux de commande à 4 ou 8 boutons. Toutes les fonctions sont personnalisables et coordonnées avec la télécommande tactile.

    Les passerelles

    On peut aller encore plus loin en pilotant un système CityGrow depuis un système de contrôle tiers, comme la solution OnControls par exemple. La passerelle CityGrow ZigBee/RS232 permet d’envoyer les commandes et de recevoir les retours d’état. Reliée à un module OnControls ON-RS232, la liaison est faite pour pouvoir piloter sa lumière ou ses stores depuis un iPad. Il est possible de faire de même avec les produits URC et une centrale MRX-10 (série Total Control) ou MSC-400 (série Complete Control).

    La passerelle Citygrow ZigBee/IR sert à inclure des éléments audio/vidéo et autres (chauffage, climatisation, motorisations) afin de les piloter depuis la télécommande tactile et les panneaux 4 et 8 boutons.

    En résumé

    L’offre CityGrow est assez complète pour domotiser complètement une maison, tout en mixant ces fonctions dans un système de contrôle encore plus global, à côté du home cinema, de la distribution audio et de tout autre élément pilotable !

    Découvrir la gamme de produits CityGrow sur le site EAVS

  • [Test] On Controls : afficher et utiliser sa première interface (3/3)

    [Test] On Controls : afficher et utiliser sa première interface (3/3)

    Dans les épisodes précédents de cette présentation de la solution OnControls, nous avions vu le principe de fonctionnement de l’application, c’est-à-dire comment utiliser un smartphone ou une tablette comme télécommande universelle et intelligente, puis comment créer et configurer sa première interface. Dans ce troisième épisode, nous allons découvrir un exemple du résultat final sur un iPhone.

    Les principales fonctions disponibles

    L’application en ligne, dans le cloud, OnControls My Control Builder permet aussi bien de créer les interfaces graphiques que de lier les actions qui vont être effectuées sur chaque bouton. On peut lier une action simple comme un code infrarouge ou un scénario complet avec une suite d’ordres.

    Les fonctions principales supportées sont les suivantes :

    • codes infrarouges (base de codes intégrées, accepte les codes Pronto HEX, possibilité d’apprendre les codes via le module OnControls OnLink IR3)
    • codes RS232 (base de codes, possibilité de rentrer les codes si vous avez le protocole à votre disposition)
    • codes IP (idem RS232)
    • contacts et relais (via le module OnControls OnLink CONTACT)
    • retours d »infos sous forme textuelle, chiffrée ou de bargraphe (volume)
    • affichage d’une page web ou d’un morceau d’une page web au sein de l’interface
    • lancement d’applications externes (navigateur, météo, Twitter, Facebook, etc.)
    • gestures et mouvements (selon le modèle de smartphone ou tablette)
    • envoi de mails
    • affichage de fenêtres popup d’alertes ou de confirmation

    Sauvegarde de l’interface

    Une fois que vous avez défini les différents appareils à piloter et que tous les ordres sont dans la base, soit la base OnControls, soit la base de l’utilisateur avec vos propres codes ou les codes manquants, il faut mettre en page tout cela. La première étape est la sélection du format : iPad, iPhone Retina, iPod, Android, Kindle. OnControls propose pour chaque format des pages types avec fond, découpage et boutons. Vous pouvez bien entendu tout personnaliser selon vos goûts. Tout ce que vous aurez créé sera mémorisé dans le cloud, vous pourrez ainsi réutiliser des éléments communs de votre création pour différents projets.

    Récupération de l’interface

    L’étape suivante est l’installation de l’application OnControls sur votre smartphone ou tablette. Attention, pour l’environnement iOS par exemple, l’application est distincte entre iPad et iPhone/iPod Touch. Nous allons prendre un iPhone pour l’exemple suivant.

    oncontrols sync

    Après avoir lancé l’application, il faut récupérer l’interface pour la stocker dans l’iPhone. Cinq onglets sont disposés en bas de l’écran. C’est le dernier, « Sync », qu’il faut choisir. En haut de l’écran apparaissent les interfaces disponibles (les « handsets ») dans un format supporté par l’iPhone. On sélectionne celle de son choix et on patiente le temps qu’elle soit récupérée, environ 20 secondes la première fois.

    Adaptation à l’environnement

    OnControls a décidé de ne pas stocker les informations relatives aux appareils pilotés dans l’interface. Ces informations sont à déclarer dans l’application sur l’iPhone. Finalement, cette solution est la bonne : étant donné que tout est sur le réseau, si le client final change de box Internet, il pourra sur vos instructions modifier les adresses. Alors que si ces informations étaient stockées dans l’interface, il faudrait modifier l’interface puis la recharger dans l’iPhone, ce qui est bien plus contraignant à distance.

    oncontrols gateways

    gateways

    On se rend donc dans l’onglet « Gateways » où l’on va déclarer les modules OnControls (IR, RS232 ou CONTACT), ainsi que les appareils pilotés directement en IP. On leur rentre leur adresse IP sur le réseau, puis on les associe aux appareils présents dans l’interface. Prenons un exemple avec un module OnLink IR3. On le déclare dans les gateways on lui rentrant son adresse IP, puis on associe au port IR 1 les appareils qui sont au bout de la cellule infrarouge. On retoruve la liste de ces appareils sous l’onglet « Devices ».

    oncontrols devices

    Affichage de l’interface

    Lorsque tous les appareils (devices) ont bien été liés aux différentes gateways, l’interface est prête à être utilisée ! On se rend pour cela sur le premier onglet « Panels ». Apparaissent alors les différentes pages de l’interface. On sélectionne celle que l’on aura préalablement nommée Home ou Accueil et l’interface apparaît.

    oncontrols panels

    Démonstration vidéo

    La vidéo ci dessous vous montre rapidement quelques exemples d’utilisation de l’application OnControls. On trouve par exemple :

    • pages graphiques sur mesure
    • bi-directionnalité via RS232 ou IP avec retour d’informations depuis l’amplificateur AV : volume et source en cours
    • gestures pour le contrôle de fonctions essentielles sans avoir besoin de regarder l’écran tactile : volume et morceau précédent/suivant
    • applications intégrées dans OnControls comme les pages web (programme TV à côté de boutons de fonction) ou lien vers des applications externes (météo, navigateur web, vidéos)

    oncontrols vimeo

    Les écrans de l’amplificateur AV et du lecteur Blu-ray visibles sur la vidéo vous permettent de suivre le retour des actions effectuées sur l’application OnControls.

    Nous espérons que cette présentation vous aura donné des idées pour vos prochains projets de contrôle tactile avec ces fonctions inédites intégrées !

    Retrouvez la gamme OnControls sur EAVS.

    1. [Test] On Controls, l’application de télécommande universelle (1/3)
    2. [Test] On Controls : créer et configurer une interface (2/3)
    3. [Test] On Controls : afficher et utiliser sa première interface (3/3)
  • [Test] On Controls : créer et configurer une interface (2/3)

    [Test] On Controls : créer et configurer une interface (2/3)

    Dans notre premier épisode, nous avions découvert le fonctionnement global du système On Controls : quelques modules IP, une application de configuration en ligne et des applications pour smartphones et tablettes. Nous allons découvrir aujourd’hui le cheminement pour la création d’une première interface avec On Controls.

    Le choix des modules IP

    L’application On Controls installée sur un iPad, par exemple, peut potentiellement piloter tout appareil audio/vidéo ou domotique. Si cet appareil se pilote en IP, pas de problème, le contrôle est direct. Par contre, si le produit se pilote en infrarouge, en RS232 ou via des contacts, il faut un appareil intermédiaire. C’est le rôle des modules OnLink. Le IR3 possède trois ports infrarouge, pour un lecteur Blu-ray par exemple, le RS232 a un port RS232 pour un amplificateur home cinema, et le CONTACT a trois contacts secs, pour un écran de projection motorisé.

    oncontrols onlink

    Les trois modèles OnLink Wifi, existent aussi en Ethernet

    Découverte du logiciel My Control Builder

    Le logiciel de configuration n’a pas besoin d’être téléchargée, et ne peut d’ailleurs pas l’être : il est utilisable directement en ligne depuis un navigateur tel que Explorer, Firefox ou Chrome. L’avantage est que tous les programmes que vous allez préparer sont stockés chez On Controls. Tout comme les drivers que vous allez créer. Pas de risque de perte de fichiers !

    Le bureau du logiciel est découpé en différentes fenêtres et menus. Découvrons les dans l’ordre de création d’une interface.

    Quelles interfaces allez-vous utiliser ?

    La première étape est la sélection des formats d’interfaces, les « handsets ». Est-ce que votre client possède un iPad, un iPhone ou un appareil Android ? Quel en est sa résolution ? C’est dans ce menu que vous créez les formats d’interfaces :

    Quels appareils à piloter ?

    La deuxième étape est le choix des appareils qui composent le système. Ceux-ci peuvent être des appareils unidirectionnels en IR ou RS232 ou des appareils bidirectionnels en RS232 ou en IP.

    Le choix se fait par catégorie, puis par marque ou référence. On sélectionne les produits un à un et on les ajoute au projet.

    Création des pages écrans

    Vient ensuite l’étape de création des pages écrans. Cela se passe dans la colonne de gauche de l’application. On voit sur l’exemple ci dessous la liste des pages créées :

    Si l’on a déclaré plusieurs formats d’interfaces pour le projet, on peut passer de l’une à l’autre via les onglets en bas de cette fenêtre. Lorsque l’on déroule chaque page écran on a accès au format paysage ou portrait et à la liste de tous les boutons qui composent la page.

    Ajout de boutons sur la page

    Une fois la première page sélectionnée, on va lui ajouter des boutons. C’est dans la colonne de droite que cela se passe, dans l’onglet « Images ». Le logiciel comprend déjà des exemples de fonds d’écrans, de boutons et d’icônes pour commencer son premier projet. Mais on peut également créer tous les visuels que l’on veut.

    Ajout de fonctions sur les boutons

    Lorsque les pages écrans sont créées avec tous leurs boutons, on va pouvoir donner une fonction, ou un scénario, à chaque bouton. Cela se passe à l’onglet suivant, l’onglet « Devices ». On retrouve la liste des appareils que l’on a sélectionné au début de la construction du projet. En déroulant un appareil donné, toutes les fonctions apparaissent. Un simple glisser-déposer de la fonction vers le bouton cible suffit.

    Les fonctions bidirectionnelles

    Si l’on a ajouté des appareils avec des retours d’information, comme le niveau de volume, la source en cours d’utilisation, etc., on ne les retrouve pas dans l’onglet « Devices », mais dans le suivant : « Metadata ». On a alors pour chaque appareil sélectionné les metadata réunies en deux catégories : les numériques (ex.: niveau de volume en décibels) et les textuelles (ex.: nom d’une source). On les fait glisser vers les pages écrans pour les ajouter.

    Fonctions complémentaires

    Le dernier onglet dénommé « Tool Box » comprend les autres fonctions. On y trouve les plug-ins (iTunes), les délais, les boutons, les liens, les sauts de page, etc. C’est ici que l’on va pouvoir ajouter par exemple les liens pour ouvrir une application tierce comme Safari ou Facebook ou une fenêtre de navigation Internet.

    Espace de travail

    L’espace de travail pour visualiser et créer les pages écrans se trouve au centre. On peut zoomer pour placer précisément les différents éléments, une vue d’ensemble restant toujours affichée en bas. En passant sa souris sur un bouton, on peut voir la fonction ou le scénario associé, comme dans l’exemple ci dessous.

    Pour modifier un bouton, lui appliquer des fonctions spécifiques ou lui rentrer des codes « à la main », ça se passe en bas de la colonne de droite. Lorsque l’on sélectionne le bouton « Vol+ » ci dessus, les données associées apparaissent telles que sur la capture ci dessous : taille, positionnement, fichier image, et d’autres fonctions spécifiques à un bouton lié à une commande infrarouge. Si c’était une commande IP, on aurait le code envoyé correspondant (et modifiable).

    A suivre…

    C’est ce que nous verrons dans notre troisième épisode. Nous verrons enfin comment afficher cette interface créée sur son smartphone ou sa tablette, et comment faire le lien concrètement avec les appareils que l’on contrôle.

    1. [Test] On Controls, l’application de télécommande universelle (1/3)
    2. [Test] On Controls : créer et configurer une interface (2/3)
    3. [Test] On Controls : afficher et utiliser sa première interface (3/3)
  • [Test] On Controls, l’application de télécommande universelle (1/3)

    [Test] On Controls, l’application de télécommande universelle (1/3)

    On Controls est une solution de commande centralisée audio/vidéo et domotique, à la façon d’une télécommande universelle, mais dédiée aux smartphone et tablettes. Dans ce domaine, c’est la solution la plus universelle du marché puisqu’elle est compatible avec toutes les plateformes suivantes :

    • iPhone/iPod Touch
    • iPad
    • Android (smartphone & tablette)
    • Amazon Kindle Fire

    Dans cette première partie du test, nous allons découvrir les différents aspects de On Controls. Nous découvrirons la création d’une interface et le résultat final dans la seconde partie.

    Gestures

    On Controls prend en compte toutes les « gestures », c’est-à-dire les mouvements et les capacités tactiles des appareils. On peut donc utiliser le glisser du doigt, le tap, le double tap, le mouvement du smartphone vers la gauche ou la droite, etc. Toutes ces actions vont pouvoir envoyer des ordres ou des scénarios distincts.

    Applications web

    On Controls est également ouvert sur les applications web. Cela signifie que l’on va pouvoir afficher une page web ou envoyer un mail depuis l’interface de pilotage. Il est également possible de lancer une application depuis l’interface, pour passer directement de On Controls à Twitter ou Facebook par exemple.

    Le matériel

    On Controls a cinq façons différentes de pouvoir contrôler des appareils, ce qui est appelé « gateway » dans l’univers On Controls :

    • ON-Link IR3 : un petit module Ethernet ou Wifi disposant de trois sorties infrarouge
    • ON-Link 232 : un autre module Ethernet ou WiFi équipé d’unport RS-232C
    • ON-Link Contact : le troisième module de la gamme équipé de trois contacts/relais
    • Network : pour piloter directement des appareils en IP
    • HTTP : pour communiquer avec des appareils via des requêtes web

    Ces cinq « gateways » permettent de communiquer globalement avec tout ce qu’il est possible de contrôler dans une maison ou un environnement tertiaire, comme une salle de réunion.

    on controls on link

    L’application My Control Builder

    On Controls se programme sans logiciel ! En fait, tout est dans le cloud. C’est-à-dire que le logiciel est accessible via un navigateur web. Cela apporte deux avantages : toute la programmation de ses interfaces est stockée chez On Controls. Avec son login, on peut programmer ou reprogrammer ses interfaces depuis n’importe quel ordinateur.

    My Control Builder permet de créer toutes ses interfaces graphique entièrement sur mesure. On peut y concevoir différents formats si le client final possède plusieurs types de smartphones ou tablettes.

    on controls my control builder

    Une base de données de codes IR, RS232 et IP est disponible pour les produits les plus utilisés. Mais vous pouvez bien entendu créer et apprendre vos propres codes pour les appareils absents de la base. Le module On-Link IR3 fait office d’apprentisseur infrarouge.

    L’application On Controls

    Enfin, il ne reste plus qu’à télécharger l’application On Controls pour son appareil. Une partie configuration permet de récupérer l’interface précédemment créée et de faire le lien avec les différentes « gateways ».

    on controls iphone

    Dans le deuxième épisode

    Nous venons de découvrir la solution On Controls dans son ensemble. Ceci a du vous donner un aperçu du fonctionnement et de sa simplicité de mise en œuvre. Dans la deuxième partie du test, nous créerons une interface, nous ajouterons des « gateways » et des appareils, et enfin nous découvrirons comment obtenir très simplement le résultat final !

    1. [Test] On Controls, l’application de télécommande universelle (1/3)
    2. [Test] On Controls : créer et configurer une interface (2/3)
    3. [Test] On Controls : afficher et utiliser sa première interface (3/3)
  • OnControls au CEDIA expo d’Indianapolis

    OnControls au CEDIA expo d’Indianapolis

    OnControls proposera lors du CEDIA Expo qui aura lieu à Indianapolis du 5 au 8 septembre prochain, des sessions gratuites de formations sur la programmation et la configuration du système.

    CEDIA expo

    Le samedi 8 septembre de 9h à 12h dans la salle de formation 101 du Indiana Convention Center :

    La première heure sera consacrée à la configuration de base et à la programmation.

    Les 2 heures suivantes aborderont la programmation avancée et la mise en place de systèmes complexes.

    Merci de prendre directement rendez-vous auprès de OnControlshttp://oncontrols.eventbrite.com

    et d’envoyez vos questions à : glenn@oncontrols.com

    OnControls

    OnControls vient d’ailleurs de relancer son site web : www.oncontrols.com avec de nouvelles fonctionnalités, plus d’images et d’information, et notamment une mise à jour importante de la partie Support, des vidéos de formation, de nouvelles rubriques…

    A l’issue du  CEDIA, OnControls lancera aussi son « University » : un portail de formation complet destiné à tous les revendeurs…

    Et prenez le contrôle avec EAVS : toute la gamme OnControls est exclusivement disponible en France sur eavs-groupe.fr